malheureusement on ne change pas un passé. mais heureusement, on ne le revie pas

avant tout, je m'excuse pour les fautes d'orthographes, je ne peux pas aller sur BonPatron car mon wifi bug assez comme ça (vu que je ne suis pas chez moi) merci

Eh, tu comptes aller où comme ça, connard? j'ai vingt-trois ans, je m'appelle Loup et j'deale, eh ouais j'fais pas d'études et j'men balance de c'que tu penses de moi en faite, soit tu sois du côté de madame Dupont, ma voisine âgé de 63 pîges et qui n'arrête pas de dire 'ah, toi, tu devrais arrêté de rôder de partout dans les rues et te consacrer à tes études' alors que c'est la première à avoir fait un vieux CAP couture. Ou que tu sois du côté d'une jeune femme appelé Amandine, une simple habitante de la ville et qui c'dit 'puis, c'est sa vie, il fait bien comme il veut' bah j'men bat les couilles car j'vie pour moi et t'apprendra d'moi que j'ai besoins de personne et que t'es putains d'avis? J'm'en bat les couilles. Voilà, j'suis Loup mais j'dis que j'm'appelle York pour tout mes vendeurs -on est jamais trop sur s'ils me balancent aux flics comme des vrais mouilles - et j'vend d'la bonne drogue depuis maintenant 1/2 ans et j'adore mon métier car il est dangereux et surtout chaque jour sort de l'ordinaire.  

Ça fait quatre heures que j'cogite comme un lion dans c'te foutu cage. Où j'suis? En garde à vue figure-toi, ouais, on m'a choppé entrain de taggué sur le mur d'la police. Ouais le gentil, adorable et poli petit Loup est devenue, quand son père est revenue à la maison, un vrai loup en ragé, violant, très "wesh-wesh" et surtout, tellement perturbé par la relation de mes parents, qu'en vrai j'sais même pas c'que sais qu'l'amour. 'monsieur Marshall, suivez-moi' je tend mes poignets l'air soûlé. J'en ai l'habitude, il ouvre le grillage et m'attache comme si j'étais un vrai lion dangereux, mais remarque, j'aime quand on m'prend pour quelqu'un de dangereux, comme ça, j'me sens pas un mec ordinaire. il m'attache les poignets avec les menottes et n’emmène dans la salle d'interrogatoire. ça foit faire l'cinquième de l'année, c'un record et encore, l'année n'est pas finie. j'pose mes coudes sur la table et baisse la tête, passant mes mains derrière ma tête. au bout de quelques minutes, la porte s'ouvre ainsi qu'la lumière. j'lève la tête par réflexe, c'est toujours un p'tit jeu pour moi découvrir qui va m'interroger: Pascal? celui qui a déjà fait des coups comme moi et qui m'connais bien alors qui m'laisse filer en douce. Paul? Le lieutenant du commissariat super autoritaire, mais qu'j'aime bien me foutre d'sa gueule car il arrête pas d'cracher d'partout. Ou mon père? Ouais mon père, ah excuse j't'ai pas dit: mon père est le commissaire du commissariat et ouais, j'pas d'chance mais remarque, quand j'ai eu d'la chance dans ma vie?  jamais, rien, tchi. Y.. York? je ricanna et croisa les bras en mode détendue. Eh nah papa, c'pas mon blaze ça, c'est Loup il ferma la porte, assez stressé Oh ! dis-je en rigolant, puis j'ouvra les bras avec un grand sourire enlève toi l'balet du cul merde, on s'détend, t'es cher stressé là il me regarda avec un regard noir. il croit qu'il m'fait peur c'mec? il en faudra bien plus pour m’impressionner. c'pas son p'tit regard de merde qui va m'faire retaille. je le regarda d'un air taquin parle correctement Loup, t'es pas dans ta rue là je perd mon sourire et il continua merde quoi, loup, t'étais pas comme ça avant, tu m'fais vraiment honte en haussant la voix, j'le regarda avec un grand sourire, ça l’agace, et j'aime ça. ma rue comme tu dis, c'est mon deuxième chez moi il s'approcha d'moi et s'assois sur la table oulah c'est dangereux ça, tu vas la casser fait gaffe frère en rigolant. il me décolla un claque j'suis pas ton frère. je tourna la tête, serra les dents et les poings. il sait que j'suis un sang chaud, pourquoi il m'a frappé? j'me lève brusquement et il sursauta. Je m'approcha d'lui, le regard plein de rage, j'le vois, il retaille comme pas possible, mais monsieur l'montre pas. Bah oui, malheureusement, j'tiens d'lui. bah alors, monsieur le policier, il a peur de son fils? enfin si j'peux dire fils en le tenant par l'col de la chemise, j'le sens il tremble, il me regarde dans les yeux, j'sais pas comment il fait pour m'regarder dans les yeux c'mec, il c'est comporté en vrai crapule pendant la moitié d'sa vie et il ose me regarder comment tu peux encore me regarder dans les yeux, hein? j'le lâcha et commença à tourner autours de la pièce. il m'a chauffé ce con, et lui même sait qu'on va rêgler nos comptes là. que tu le veuilles ou non, j'reste ton père je protesta directement en haussant la voix NON, t'es rien pour moi, plus rien, j'ai honte de t'avoir comme père j'avais envie d'le taper, mais il a raison, c'mon père et j'toucherai jamais un membre de ma famille, surement parc' que ma mère en fait partie. j'lui donnerai tout à ma mère, elle m'a élevé seule, sans mon père et a toujours fait en sorte que j'manque de rien. mais putain Loup, t'étais pas comme ça avant je souris de rire nerveusement Ah parce que tu savais comment j'étais "avant"? il soupira pourquoi tu rends tout compliqué Loup? je m'approcha de lui à grand pas ah mais.. parce que c'moi qui est voulut ça? en le toisant du regard. oui, il te suffisait juste d'accepter nah mais ta vu c'que tu m'demandes là? d'accepter que tu as laisser maman comme une vielle merde à l'accouchement puis tu reviens comme une fleur tu baises avec elle et puis hop, tu m'dis de t'accepter? Tu t'fou d'ma gueule? c'est trop facile pour toi après. je m'approcha de son visage écoute moi bien, tu fais du mal à maman encore une fois, père ou pas père je t'encule il me fait un signe de la tête pour me dire qu'il avait comprit. sinon, j'suis là parce que j'ai taggué sur votre mur. enfin, y'a juste une lettre c'bon c'pas la mort, si? mon père soupira va-y sort.. je me lève de la chaise et posa ma main sur la poignée pour ouvrir la porte. ouais j'étais et ils étaient tellement habitués de ma venue que je savais où était la sortie dans c'bâtiment. mais Loup.. La prochaine fois t'y passera en taule.. je pivota ma tête vers lui. y'aura pas d'prochaine fois j'ouvrit la porte et partit.

Après ça, j'avais décidé de tout plaquer. c'vrai: j'ai 24 pîges, j'vis encore chez mes parents dans un pauvre bled tout pourris où j'me suis quasiment tapé toutes les bonasses de la ville. J'décide de changer d'air, arrivé chez moi j'fis ma valise et emporta Fennec avec moi, j'resta avec ma mère un moment et lui expliqua que si elle avait une seule embrouille que se soit avec mon "père" ou quelqu'un d'autre, elle m’appelle. Ça m'fait vraiment mal au cœur d'la laisser seule.

Voilà, j'me présente, Loup York Marshall j'ai 24 pîges mais j'avoue que j'ai faillit plusieurs fois frôler la mort, j'suis dealeur et toujours partant pour des plans, et j'suis nouveau à Siloam Springs.