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COLD COFFEE 2.0
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ETHAN ✗ everything you touch surely dies

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MessageSujet: ETHAN ✗ everything you touch surely dies ETHAN ✗ everything you touch surely dies EmptyLun 10 Nov - 23:18




Ethan J. Müller


Let me introduce a little anarchy


 
Ici on m'appelle ethan joel müller ou aussi docteur müller. Je suis né un certain vingt avril 1982, si vous savez compter j'ai donc trente-deux ans dans cette magnifique ville qu'est Little Rock. Pour payer mon carton de luxe, je suis neurochirurgien. Dans ma vie c'est un peu pas la misère, je partage de temps à autres ma vie avec quelqu'un. On dit souvent de moi que je suis indépendant, mystérieux, fataliste, séducteur, moqueur, marginal, charismatique, intelligent, réfléchi, opportuniste, hypocrite, c'est pour ça qu'on me trouve chez les sad rain. Franchement, je trouve que je ressemble pas mal à Joseph Morgan d'ailleurs les photos/gifs viennent de scorbushelps.tumblr.


Let's talk about you and me


C'est encore moi, snatch, qui vous revient avec un personnage ultra-fucking-sexy à souhait. ET IL EST CÉLIBATAIRE MESDAMES. je vous avait dit que je prendrais JoMo, eh bien TADAM. PROSTERNEZ-VOUS DEVANT MOI. la fille dans son powertrip.


Code:
JOSEPH MORGAN [color=#db0b32]♦[/color] ethan j. müller





Dernière édition par Ethan J. Müller le Dim 16 Nov - 0:16, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: ETHAN ✗ everything you touch surely dies ETHAN ✗ everything you touch surely dies EmptyLun 10 Nov - 23:32




the opposite of love is indifference.



 
OCTOBRE 1988

« Monsieur et madame Müller, votre fils est exceptionnel. Il sait déjà lire et écrire et compte jusqu’à cinquante! » L’homme bouge ses mains pour accentuer ses paroles, et pointe mes résultats scolaires.
« À vrai dire, monsieur le directeur, il compte jusqu’à cent… » Ma mère se balance légèrement sur sa chaise, glissant nerveusement une mèche de cheveux derrière son oreille.
« Vous comprenez que le laisser ici est un peu comme gaspiller son talent? Il est beaucoup trop avancé pour cette école! » Le directeur gesticule et regarde mes deux parents qui ne comprennent pas exactement pourquoi ils ont été convoqués ici, dans le bureau du directeur de l’école primaire. Je ne suis pas du genre à me battre, je ne suis pas violent et je suis plutôt solitaire règle générale.
« Pourquoi nous avoir demandé de venir, monsieur le directeur? Mon fils est un génie, il ne cause pas d’ennuis, alors qu’aviez-vous de si important à nous dire? » Mon père le regarde gravement, s’attendant à une terrible nouvelle. Le directeur se racle la gorge.
« Nous pensons que ce serait mieux pour Ethan d’aller à l’école privée. » L’homme en veston chic regarde mes parents, deux personnes tout à fait ordinaires, dans la classe moyenne. Mes parents se regardent avec des yeux ronds et ma mère laisse tomber, découragée et gênée :
« Mais voyons, c’est absurde, nous n’avons pas les moyens pour ça! » Le directeur hésite quelques instants, et c’est là que ma vie a pris un tournant imprévu. Grâce à des bourses d’études pour les jeunes avec moins de moyens, je pourrais accéder à ces écoles « de mon niveau », le pauvre parmi les riches. C’était un peu comme vivre de la charité, et si mes parents voyaient ça comme un cadeau du ciel, en grandissant je voyais plutôt ça comme une humiliation.


1988 - 1994

J’ai passé ma vie dans les écoles privées, toujours premier de classe pour ne pas perdre mes privilèges d’enfant pauvre dans ce milieu de riches. Je ne me mêlais pas trop à la foule, trouvant ça embarrassant. Je n’étais pas comme eux, même si nous partagions le même quotidien. J’étais le marginal de l’école, ce garçon qui ne parlait pas beaucoup mais qui était ô combien intelligent et irréprochable. Toujours les bons mots, articulé, je laissais les gens perplexes. Je n’étais qu’un enfant pourtant.


