Bouffer des chips devant un énième épisode des feux de l'amour. Cette image de moi était presque triste je l'avoue ! Je regardais Nicky Newman tomber pour la énième fois dans les bras de son ex mari Victor : pathétique. Pathétique mais pourtant je ne changeais pas de chaîne : les soap opéra avait quelque chose d’hypnotique je n'y étais pour rien ! J'avais ma couette sur mes épaule, j'avais froid mais paradoxalement je n'avais qu'une petite culotte avec des cœur et un large t-shirt rolling stone : cherchez la logique ! « Non Nicky fait pas ça ! » ; m'exclamais-je alors la bouche des deux protagoniste se rapprochaient l'une de l'autre. Je soupirais de désespoir.
Depuis l'incident au super marché avec Kaleb, il était venu chercher ses affaires et était partit. Oui partit pour de bon. Je ne savais pas bien si j'en étais ravi ou pas je vous laisse donc deviner. Je n'arrivais pas à déchiffrer ce qu'il se passait dans ma tête tout était flou. Et puis Samuel qui était partit comme un voleur après que tout ça ce soit passé... Je n'étais pas le genre de fille à me prendre la tête pour ce genre de choses mais c'était plus fort que moi : cet événement avait eu un impact sur moi. Kaleb ne vivait donc plus ici et j'étais seule. Alors pourquoi quelqu'un sonnait à la porte ? Je me leva et alla ouvrir sans prendre le temps d'enfiler un pantalon : à vrais dire je m'en foutais un peu qu'on me voit comme ça, c'était juste que j'avais peur d'avoir froid.
Quel ne fut pas ma surprise lorsque je vis la sur le palier de ma porte Samuel. Je leva les sourcils et soupira. « Bonjour tu t'es pas trompé de porte ? » ; dis-je avec un peu de mépris. J'avais la rancune facile il fallait le savoir ! Il m'avais tout de même laissé en plan !

Je soupirais de désespoir. Je suis sur qu'entre Victor Newman et Nicky ça avait commencé comme ça. Il l'avait abandonné dans un super marché et le lendemain il était venu s’excuser et elle avait bêtement accepté ! S'en était suivit une longue liste d'excuses accepté. Non ! Je n'allais pas finir comme Nicky ! « Garde tes fleurs pour une autre et rentre idiot j'ai froid ! » ; je le laissais rentré en soupirant. Je savais même pas pourquoi je l'avais accepté sous mon toi : sûrement besoin de compagnie. De compagnie ou de sa compagnie ? Je me dirigeais vers la cuisine pour me faire un thé chaud pour me réchauffer un peu. En me redressant pour atteindre le placard du haut j'avais parfaitement conscience de laisser pleine vu sur ma culotte à Samuel : mais il pouvait toujours attendre pour le toucher mon petit cul ! « J'aime pas les fleures je préfère le chocolat ! » ; dis-je avec ma voix de gamine rancunière. Et les chichi ça , ça me connaissait vous pouvez me croire. Quand vous aviez un père pété de tune comme le mien ! Je finis par attraper un sachet d'infusion à la menthe et me mit de l'eau à chauffer. Je le détaillais de haut en bas avant de croiser les bras en dessous de ma poitrine. Ca m'énervais que malgré toute la colère que j'avais contre lui j'arrive à le trouver aussi beau. * Joey tu peux pas penser à autre chose merde ! * ; me criais-je mentalement .

Comment ou pouvait avoir envie de frapper quelqu'un jusqu'au sang et en même temps l'embrasser et faire des choses peu catholique avec ? Samuel avait cet air je-m’en-foutiste qui rendait folle pas mal de fille. Mais si vous savez cet aire de dire « Hey je suis beau et je sais que vous m'aimez mais moi j'en ai qu'après vos fesses mesdemoiselles ! ». Bon c'est un peu l'hôpital qui se fou de la charité parce que j'étais comme ça moi même : du genre sur de moi et de mon physique et de ce que je faisais avec mon corps et contrôlant presque chacun de mes actes pour rendre dingue les mecs. C'était justement pour ça que je n'aimais pas être face à quelqu'un qui employait la même « technique ».
Lorsqu'il me fit la remarque que je ne lui avait pas proposé à boire lui sortit sur la table une bouteille de coca et de la vodka. Je regardais l'eau dans la casserole sur la plaque en train de bouillir. « Kaleb n'est pas revenu depuis ... » ; je ne sais pas pourquoi j'avais dis ça mais comme pour couvrir cette remarque j’enchaînais avec autre chose. « Samuel je crains que tu doives trouver un moyen de te faire pardonné que des fleurs » ; je le vais un sourcil en hauteur le regardant d'un air de sous entendu. Pourquoi en ce moment même je pensais qu'il y avait bien d'autre moyen que du thé pour se réchauffer ?