1 # Soirée de bienvenue au camping ( topic de groupe )

1 # Soirée de bienvenue.

⊹La bienvenue du comité !

Aujourd'hui est un grand jour, tous les personnages de Cold Coffee qui se sont inscrits à l'évent sont partis pour une voyage camping au bord de la mer. Une soirée est organisée par le comité de réception afin que tous le monde puisse se reposer et faire connaissance après le voyage. La réception se passe sur la terrasse du restaurant ; des cocktails ainsi que des brochettes et salades en tout genre sont proposés gratuitement. Il n'y a pas de nombres de lignes demandées pour ce topic dans le sens où nous souhaitions que vous puissiez participer à tous les topics de groupe. ( Car participer à quatre ou cinq topic et faire 20 lignes à chaque fois c'est un peu difficile. ) Vous pouvez aussi faire des rp privés dans les différents lieux où votre personnage passe ses vacances.

VOUS POUVEZ OU MEME DEVEZ POSTER A LA SUITE

**Invité** Invité

Pourquoi j'ai accepté de venir ici, putain ?

Une jolie rouquine est à côté de moi et je vois ses cheveux danser autour de son visage alors que nous marchons en direction de la soirée de bienvenue. Ah oui, c'est vrai, c'est pour elle que j'ai accepté. Je regrette déjà. Ce n'est pas mon monde, ici. On s'est installées dans notre bungalow et c'est vraiment choquant d’être à nouveau dans des murs en dur, dans un vrai lit, avec de la nourriture à profusion et tutti quanti. Ça a dû coûter une blinde à la ville, tout ça. Et moi je ne connais pratiquement personne et je me sens très mal à l'aise. J'aurais voulu rester cloîtrée dans le bungalow. Mais Kaatje a tenu à ce qu'on aille à cette soirée ensemble. J'ai préféré ça à de longues heures de gêne en tête-à-tête avec elle. Elle est passée me voir deux ou trois fois là où je me suis installée a la fac, mais jamais très longtemps, et toujours quand il y avait d'autres personnes. Je n'ai pas hâte d’être confrontée à mon passé, nos retrouvailles guère joyeuses m'ont laissé un trop mauvais goût dans la bouche.

Du coup je l'ai suivie.

Et quand on arrive, je ne vois aucun visage connu. Pas mal de rupins par contre. Je me sens mal à l'aise, pas à ma place, avec mes petites robes cousues à la main.

- Kat', j'te hais, grogné-je en néerlandais pour éviter qu'une oreille qui traîne ne me comprenne. Regarde tous ces abrutis. Je crois que je vais rester faire la teuf avec les étudiants, moi, hein.

**Invité** Invité

« Oh, Will, dis pas ça, je suis sûre qu’ils sont sympas, ces gens..., que tu réponds indulgemment à ta meilleure amie en néerlandais – comme ça te fait bizarre, après toutes ces années à parler exclusivement anglais, de retrouver les sonorités gutturales de ta langue natale. »

Puis tu sors de ton sac à main rouge à lèvres et paquet de cigarettes, avivant ta bouche charnue d’un pourpre à l’élégante sensualité avant d’y caler une Dunhill que tu allumes d’un geste machinal. Tu ne sais pas trop quoi attendre de ces vacances, et ces quelques mouvements familiers permettent de maintenir l’illusion que tout est sous contrôle, que tu n’es pas en territoire inconnu avec celle qui hante tes nuits – parfois fantôme tout en caresses et mots doux, parfois spectre impitoyable de tes erreurs et de tes remords. Tu pousses un faible soupir, arrêtant ton regard scrutateur – réflexe de l’artiste qui puise ses sources d’inspiration n’importe où, constituant sa banque de données créatrice à force de contemplations songeuses – sur les cocktails.

« Dis-toi qu’au pire il y a à boire, conclus-tu avec un semblant de sourire fragile. »

D’une main un peu tremblante tu saisis un Sex on the beach et en juges la saveur du bout des lèvres, laissant échapper un gémissement d’approbation au goût sucré du cocktail.

I don´t care! I love it!

You´re on a different road, I´m in the Milky way you want me down on earth but I am up in space. You´re so damn hard to please we gotta kill this switch. You´re from the 70´s but I´m a 90´s Bitch!

Lorsqu'il est question de fête, et surtout d'alcool je suis la première à sauter sur l'occasion. Tout ses bungalows, cette nourriture et ces gens, je n'avais jamais vu ça ! En même temps, je vis dans un appart minuscule et quand je sors, c'est quand il n'y pas de réunions, ou quand je ne suis pas avec Aedan, la débauche quotidienne, quoi. En parlant de lui, nous sommes venus ensembles. Je lui avais proposé avant cette fameuse journée extrêmement gênante, et j'espère vraiment que cette sensation que j'avais eu le restant de la journée va disparaître, pour laisser place à une Mauve tout ce qu'il y a de plus normale ; fêtarde, libre et prête à tout. Sam n'est pas venu, trop occupé avec notre futur plan de vol "le plus important" d'après lui ; résultat, je ne connais presque personne, mais c'est pas grave ; à quoi bon connaître les gens si c'est pour une soirée ? Je m'assois près du bar, commandant un de leur fameux Bloody Mary tout en priant pour que je ne me mette pas à bégayer dès qu'il arrivera.

made by LUMOS MAXIMA

Bon bah nous voici arriver. Beaucoup de monde, que des inconnus. Le principe était de venir avec Nola mais elle a des empêchements... Elle ne viendra que plus tard. Tout ce qu'il faut, c'est survivre au milieu de ces gens le plus longtemps possible. Fort heureusement, mon plus grand allié, l'alcool, y est présent en quantité. Je regarde d'un œil distrait la foule : une bande de BCBG avec 10 ans de moins que moi. Sans doute une bande de petit con, buvant des cocktails hors de prix... J'en sais rien et j'ai pas trop envie de savoir.