JANVIER 1996

« Monsieur Müller, pouvez-vous répéter ce que j’ai dit, ou étiez-vous trop occupé à parler à mademoiselle Hoffman? » L’enseignante de français me regarde sévèrement et croise les bras, pensant m’avoir coincé cette fois-ci. Je la regarde, ma main toujours appuyée sur l’épaule de ladite demoiselle Hoffman, et un sourire moqueur se dessine sur mes lèvres. « Comme vous l’avez déjà répété trois fois cette semaine, Mrs. Boyards, les verbes du premier groupe sont ceux qui se terminent par ER. Comme par exemple ‘jouer’, ‘aimer’, ‘embrasser’ » Je regarde la brunette à côté de moi en énumérant les verbes, un sourire moqueur aux lèvres. Elle rougit et la professeure pousse un soupir agacé.
« Monsieur Müller, pourriez-vous s’il vous plaît retourner vous asseoir à votre place et cesser de déranger mademoiselle Hoffman? » Elle me fixe d’un air strict et je la regarde en retour, défiant.
« Je ne l’ai pas entendu mentionner que je la dérangeais en quoi que ce soit, Mrs. Boyards. » Je ne la quitte pas des yeux et la femme ouvre la bouche, mais aucun son ne sort. La classe est silencieuse, puis le cour reprend, et ma main se glisse à nouveau dans les cheveux de la jeune fille qui glousse légèrement. Je dépose mon index sur ses lèvres, murmurant doucement. « Shh. »



JUILLET 1999

Des filets de lumière passent au travers des rideaux de la chambre. Comme tous les étés je suis chez mes parents, libéré du monde superficiel des enfants de riches pas si brillants que ce que l’on tente de vous faire croire. Je dépose un baiser sur le front de la blonde aux cheveux bouclés dans mon lit, et elle pose ses mains sur mes épaules. Mes lèvres s’emparent des siennes et je sens ses ongles s’accrocher à ma peau. Mes mains se posent sur sa poitrine et je la sens frissonner à mon contact et soupirer. Je trace une ligne de baisers jusqu’à son nombril, et elle attrape l’oreiller, le serrant dans ses mains fermement. « Ethan, tu es tellement parfait… » Je mordille sa peau et la coupe en l’entendant parler. Je lui souris et l’embrasse à nouveau, murmurant contre sa bouche. « On sait tous les deux que ce n’est pas vrai, et que tu dis la même chose à tous les autres. Ça ne sert à rien de faire semblant. » Elle détache ses lèvres des miennes et me regarde, elle ne semble pas comprendre. Je souris tendrement, l’air rassurant. « On fait rien de mal, c’est juste pour le plaisir. Pas vrai? » Sa main droite se glisse dans mes cheveux et elle hoche la tête positivement. « Ouais… » Elle ne semble pas rassurée alors je glisse ma main dans ses boucles dorées. Elle sourit et m’embrasse, puis je l’entraîne sous la couverture.


1999 - 2008

C’est un grand bond dans le temps, mais il ne s’est pas passé grand-chose d’exceptionnel durant ces dix années. J’ai gradué avec les meilleurs résultats de mon école, puis suis allé étudier à Berkeley. J’avais envie de voir un peu le soleil, je crois. Des années d’études profondes, de travail acharné et de rencontres sans importance avec des filles sans importance qui m’ont sans doute aussi rapidement oublié que je l’ai fait de mon côté. Puis un jour je l’ai rencontrée. Elle était plutôt jeune pour être professeure. Elle était dans la trentaine, pas plus. Je n’ai jamais osé en parler, mais je l’aimais profondément. Tout ça me paraît ridicule aujourd'hui.


NOVEMBRE 2010

« Ethan, on ne peut pas faire ça, je suis mariée… » Elle murmure, et je l’embrasse de plus belle. Je l’entends glousser puis la vois qui ferme les yeux. Elle ne fait pas ses trente-sept ans, en tout cas. « Et alors, il a pas besoin de savoir. » Ses doigts frôlent mes épaules nues et elle semble pensive. Je soupire, exaspéré. Nous avons eu cette discussion mille fois déjà. « Helen, il n’y a plus aucun risque, je suis diplômé et … » Elle me repousse et je croise les bras. « Ce n’est pas ça, Ethan, c’est pour mon mari que je m’inquiète. » Je baisse les yeux. « Helen, je t’en prie. Cesse de t’en faire. Il ne le saura pas, tout va bien aller. » Elle se met à sangloter et je m’approche d’elle pour la serrer dans mes bras, mais elle se raidit et tombe au sol en convulsant. Je fige, même si j’ai vu des centaines de patients déjà dans cette situation. Je me précipite au sol pour l’aider et signale le numéro des urgences. Je n’ai pas ce qu’il faut ici pour la soigner. Je n’ai jamais vu un AVC sur une personne aussi jeune et j’ai du mal à croire ce qui se passe. Les larmes roulent sur mes joues et j’ai peine à comprendre ce qui se passe. Les secours arrivent et je réalise que son mari devra être mis au courant. Il va tout apprendre d’un coup. J’ai la tête qui tourne, appréhendant la confrontation future. Je regarde cette femme dont je suis éperdument amoureux se diriger à l’hôpital, exactement dans le département où je travaille. Je décide de m’y rendre malgré l’éventualité de croiser son mari. Après tout, je suis médecin.