J'accoure au mini bar histoire de décompresser. Je commande un whisky qui a le mérite d'être bon et frais. Je me pose et regarde à nouveau autour de moi. On peut au moins reconnaître la beauté quasi divine des habitants de Siloam Spring, pas une seule fille à jeter...

Je me décontracte un peu, je suis encore habillé en costard malgré le caractère festif de ces vacances. Il parait que ça me va bien alors autant échapper aux chemises à fleurs et autres sandales de plages tant qu'il est encore temps...

Qu'est-ce que je fous là... Mon dieu, existe-t-il une personne intéressante dans cette foule d'ado attardé ? Une personne qui en vaille la peine... Je soupire et continue à savourer mon verre.

**Invité** Invité

Summer Gift

Let it go ♪

Est-ce que j’étais censé présenter mes excuses à Cael ? Visiblement, il n’avait pas super bien prit le fait que non, je ne lui avais proposé d’aller à ce voyage avec moi et que oui, c’était avec la jeune Tremblay que je m’y rendais. Pourquoi fallait-il qu’il se montre si jaloux ces derniers temps ? Si égoïste. Je n’allais pas lui tirer les oreilles lorsqu’il trainait autour de la fameuse Russe, dont il m’avait soufflé le nom que j’avais sûrement déjà oublié. Alors pourquoi lui, il faisait ça, hein ? Bref. C’est vêtu d’un short orange flash et d’un marcel blanc aux imprimés colorés que je me rendais à la petite soirée qu’avait prévue le camping. La dernière fois que j’avais vu Mauve, ma tête s’était transformée en champ de bataille et j’espérai de tout cœur que cette sensation aie disparue. Bien que je n’avais cessé de penser à elle. Bien que je parlais d’elle à tout vas. Bien que je me détestais, rien que pour ça.
Et c’est avec un large sourire que je m’approchai de la demoiselle aux cheveux roux et au verre rouge vif. J’avais envie de trouver une phrase cassante, une phrase méchante. Une phrase de connard pour rappeler que je n’étais pas un putain de bisounours. Mais tout ce qui sortit de ma bouche fut … désastreux. « Hey, Guimauve. » Merde. Genre j’avais rien de … mieux, à dire ? « Déjà en train de picoler ? Tu vas pas tenir toute la soirée ! » bon. Ça rattrapait déjà un peu.

Code by Fremione.

**Invité** Invité

summer is comming

Le camping Blue Water Key se situant en bord de mer, la soirée commence doucement sous le bruit des vagues et le scintillement des étoiles. Accoudé au bar mon regard passe de l’un à l’autre des habitants de Siloam Springs qui se trouvent là. Je n’en reconnais que très peu, et pour la plupart se sont des jeunes qui profitent de ses vacances de liberté pour boire plus que la normale. Mes yeux virevoltent de l’un à l’autre de ces gens, puis se pose sur ma voisine. Taryn Balckstones. Elle sirote un cocktail ses propres yeux plongés dans le noir profond qu’inspire la mer en arrière plan. Je ne peux détacher mon regard de cette femme si parfaite. Ce soir je suis un homme comblé. Elle a accepté de m’accompagner pour ces deux semaines de vacances qui promettent d’être enchanteresse. Elle comme moi avons bien vu l’étroitesse du bungalow mais au lieu de s’en trouver gêner, nous avons bien ris. Je ne compte pas non plus me faire passer pour une bête sauvage auprès d’elle. Je garde mes manière de gentleman et attend patiemment que le bon moment arrive enfin. Je me suis enfin décidé. Durant ces vacances je vais prouver à Taryn que je suis l’homme qui lui faut et je vais tout faire pour que notre relation évolue… dans le bon sens. Je souris à cette pensée et tournant mon verre vers elle je le tends afin que nous trinquions. « J’aimerais trinquer à deux choses, si tu le permets. Tout d’abord, ces vacances, amplement méritées. Et ensuite à lui… » Je jette un coup d’œil tout en souriant. Taryn semble tenir à cet enfant, comme à la prunelle de ses yeux, alors je veux lui prouver que moi aussi je suis là pour elle comme pour cet enfant, quelqu’en soit le père.

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Le soleil commence à peine à se coucher. Je dois être à mon troisième verre. Je n'ai pas énormément bu pour une fois. Pas mal de gens passent au bar. J'aime bien, ça me permet de les observer. Il y a, ce qui semblerait, une sorte de dragueur. Ce qui est marrant c'est qu'il a pas l'air si sûr de lui. C'est un spectacle intéressant que je ne devrais louper pour rien au monde. Je rigole doucement tout en continuant ma décente d'alcool.

Plus loin, deux jeunes filles parlent dans une langue des pays de l'Europe de l'est... Je ne saurait dire lequel. Mes passages en Europe ne se résument qu'à de brefs arrêts à Paris et Hanovre. Rien qui pourrait me renseigner sur leur langue. Elles ont pas l'air de s'amuser tant que ça... Ca me fait sourire de me dire que je suis pas le seul désemparer face à cette foule.

Mon regard s'arrête sur un couple. Un homme qui semble avoir a peu près mon âge se tenait au bar avec une charmante femme. Les deux semblent très heureux mais à la fois un peu émus. Ca aurait presque pu me toucher tant ça me rappelait ce que moi je n'avais pas. Mais des années d'amertumes rendaient les sentiments bien plus dur à émerger. Je dresse mon verre à ce couple et fini mon verre. Cette fois, je bois un mojito histoire de pas être trop "sérieux". Le temps de regarder tout ce beau monde, les lumières de la terrasse avait remplacer le soleil qui avait tiré sa révérence.

**Invité** Invité

Alors que tu discutes avec Will en sirotant ton deuxième ou troisième Sex on the beach, tu surprends un regard bleu – et curieux. Un sourire amusé, un peu aguicheur, ourle tes lèvres écarlates. Se demande-t-il quelle langue vous parlez ? de quelle contrée lointaine vous provenez ? vous... Une idée t’apparaît soudain, séduisante de perfection et de stupidité.

« Will, ça te tente de faire croire à un beau gosse sûrement riche qu’on est des chaudasses venues des Pays-Bas pour un an d’études ? suggères-tu d’un air malicieux, en néerlandais pour n’être comprise que d’elle. »

Et, sans attendre de réponse de sa part, tu saisis son poignet et la traînes vers le fameux beau gosse, t’accotant au bar non loin de lui comme si de rien n’était. Tu termines ton cocktail d’une traite, t’empares aussitôt d’un autre et, te tournant vers l’inconnu :

« Bonsoir, monsieur, vous pouvez aider nous ? t’enquiers-tu en alourdissant tes mots faussement maladroits d’un fort accent. Serveurs de bar ne nous comprennent pas quand on a... deman... dé ? pour cocktail en particulier, vous pouvez... hm... demander ? »

En conclusion de cette tirade savamment décousue – et de ce mensonge fragile, gauchement improvisé –, tu décoches un sourire enthousiaste. Parce qu’il n’est pas désagréable à regarder, l’inconnu joyeusement entourloupé, et que tu es une gamine qui s’excite pour un rien. Tu jettes un regard à ton amie, espérant qu’elle saurait renchérir – et qu’elle comprenait. Back in the game, honey.

(hrp : si jamais Naël, c'est pour toi les deux belles hollandaises 1 # Soirée de bienvenue au camping ( topic de groupe ) 3400689875

1 # Soirée de bienvenue au camping ( topic de groupe ) 3400689875

*sort*)

**Invité** Invité

I COULD BE YOUR KRYPTONITE.

when life leaves you high and dry, i'll be at your door tonight, if you need help. i'll shut down the city lights, i'll lie, cheat, i'll beg and bribe to make you well.

Le trajet avait été long et douloureux mais je n’avais pas fait cas de ces désagréments, le merveilleux parfum et la chaleur que dégageait Lewyn m’avait permis d’oublier tout ça. Nous étions arrivés sur les lieux, et la splendeur du paysage m’avait sauté au visage. C’était un véritable paradis. Et nous allions passés deux semaines ici, Lewyn et moi. Je nageais en plein rêve. Nous avions visité le bungalow et ce fut une – belle – surprise de constater que nous avions complétement oublié de préciser qu’il nous faudrait deux chambres séparées. Finalement, je n’étais absolument pas déçue de savoir que nous allions être « obligés » de dormir dans le même lit … à moins que Lewyn décide de demander un changement de bungalow, ou qu’il dorme ailleurs … en tout cas personnellement, je ne piperais mots.

Une soirée de Bienvenue avait été organisée au restaurant du camping qui était les pieds dans le sable, accès direct à la place. Nous étions accoudés, Lewyn et moi, au bar, tout en sirotant nos cocktails – sans alcool pour ma part – lorsqu’il se tourna vers moi tandis que je me perdais dans la contemplation de cette immensité qui s’offrait à nous. Doucement je m’arrachais à ce spectacle pour poser mon regard sur la perfection incarnée. « J’aimerais trinquer à deux choses, si tu le permets. Tout d’abord, ces vacances, amplement méritées. Et ensuite à lui… » Je baissais furtivement les yeux vers mon ventre caché par une petite robe d’été qui tombait à la perfection sur l’énorme bosse. Je pris mon cocktail tout en replongeant mes yeux dans le regard profond de l’homme de mes rêves : « En effet, mérités comme tu dis. Ces derniers temps ont été … éprouvants. Moi j’aimerais trinquer à … toi, mon sauveur. Et à ce séjour. Merci de m’avoir invitée… je … » Je ne terminais pas ma phrase, de peur de dire des choses un peu trop personnelles pour l’instant. Je n’avais pas envie qu’il parte en courant. Nous trinquâmes, les yeux dans les yeux.

love.disaster

**Invité** Invité

summer is comming

Il me semble que nous n’étions pas les seuls à trinquer, un homme assis un peu plus loin leva son verre en même temps que les nôtres. Je lui souris. Après tout il était un habitant de Siloam et de ce fait je ne voyais pas pourquoi nous aurions dû l’ignorer. Il fut rapidement rejoint par une jeune femme rousse et je reportais toute mon attention sur Taryn qui bégaya quelques mots. « En effet, mérités comme tu dis. Ces derniers temps ont été … éprouvants. Moi j’aimerais trinquer à … toi, mon sauveur. Et à ce séjour. Merci de m’avoir invitée… je … » Je ne sais si elle est gênée de la situation cocasse dans laquelle nous nous sommes trouvés dans le bungalow, ou si elle est émue. En effet je me suis retenu de partir d’un fou rire en découvrant que nous avons oublié de demander des chambres séparées. Tant pis. Moi ça me rendait heureux. Et si cela gênait Taryn, elle aurait le loisir de dormir seule dans le grand lit, moi je dormirais par terre, jusqu’à ce qu’elle m’accepte – peut-être – à ses côtés. Je lui souris, comme toujours de ce sourire si charismatique mais je crois avoir compris qu’il lui fait effet. « Comme si j’avais pu te laisser sous les décombres. Voyons Taryn, tu ne sembles pas avoir compris à quel point je tiens à toi désormais. » Les mots étaient sortis plus rapidement que prévu. Je ne voulais pas l’effrayer, mais plus le temps avançait plus j’avais besoin de lui faire comprendre ce qui se passaient au fond de moi, lui exposer mes sentiments au grand jour. Je me repris, passant une main gênée dans mes cheveux. « Enfin ce que je veux dire c’est que tu es une femme que l’on veut protéger, c’est comme ça. Mais tant mieux, ainsi j’ai pu te montrer mes talents de Superman… » Je voulais me frapper la tête contre le bar. Superman mec. T’es sérieux ? Tu veux la faire fuir là ?