DÉCEMBRE 2010

Dans ma chemise blanche, je fais face à mon collègue qui tient entre ses mains le dossier de la femme que j’aime. Son état est stable, mais catastrophique. « Il doit y avoir un moyen, quelque chose que vous n’avez pas encore essayé… » « Dr. Müller, vous avez suivi le dossier depuis le début, nous avons fait tout ce que nous avons pu. Au mieux, si elle vit, elle sera complètement légume. » Je fige en entendant les mots du chirurgien devant moi et j’ai un haut-le-cœur. Je ne peux pas les laisser l’opérer. La laisser survivre serait plus horrible que de la voir mourir. Je regarde au travers de la vitre pour observer Helen dans un coma artificiel. Je regarde autour de moi, et constate que le couloir est vide. Je ne réfléchis pas en avançant vers la chambre, m’approchant du lit. J’embrasse une dernière fois ses lèvres asséchées et me penche vers les fils branchés au mur. Je tire brusquement, et tout s’éteint. Je regarde Helen s’endormir devant moi pour une dernière fois et baisse les yeux, ravalant mes larmes. Je sors rapidement de la chambre et me presse vers la sortie. Sur la route vers mon appartement, je m’arrête, pris d’un haut-le-cœur. Je martèle ma voiture du poing, furieux de ne pas avoir pu faire plus. Je suis pris d’un frisson alors que le vent me heurte de plein fouet et je me résous à retourner dans la voiture.
Je me rappelle avoir bu beaucoup, brisé quelques verres, pleuré énormément, martelé les murs et vomi mes tripes ce soir-là.


MAI 2011

J’ai passé exactement quatre mois et vingt-sept jours à me morfondre et à pleurer le décès d’Helen. Je ne sortais pas de chez moi, culpabilisais sur ce qui s’était passé même si ce n’était bien évidemment pas ma faute et ne pouvais même pas concevoir de revoir un jour quelqu’un d’aussi bien qu’elle. Je ne sais pas ce qui s’est passé ce soir-là, si l’alcool était trop fort ou si j’ai reçu un vilain coup sur la tête, mais après des mois d’exclusion j’ai décidé d’accepter l’invitation de mon meilleur ami ainsi que collègue.
Ça faisait un bail que je n’avais vu personne, me contentant de m’isoler dans le travail, et lui passait sa vie à errer dans les bars. Célibataire depuis le début des temps, il prétendait ne pas avoir trouvé la perle rare mais selon tout le monde, il se faisait surtout éconduire.

Il est parti de son côté et moi du mien, ramenant la jeune femme avec moi. Pendant la soirée, j’ai appris au fil des verres qu’elle était étudiante en lettres, rien de bien passionnant, mais aussi qu’elle revenait de ce superbe voyage au Mexique et avait des centaines de photos en bikini. En passant la porte de son appartement, il est pourtant évident qu’il n’est pas question que de montrer des photos. Ma main glisse sous sa robe et elle éclate de rire trop fort. Je soupire, secrètement un peu exaspéré de la fille saoule qui m’accompagne. Titubant dans l’appartement, elle me regarde et me parle la bouche pâteuse. « Et si tu me parlais un peu de toi, tu m’as dit que tu étais célibataire, mais c’est tout. » Je regarde la blonde devant moi qui détache déjà sa robe. Le bruit de tissu froissé se fait entendre et bientôt elle se tient devant moi en sous-vêtements et talons hauts. J’ai besoin d’un autre verre, ou sortir d’ici rapidement. Elle s’approche et pendant quelques secondes je crains qu’elle ne trébuche. Je fais mine de ne pas avoir entendu sa question pour ne pas avoir à lui donner d’explications et lui souris d’un air rassurant. « On en parlera plus tard, c’est pas important pour l’instant. » Mes lèvres croisent les siennes et rapidement elle oublie qu’elle ne me connait presque pas. Demain elle n’y pensera plus et moi aussi.