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**Invité** Invité

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L’homme qui se trouvait à quelques mètres de nous (Naël), accoudé au bar, nous salua et je vis Lewyn lui répondre. Cet homme était parfait. Gentleman, poli, beau, talentueux … il avait tout pour plaire, pour ME plaire. J’avais failli lui dire que j’étais la femme la plus heureuse du monde de me retrouver ici, avec lui à mes côtés, j’avais également failli lui révéler que je n’avais attendu que ça, qu’il m’invite et que nous y allions ensembles – mon rêve avait été exaucé. « Comme si j’avais pu te laisser sous les décombres. Voyons Taryn, tu ne sembles pas avoir compris à quel point je tiens à toi désormais. » ma bouche forma un « O » et pendant quelques secondes, seul Lewyn se trouvait dans mon champ de vision, il n’y avait que lui et lui seul. Ma main fut actionnée par une force mystérieuse et mes doigts rencontrèrent ceux du beau brun, posé sur le bar. J’avais besoin de ce contacte, de me rendre compte que ce n’était pas un rêve mais la réalité pure et dure. Il venait vraiment de me dire ça. Bha oui, il t’a dit ça oui, allô allô Mamie, on se réveille ! me hurla dans la tête ma petite voix. Je m’ébrouais mentalement, mais Lewyn sembla se réveiller également, et reprit : « Enfin ce que je veux dire c’est que tu es une femme que l’on veut protéger, c’est comme ça. Mais tant mieux, ainsi j’ai pu te montrer mes talents de Superman… » Me lança-t-il, tout en passant une main dans ses cheveux, ébourrifant ces derniers, leur donnant un style « d’après baise ». Je me mordis la lèvre inférieure en pensant à ça. Il était mortellement sexy. « Je ne suis pas si fragile que ça … » Lui dis-je tout en roulant des yeux. Depuis que j’étais en train de « fabriquer » ce petit être, tout le monde pensait que j’étais faite de porcelaine. Bon certes, une femme enceinte doit être surveillée, et tout ça, mais tout de même, je n’étais pas en sucre. « Au fait … Tu … Tu souhaites changer, pour le bungalow ou … ça te … convient ?! » lui dis-je anxieuse de connaitre sa réponse. Je ne voulais pas changer, mais s’il le souhaitait, alors je n’aurais d’autres choix que d’accepter.

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Soirée de bienvenue ? Pas besoin de ça pour me procurer de l'alcool et des petits toast apéritifs. J'avais déjà bien mangé et terminé une bière (en plus de trois cocktails) à moi seule avant de venir à cette soirée. Je fus bien surprise de me retrouver face à une bande de coincés du slip tous pliés dans leurs coins et qui limite se regardaient avec dégoût. Je détestais ce genre d'ambiance et j'avais envie de m'en aller et de retourner de la ou je venais. C'était donc comme ça que commençait le superbe voyage offert par le maire ? Wouhou ça s'annonçait prometteur tout ça ! Je distinguais dans cette foule deux trois silhouettes familière . Je voyais Aedan avec une fille et je me mis à sourire toute seule : encore une de ses nombreuses conquêtes sûrement. Je vis Nael qui avait l'air bien occupé avec deux charmantes femmes et même Lewyn avec une jeune femme lui aussi. Sérieusement c'était ça leur soirée ? Je me servis un verre de vin que je bue presque d'un coup sec, je sentais que l'alcool me montait bien à la tête et que j'avais un peu abusée, mais dans l'état ou j'étais ça m'amusait plus que ça ne m'inquiétais. Alors mon sourire se transforma en léger rire : mon petit rire cristallin qui ressemblait à celui d'une souris. J'avais des attitudes étranges lorsque j'étais saoule, et ce n'était que le début. Après mon petit instant à rire de moi même seule, je me sentis tout d'un coup vexée de rire seule et que les autres ne soit pas aussi joyeux que moi. Alors prit d'un soudain élan de … De folie je dirais, je m'étais mise à crier tout fort : « Alors Siloam Spring vous vous éclatez ?! » ; des regards se braquèrent sur moi. Bravo Joey tu commence bien la soirée, on va encore devoir te ramasser par terre à la fin de cette soirée de coincé du slip post pubère.

**Invité** Invité

summer is comming

A peine avais-je prononcé ces quelques mots que Taryn changea littéralement. Elle sembla étonnée et je ne sais si c’est ce coup d’émotion qui la poussa à lier nos deux mains. Je n’osais pas bouger, croyant à un mirage, un tour de Satan, mais non, elle venait bien de prendre ma main, ses doigts fins se mêlant aux miens. J’aurais voulu me jeter sur elle pour l’embrasser fougueusement. Ce contact avait déclenché en moi ce que je tentais de contenir depuis notre rencontre fatale. Mais je restais calme, me contentant de ne pas bouger et de savourer cette union qui marquait pour moi un signe d’ouverture possible. Cela fut couronné par la question qu’elle me posa ensuite. « Je ne suis pas si fragile que ça … Au fait … Tu … Tu souhaites changer, pour le bungalow ou … ça te … convient ?! » L’hésitation qui perçait dans sa voix ne la rendait que plus charmante. Elle aurait pu rougir, que cela ne m’aurait pas étonné. Ses yeux braqués dans les miens reflétaient une forme d’anxiété. Mais de quoi avait-elle peur ? De moi ? Ou alors… Que je refuse de dormir avec elle à mes côtés ? Je pris sa main dans les deux miennes, la tenant fermement au creux de mes paumes. « Changer ? Alors que je pourrais profiter d’un si agréable compagnie ? Non pas le moins du monde. D’autant plus que tu peux dormir tranquille je ne te sauterais pas dessus. » Au moins les choses étaient claires, j’attendais son consentement pour ce genre de choses. Je souris et lui retournais la question par pure politesse, un sourire amusé aux lèvres. « Mais toi, cela te gêne-t-il ? »

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**Invité** Invité

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Nos doigts s’entremêlent, la chaleur de sa paume me remonte le long du bras, provocant de petits picotements agréables sous la peau. C’est envoutant et je n’arrive pas à me détacher de ses yeux. Le mélange de tout ça provoque en moi des bouffées de chaleur, je sens déjà mes joues rougir, instinctivement je me mords la lèvre. Soudain j’ai la folle envie de devenir tentatrice, de me transformer en femme normale – une femme qui n’est pas enceinte quoi. J’ai envie de jouer au jeu de la séduction, mais ce n’est pas possible, du moins pas tout de suite, pas en ayant un ventre aussi gros qu’une planète. Alors j’ose, j’ose lui poser la question qui me brûle la langue depuis que nous avons découvert notre chambre. Et sa réponse me redonne de la vigueur : « Changer ? Alors que je pourrais profiter d’un si agréable compagnie ? Non pas le moins du monde. D’autant plus que tu peux dormir tranquille je ne te sauterais pas dessus. » « Je ne te sauterais pas dessus » ?! Ah oui ? Il a donc pensé à cela ? Pourtant s’il savait comme ça ne me dérangerait pas, bien au contraire, j’en rêve. Mais je ne dis rien, ne relève pas. Mes joues rougissent encore, alors je me mords un peu plus fort la lèvre, la faisant presque saigner. Mais un sourire me fait mal aux zygomatiques, je ne peux plus tenir, alors je libère ma lèvre, gonflée par la morsure et enfin les commissures de mes lèvres prennent de la hauteur. A présent, un grand sourire barre mon visage. Comment résister à cet homme ? « Mais toi, cela te gêne-t-il ? » Son sourire amusé me fait un effet bœuf, mais je m’empresse de répondre, baissant légèrement la tête, faisant tomber par la même occasion, une mèche blonde devant mon visage : « Oh pas le moins du monde Monsieur Keynes … » Ca y est, je joue, c’est trop tard pour reculer. Je suis d’humeur taquine, excitée par ses révélations, par son contact. Je suis en extase.

love.disaster

**Invité** Invité

[MA COPINE ELLE A DIT QU'ON ALLAIT DRAGUER NAEL, JE M'INCLINE ET J'OBEIS \o/]

À boiiiiiiiiiire, oui ! Je crois que je n'arriverai à supporter ces vacances qu'en étant continuellement bourrée. En plus, ça semble un excellent moyen d’éviter sans complications cette fameuse discussion en suspend qu'on sait qu'on doit avoir un jour, tacitement, mais que ni l'une ni l'autre n'a osé pour l'instant remettre sur le tapis. Voilà. Je vais passer quinze jours ivre morte. JE SUIS UN GÉNIE.

Kaatje en est à son deuxième ou troisième cocktail. Moi je viens de finir le quatrième. Open-bar putain. Ça fait tellement longtemps que j'ai pas pu me prendre une vraie cuite. C'est la fête dans ma tête et dans mes jambes et le parfum de Kaatje, indélébile même à travers les ans, me renvoie des années en arrière, avant, avant que tout bascule, avant qu'elle ne tente de m'embrasser, avant que je ne la repousse. Ma froideur a totalement fondu et quand elle me désigne le beau mâle, j'approuve d'un sourire idiot et suis tellement molle qu'elle me traîne presque par terre jusqu’à lui.

Je rêvassais seulement, perdue dans ma nostalgie, je ne suis pas encore totalement ivre. Mais pendant que Kaatje prend les choses en main, je décide d'en jouer et titube en me tordant à moitié la cheville - on ne s'en rend pas compte, mais les ballerines c'est glissant et ça peut être aussi traître que des talons [VÉRIDIQUE PUTAIN]. Je m'accroche au bras du beau blond en riant un peu trop fort.

- Ooooups ouhouhouhou ! Pardon... Je...

Je me redresse tant bien que mal et récite les mots comme une étudiante hésitante, avec mon sourire le plus candide :

- Je te présente... toutes mes excuses !

Regard éclatant de fierté d'avoir réussi à pondre cette petite phrase.

- Vous pouvez aider nous. Elle a soif, et j'aime savoir prénoms des gens. Je suis...

Yeux bleus mystérieux et sourire malicieux.

- Voyante, c'est comme ça que vous... dites ? Prénom me dit comment tu es !