Ça me convient parfaitement, en fait. Et ça me fait réaliser à quel point Helen était une perte de temps.


2012

Elle s’allonge sur le lit et m’observe en silence alors que je remets mon pantalon. Elle fait une moue et je hausse les sourcils en la voyant faire. « Tu savais déjà que ça allait se terminer comme ça, alors la ferme. » Je lui lance un regard dur et elle soupire longuement uniquement pour me montrer son agacement. « Je croyais que…Laisse tomber, en fait. » Je lève les yeux au ciel, jetant un œil à mon reflet dans le miroir. Je peux voir l’interne encore couchée sur le lit. Je souris moqueusement alors que j’attrape ma ceinture, et lorsqu’elle réalise que je fixe son corps nu au travers de la glace, elle s’enveloppe de la couverture. Je ricane. « Me fais pas pleurer, t’as eu ce que tu voulais au final. » Je la vois qui rougit, visiblement honteuse de son geste. Je prends ma chemise posée sur le fauteuil et enfile les manches puis commence à la reboutonner, jetant un coup d’œil à l’étudiante en médecine devant moi qui ne semble pas sur le point de se bouger. « Je pensais que c’était réciproque, tu m’as menti. » J’éclate de rire et croise les bras. « Réciproque? Tu voulais une meilleure moyenne à ce que je sache, pas une demande en mariage. » Je regarde l’heure et regarde la blondinette sur le lit, toujours mi-furieuse, mi-triste. Agacé, je soupire et ramasse mes quelques affaires sur la table basse près du lit. « J’ai une opération tout à l’heure. La chambre d’hôtel est déjà payée, je vais m’occuper de tes notes en soirée. » Je fais tourner la poignée de la porte et adresse un dernier regard à la jeune femme dans le lit. Je lui souris avant de terminer la conversation sur un ton assez mielleux. « N’oublie pas, aussi, je reste toujours le Dr. Müller. » Je lui fais un clin d’œil et referme la porte à temps pour entendre un oreiller tomber mollement sur la construction de bois. Je regarde mon agenda sur mon téléphone. Une tumeur à retirer dans deux heures. J’aurais presque pu rester encore un peu dans la chambre, mais j’ai horreur quand elles s’attachent ainsi.


AOÛT 2013

Je desserre ma cravate et garde un air impassible devant les deux hommes et la femme âgée devant moi. Un dossier épais est placé sur le bureau et je sais très bien pourquoi je suis dans le bureau du patron. Mes mains sont posées à plat sur mes cuisses à présent, et sont légèrement moites. J’avale lentement ma salive, attendant que l’un de mes supérieurs daigne parler. « Vous êtes un des meilleurs chirurgiens de l’état, monsieur Müller… » Le deuxième commence, et gratte sa barbe nerveusement. « Vous êtes excellents. Un travail remarquable, irréprochable. » Je regarde la femme qui les accompagne, devinant que c’est elle qui a la tâche désagréable de m’annoncer le problème. Il y a eu des plaintes, c’est certain. Je calcule mentalement les internes avec qui je me suis envoyé en l’air mais un raclement de gorge me ramène à la réalité. La cheffe de service ajuste ses lunettes sur son nez et me regarde sévèrement. Je lui adresse un sourire déstabilisant en retour. Je sais qu’elle se retient mais qu’elle a maintenant très envie de baisser les yeux. « Il y a eu des rumeurs, docteur. Puis lorsqu’il y a eu des plaintes, nous n’avons pas eu le choix de monter un dossier. » Je ricane, essayant de détendre l’atmosphère. Ils ne pensent quand même pas pouvoir me virer comme ça? « Vous parlez comme si j’avais violé quelqu’un, c’est ridicule. » Un des hommes se racle la gorge à son tour, visiblement inconfortable devant une telle conversation. « On a pensé à te transférer. Ce sera sans doute mieux pour tout le monde. » Je soupire, un peu agacé. « Et c’est où, exactement? » Les trois collègues se consultent, puis un des hommes regarde le dossier, l’ouvrant à la première page. « Siloam Springs. C’est une petite ville. » J’enfouis mes mains dans mes poches puis regarde mes patrons. J’ai carrément tué la femme de ma vie en la débranchant de ce qui la maintenait en vie, mais on me vire de cet hôpital pour avoir trafiqué des notes et coucher avec des étudiantes et des membres du personnel. « Je suppose que j'ai pas vraiment le choix de toute façon. » Deux semaines plus tard, j'étais transféré.