**Invité** Invité

a stranger to some and a vision to none

S’il y a bien une chose que Clementine déteste par-dessus tout, c’est être seule à une fête. Malgré son caractère extraverti et souriant, voir tous ces genre arriver en couple ou en groupe la coupe immédiatement dans son élan. Cela fait des lustres qu’elle n’a pas mis les pieds à une vraie fête. Peut-être depuis qu’elle a quitté Los Angeles. Trois ans, donc ? Non, pas si longtemps… Vêtue d’une robe à la jupe bleue et au bustier blanc doublé de dentelles composant également les bretelles, elle reste plantée non loin de la porte qu’elle a emprunté pour arriver. De toute façon, vers qui pourrait-elle bien aller ? Elle ne reconnait personne et, même si à un moment donné, une petite figure mince et des cheveux bruns à l’air soyeux la fond douter, elle hésite trop longtemps pour pouvoir la rejoindre. La femme disparait derrière un groupe d’amis discutant à coups de grands rires et de cocktails. Clementine secoue la tête tout en laissant échapper un léger soupire. Elle se balance sur ses petits et regarde le fond de son verre à cocktail. Après deux Margarita, le Mojito n’a pas eu plus d’effet. Ce soir, étrangement, elle n’a absolument pas envie d’y mettre du sien. Malgré cela, ses pieds la portent d’eux-mêmes et vont l’assoir à une table. Seule. Elle maudit ses réflexes. Pourquoi seule ? Pourquoi pas la faire s’incruster dans un groupe ? Un grognement la secoue légèrement mais elle se force à se relaxer dans la chaise. Quoi qu’il en soit, il n’y a rien d’autre à faire.

FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.

**Invité** Invité

Summer Gift

Everybody ♥

It's summertime

Allez Joy, c’est juste une petite soirée organisée par la ville, pourquoi est-ce que tu es si stressée ? C’est vrai ça. Pourquoi j’étais si stressée ? J’arrangeai une dernière fois mon chignon et rajustai ma robe rouge. N’était-elle pas trop … extravagante ? Je soupirai un peu, et entrai donc dans la petite salle. Kiara me rejoindrait après, elle devait encore se préparer. C’est avec une robe rouge vive, fendue sur ma cuisse gauche, et des talons rose pâle que j’avançais. La plupart des personnes semblaient déjà s’être trouvé un partenaire de soirée. Sauf certaines. J’avançai jusqu’au bar, commandant un Octobre Rouge et balayai la salle du regard. D’un côté un couple avec une jolie femme enceinte. De l’autre, deux jeunes femmes déjà bien … entamées qui draguait un bel homme. Ensuite, une petite rousse et un brun, que je n’appréciais pas spécialement. Cet énergumène s’entêtait à draguer Kiara et ce n’était pas du plus bel effet. Il y avait aussi une autre jeune femme, la peau couleur chocolat au lait, qui s’amusait à crier. Un petit sourire se dessina sur mes lèvres et c’est vers une femme aux traits asiatiques que je me dirigeai (Clémentine). « Bonsoir. » elle était magnifique dans sa robe et je … et bien en fait j’engageai la conversation. « Vous attendez quelqu’un, vous aussi ? » sans m’asseoir en face d’elle, c’était juste pour lui tenir compagnie. Elle semblait un peu triste. Et ce genre de soirée n’était pas faites pour être triste.

Code by AMIANTE

The Summer Gift
Naël & Calliopée

Nous étions enfin arrivés à bon port et même si la durée du voyage n'avait pas été aussi longue que pour un voyage à Bangkok, par exemple, j'avais réussi à m'endormir au moins deux fois durant le trajet. Autant dire que j'étais vraiment heureuse d'être enfin sur cette terrasse, en vacance. Mon allure était vraiment déplorable en arrivant mais j'avais eu le temps de me refaire une petite beauté en me glissant discrètement dans les toilettes pour dames.

J'étais donc plantée comme une nouille à regarder tout ce beau monde que je ne connaissais pas et je ne voyais pas trop comment m'intégrer. Un homme était assis au bar et paraissait dans la même situation que moi, c'est pourquoi je choisis de m’asseoir à côté de lui et de l'aborder. Autant tout tenter non ?
" Bonsoir " lâchais je en le regardant du coin de l'oeil. " Qu'est ce que vous faites tout seul ? Vous n'êtes pas parti en couple ? ". J'étais curieuse mais je voulais savoir à quoi je m'attaquais.

electric bird.

I don´t care! I love it!

You´re on a different road, I´m in the Milky way you want me down on earth but I am up in space. You´re so damn hard to please we gotta kill this switch. You´re from the 70´s but I´m a 90´s Bitch!

Il y avait de plus en plus de monde dans la salle, mon regard croisant ceux des autres, parfois heureux ou parfois lointains. J'aimais cette sensation, d'être quelqu'un parmi d'autres, et de ne pas être juste la gamine rousse dont tout le monde adore se préoccuper pour une fois. Le verre en main, une voix familière s'approcha de moi « Hey, Guimauve. » Je me retourne, le sourire aux lèvres, priant pour que je ne me mette pas à rougir ou quoi que ce soit d'absolument gnagnan et rose bonbon. Il avait bien dit... Guimauve ? Pendant trente secondes, je m'étais imaginée en guimauve, cette altercation avec mon prénom, on ne me la faisait jamais. J'entendais Mauviette, mais pas Guimauve. « Déjà en train de picoler ? Tu vas pas tenir toute la soirée ! » Il doutait de mes capacités, maintenant ? En même temps, nous ne sommes jamais allés en soirée ensemble. Je regarde Aedan dans les yeux, ce même sourire taquin sur les lèvres, un air de défi dans les yeux. « Salut Dan. » J'avais opté pour un surnom à mon tour, parce que c'était mignon. Euh, court pardon. « Mh, tu ne m'as jamais vu en soirée alors ! » la vérité, c'est qu'en soirée, j'ai tendance à finir complètement ivre et à appeler Sam pour qu'il me ramène chez moi et m'aide à décuver. Je jette un regard à ma robe rouge ; ce serait vraiment dommage de la salir. « Au fait, merci d'avoir accepté de venir avec moi. » et de partager le même bungalows que moi deux semaines. Et pour ça aussi, je m'inquiétais. Est-ce que le fait de se retrouver à deux ranimera ce sentiment bizarre ?

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Summer Gift

Let it go ♪

Je détaillai la jolie rousse dans sa robe rouge. Elle lui allait … très bien. Moi ? J’étais venu en mode touriste. Parce que oui, pour une fois, j’avais misé sur la simplicité. Est-ce qu’il fallait que je le lui dise ? Qu’elle était … très jolie dans cette petite robe ? Je commandai un Blue Lagon, tout en l’écoutant. « Dan ». C’était le surnom que me donnait ma mère quand j’étais petit et il m’arracha un sourire niais. Je m’asseyais face à elle, ravalant pour une fois une réplique cinglante, et me perdant complètement dans ses jolis yeux. J’en devenais tellement … La voix de Joey me tira d’une rêverie brutalement. Je regardai quelques secondes la métisse, avant de sourire et de lever les yeux au ciel. « En effet, j’ne suis jamais venu avec toi en soirée. C’est la première fois. » La première fois. C’était étrange à dire, étrange à prononcer. Ça avait un petit goût sucré sur le bord de mes lèvres.
Et … bordel, est-ce qu’elle venait de me remercier ? Je restai interdit. C’était … adorable. Mais tellement étrange. Voilà que mon cœur s’était mis à battre un peu plus fort. Parfois j’me demandais si Mauve n’était pas une sorcière. Si elle ne m’avait pas ensorcelé ou je ne sais quoi d’autre. Parfois j’me demandais si elle n’était pas une voleuse. Si elle n’avait pas volé mon c … Stop. Je secouai la tête avec nonchalance. « Et bien, aussi étrange que cela puisse paraître, Mauve, c’est un plaisir. » j’avais parlé comme un Casanova. Mais j’étais franc. Sa compagnie ne me dérangeait pas autant que je le prétendais. Je me permis encore une petite phrase « mignonne » : « Cette robe te va à ravir. » Et voilà. J’fondais, comme un bonhomme de neige en plein soleil. Ou comme une glace. Ou comme du chocolat. Je fondais putain. Je me raclai la gorge et baissai les yeux, sans trouver quoi dire de plus.

Code by Fremione.

Tandis que je bois mon mojito, les deux filles s'approchent de moi. Aller, encore des charmeuses qui veulent mon argent ! Il n'y a que ça au bar, ça a été ma compagnie pour environ les 10 dernières années... En général c'était plutôt camouflé. Mais là c'est bien trop évident. Pourquoi voudraient-elles me parler ? Tout le monde déteste tout le monde ici. Je soupire d'avance.

Elles arrivent à ma hauteur et semblent déjà bien bourrées. La première essaye de placer une phrase dans une langue des plus approximatives. La seconde se confond en excuses. "Bonsoir, monsieur, vous pouvez aider nous ?" "Serveurs de bar ne nous comprennent pas quand on a... deman... dé ? pour cocktail en particulier, vous pouvez... hm... demander ?". Ouaip et je suppose que ton impossibilité de parler notre langue t'empêche de sortir le billet de ta poche...

Je les regardes, l'air mi exaspéré, mi amusé. Je lève les yeux au ciel et souris. "Bon... 150$ chacune, vous comprenez ça ?" J'articule bien exprès et bien lourdement : "Cent cinquante do-lard". Je leur donne la somme et les regards hésitant puis je me décide à proposer : "Si vous êtes à sec... Revenez me voir. Mais ça reste entre nous, je veux pas voir toutes les jeunes filles de Siloam accroché à mon porte monnaie !". Enfin, je les regarde de plus près et je dois avouer qu'elles sont vraiment sexy. Alors avant qu'elles ne partent je leur dit : "Il parait que les bungalows sont petits... Moi ça me dérange pas". J'ajoute un petit sourire dont j'ai le secret et repart boire un verre.

Une autre jeune femme se pose à coté de moi. "Bonsoir" "Qu'est ce que vous faites tout seul ? Vous n'êtes pas parti en couple ?" J'éclate de rire. "Si vous voulez vous pouvez passer les banalités et me demander ce dont vous avez besoin" Elle avait l'air plutôt sérieuse en fait. "Hum. En revanche si vous voulez vraiment savoir, je viens avec une... amie. Mais elle a un empêchement et elle ne viendra que plus tard dans le séjour. Je suis un peu un nouveau dans cette ville alors c'est la première personne que j'ai rencontré." Je rigole. "Oui je sais ça fait un peu le mec seul qui s'invente une amie qui va venir mais c'est la vérité !" Je marque une nouvelle pause et regarde autour d'elle, elle est seule. "Vous êtes seule vous aussi ? Nouvelle ?"

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You´re on a different road, I´m in the Milky way you want me down on earth but I am up in space. You´re so damn hard to please we gotta kill this switch. You´re from the 70´s but I´m a 90´s Bitch!