Dernière édition par Ethan J. Müller le Sam 15 Nov - 22:02, édité 16 fois
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MessageSujet: Re: ETHAN ✗ everything you touch surely dies ETHAN ✗ everything you touch surely dies EmptyMar 11 Nov - 3:34

AH OUI ! *-*

re bienvenue Petit Coeur
Ce perso promet d'etre dbspshsvfpsvd **
Bon courage pour ta fiche <3
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G. Masha Jones
G. Masha Jones
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› pseudo, prénom : arsonphobia
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› emploi : nageuse professionnelle, elle est aussi mannequin pour une petite boutique locale et elle cherche à monter un groupe de musique.
› côté coeur : en couple avec baptist.
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MessageSujet: Re: ETHAN ✗ everything you touch surely dies ETHAN ✗ everything you touch surely dies EmptyMar 11 Nov - 10:29

Rebienvenuuue avec JoMo ! Eclate toi bien avec ce nouveau perso. Petit Coeur
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Mauve J. Tremblay
Mauve J. Tremblay
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› emploi : stagiaire en journalisme et voleuse.
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MessageSujet: Re: ETHAN ✗ everything you touch surely dies ETHAN ✗ everything you touch surely dies EmptyMar 11 Nov - 16:12

ETHAN ✗ everything you touch surely dies 1306836689
Je veux un lien avec ce personnage ! angel bref, rebienvenue gentil psychopathe (bah oui, entre Wade et Kris, que va être le troisième... mhhhh ), et bonne chance pour ta fiche !
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Talya I. Callaghan
Talya I. Callaghan

› âge : 26 ans
› emploi : policière
› petites lettres envoyées : 228


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MessageSujet: Re: ETHAN ✗ everything you touch surely dies ETHAN ✗ everything you touch surely dies EmptyMar 11 Nov - 18:35

JOMOOOOOOOOOOO

BIENVENUE AVEC CE PERSOOOOOO sexy du sliiiiiip
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Seth O. Hemingway
Seth O. Hemingway
modo ◇ seksy comme tout

› pseudo, prénom : Pow
› âge : 28
› emploi : en reconversion
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MessageSujet: Re: ETHAN ✗ everything you touch surely dies ETHAN ✗ everything you touch surely dies EmptySam 15 Nov - 0:03

Oui alleeeez, même si c'est ton troisième je te souhaite officiellement la re-re-bienvenue parmi nous ETHAN ✗ everything you touch surely dies 741718008
J'suis sur, t'a pas de questions hein ? xD
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MessageSujet: Re: ETHAN ✗ everything you touch surely dies ETHAN ✗ everything you touch surely dies EmptySam 15 Nov - 16:16

Je veux un flood d'intégration, BON. ETHAN ✗ everything you touch surely dies 970677699
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Mauve J. Tremblay
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› pseudo, prénom : ayshi. (lydia)
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MessageSujet: Re: ETHAN ✗ everything you touch surely dies ETHAN ✗ everything you touch surely dies EmptyDim 16 Nov - 11:36



Sing Hallelujah !

⊹ Tu fais partie de la famille !


Bravo mon bichon, t'as passé l'épreuve de la présentation haut la main !  love

On voit la différence entre le Ethan qui est détruit de perdre sa femme et celui qui couche avec ses collègues  hihi (en même temps, JoMo, y'a rien à dire  pervers ) bref, rerebienvenue avec ce personnage, et amuse toi bien, docteur Müller !

Tu peux dès à présent vérifier que ton petit nom apparaît bien dans le bottin ! Si tu travailles, c'est bieeen, viens donc nous le dire dans le registre des métiers. Il est important d'avoir un carton de luxe où s'abriter, pour ceci tu peux aller faire une demande de logement et pour fêter ta petite crémaillère, inviter tous tes potes à foutre le bordel ! Pour ceci, il faut te créer des liens parce que ouais, si t'as pas d'amis, bah, c'est pas le top ! Tu peux aussi t'en créer, c'est une option, pour ça, les scénarios c'est pratique ! Sinon, tu peux voter pour le forum et nous le signaler pour être récompensé ! Enfin, après tout ceci tu peux commencer ton aventure, n'hésite pas à passer par le flood ou la chatbox histoire de raconter ta vie, on adore ça ! Tu peux aussi t'éclater avec les jeux ça ne fait pas de mal.
Bon courage pour la suite, on t'aime fort petit bichon !  Coeur


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