Pour une fois je me sentais agréablement bien, avec Aedan à mes côtés et tout ces gens autour. Je continuai tranquillement de siroter mon Bloody Mary tandis qu'il commandait un Blue Lagon. Je ne pouvais m'empêcher de le trouver craquant dans son short orange et son débardeur. Soudain, deux jeunes femmes déjà ivres attirèrent mon attention ; une rousse et une brune qui n'avaient pas l'air de très bien parler l'anglais, ou du moins approximativement. J'eu un sourire, tout en me rappelant que j'étais proche de leur imitation les années précédentes ; j'étais Lisa la française perdue et une vague amie à moi jouait le rôle de la grande sœur. C'était mes années de débauches et de rébellion contre ma génitrice. Malheureusement, ça n'a pas duré bien longtemps... « En effet, j’ne suis jamais venu avec toi en soirée. C’est la première fois. » Je posai mes mains à plat sur mes cuisse. A vrai dire, j'espérais vraiment que je n'allais pas boire au point de finir comme à ma folle habitude ; personne ne serait là pour m'aider : sauf lui. Mais je n'avais pas envie qu'il assiste à ce spectacle, ces crises de folies nocturnes et je passe les détails. J'allais donc faire mon possible pour rester clean et sobre, à moins qu'il ne tienne vraiment à me voir ainsi. « J'espère bien que ça ne sera pas la dernière. A moins que tu ne trouves mieux que moi dans cette pièce...» je laissai ma phrase en suspens, jusqu'à ce que je retrouve la réplique parfaite. « ce qui ne risque pas d'être le cas ! » Un rire s'échappa de mes lèvres, moi, narcissique ? Pas vraiment, mais j'avais envie de passer une bonne soirée.

« Et bien, aussi étrange que cela puisse paraître, Mauve, c’est un plaisir. » Trop tard, j'avais rougis. Saviez vous que lorsque les rousses rougissent, ce n'est pas comme tout le monde ; on devient littéralement rose. Et c'est TRES dérangeant, surtout quand vous n'avez pas l'habitude de ce genre de rendez-vous, de soirée et que vous avez le garçon qui sème la pagaille dans votre crâne. Oh, ressaisis toi ma vieille ! Je ne savais plus quoi dire, alors il enchaîna directement par un compliment qui aurais fait tomber toutes les filles de la pièce « Cette robe te va à ravir. » Je souriais bêtement. « Je pourrais dire pareil de ton short ! » Pitié, sérieusement ? J'avais vraiment dis ça ? Fallait que je me rattrape, d'une manière ou d'une autre pour faire disparaître le gêne dans lequel on se noyaient ensemble. Soudain, une musique en particulier retentit. « J'adore cette musique ! »

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The Summer Gift
Naël & Calliopée

L'homme éclata de rire mais il avait plutôt l'air de quelqu'un de moqueur plutôt que quelqu'un de charmeur, usant de son charme pour avoir une femme dans son lit. J'étais sans doute tombée sur l'andouille de service de toute la soirée mais je ne devais pas juger aussi facilement sans essayer de comprendre cet énergumène. "Si vous voulez vous pouvez passer les banalités et me demander ce dont vous avez besoin" lâcha t'il. Non mais quel culot, pensais je. Encore un de ceux qui ont besoin de dire tout ce qui leur chante pour se rendre intéressant...

" J'essayais juste de faire la conversation " répliquais je sans méchanceté. Il m'expliqua ensuite une histoire comme quoi il attendait quelqu'un ce qui me laissait perplexe mais je ne pouvais pas juger étant donné que je ne le connaissais que très peu. J’acquiesçais en silence, consciente que notre relation commençait du mauvais pied. Il me demanda ensuite pourquoi j'étais venue seule et si j'étais comme lui nouvelle à Siloam Spring. " En fait je suis là depuis six ans mais principalement pour mes études, je n'ai pas réellement pris le temps de sortir et de faire connaissance ... Mais si vous préférez je peux aussi partir, je ne cherchais rien de particulier en venant vous trouver, hormis une quelconque compagnie. " Ma réponse était assez rêche mais j'avais compris son approche comme une tentative de me foutre mal à l'aise.

electric bird.

Viva la fiesta!

20h30. Je venais de recevoir un message sur mon téléphone me disant qu'une fête de bienvenue avait été préparé pour nous. J'étais à la plage lorsque j'appris la nouvelle. Oui dès mon arrivée je m'étais empressé d'aller voir la plage. Elle était juste super je m'imaginais déjà m'initier au surf et à toutes ses folles activités qui s'ouvraient à moi. Mais pour le moment je devais me rendre au banquet. Je ne prendrais pas la peine de me changer. Une chemise à carreaux ouverte, un débardeur et mon jean feront surement l'affaire. On va manger tous ensemble quoi, Il n'y a pas de quoi en faire tout un plat. Je demandais alors mon chemin aux habitants jusqu'à arriver au dit endroit. J'entrais dans le lieu croisant quelques visages qui m'étaient familiers. Certains que j'avais déjà croisé en train de discuter avec Jo et d'autre que je connaissais personnellement. En parlant de Jo je la voyais là euphorique, je ne vous cache pas que cela me faisait sourire de la voir dans cet état. Oh mon dieu faut vraiment que je la garde à l’œil cela. À force j'avais pris l'habitude de faire ça. Je ne pouvais pas faire autrement c'était plus fort que moi. Enfin bref, elle venait de hurler aux oreilles des gens, alors là mon rire se fit entendre. Mais pour rire un peu je la laissais délirer et profiter de sa soirée. Je m'asseyais alors en prenant quelques cocktails et deux brochettes. Mais au bout d'une demi-heure voyant que l'ambiance ne changeait toujours pas, je me levais alors, me dirigeant vers les musiciens et je leur demandais si je pouvais bien me permettre de jouer un morceau avec eux. Au bout de dix minutes ils me dirent qu'après la chanson qu'ils passait actuellement ils me laisseraient faire quelques morceaux. Je souris tout joyeux en préparant mes membres. Après avoir attendu je me plaçais sur le siège du batteur en demandant s'ils connaissaient la chanson que je voulais jouer. Ils acquiescèrent. Et je commençais alors à jouer suivi par les autres musiciens.

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