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| it is better to be feared than loved if you cannot be both. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: it is better to be feared than loved if you cannot be both. Sam 18 Oct - 4:41 | |
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Let me introduce a little anarchy Ici on m'appelle Kristjan Maximillian Stanković ou aussi Kris, dans quelques rares cas. Je suis né un certain 21 mai 1979, si vous savez compter j'ai donc 35 ans dans cette magnifique ville qu'est Belgrade. Pour payer mon carton de luxe, je suis trafiquant d'armes. Dans ma vie c'est un peu pas la misère, je ne partage pas ma vie avec quelqu'un. On dit souvent de moi que je suis mégalomane, manipulateur, intelligent, charismatique, violent, fidèle, réfléchi, c'est pour ça qu'on me trouve chez les Sunlight. Franchement, je trouve que je ressemble pas mal à Charlie Hunnam d'ailleurs les photos/gifs viennent de tumblr. Au faite, j'ai pas peur de ne pas m'intégrer donc je ne veux pas faire partie d'un flood d'intégration. Let's talk about you and me Coucou, c'est encore moi, Snatch alias Wade. Je vous ramène mon petit chéri, j'avais envie de le ressusciter un peu. - Code:
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CHARLIE HUNNAM [color=#db0b32] [/color] Kristjan Stanković
Dernière édition par Kristjan Stanković le Dim 19 Oct - 17:23, édité 3 fois |
| | | | Sujet: Re: it is better to be feared than loved if you cannot be both. Sam 18 Oct - 4:51 | |
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before all else, be armed.
BELGRADE, YOUGOSLAVIE (SERBIE), FÉVRIER 1987
Je joue avec les soldats de plomb tuant des ennemis imaginaires puis m’arrête subitement en entendant ma mère éclater en sanglots. Mes parents sont dans le grand salon, la pièce juste à côté de la salle de jeu, ce qui fait que je peux entendre tout ce qu’ils disent. Seulement, ils parlent tellement bas que je n’entends que les coups dont mon père martèle ma mère. Ils se disputent encore, elle doit avoir mal agit. Je ne comprends pas tout ce qu’ils disent, c’est de l’anglais et ils parlent très rapidement. J’entends un coup violent et ma mère crier de douleur, puis un bruit sourd suivi d’un silence de mort. Puis mon père qui répète son prénom à multiples reprises. Je m’approche silencieusement de la porte entre-ouverte et mon frère apparait derrière moi. « Qu’est-ce que tu fais, Kristjan ? » Je regarde silencieusement le garçon devant moi. Dimitrji a douze ans, et moi huit ans. Il me regarde sévèrement, un peu comme un adulte. Il est toujours là pour me déranger, celui-là. « J’ai entendu un bruit, et maman semble avoir tombé, elle se disputait avec Père et… » Il me coupe. Je déteste lorsqu’il fait ça. « Ça ne te regarde pas, mêle-toi de tes affaires. » Je n’ai jamais été un très grand amateur d’ordres, du moins pas lorsque c’est à moi que l’on s’adresse. Je rougis de colère, prêt à sauter sur mon frère lorsque mon père passe le cadre de la porte et la referme derrière lui. « Comment va maman? » Je regarde mon père mais pas dans les yeux. Je n’ose jamais le faire. « Votre mère va prendre des vacances loin de la maison. » C’est l’explication qu’il me donne, tout simplement. Il me regarde d’un air strict. « Combien de temps, père? » Il ne me répond pas et s’éloigne. En ouvrant la porte du grand salon, je constate que ma mère n’y est plus. Elle n’est jamais revenue de son ‘voyage’ et plus tard, j’ai appris ce qui s’était réellement passé. Ma mère avait trompé mon père et en la frappant comme il avait si bien l’habitude de le faire, elle est tombée et s’est brisé la nuque. Mon père aurait brûlé le corps avec l’aide des domestiques, dispersant les cendres je-ne-sais où.
KNIN, YOUGOSLAVIE (CROATIE), DÉCEMBRE 1991
Dimitrji parle avec mon père et un autre homme, ils sont en négociation pour des ventes d’armes illégales. La séparation de la Croatie cause des problèmes aux connaissances de mon père qui font partie d’un mouvement politique serbe. Je suis laissé à part dans le fond de la pièce et j’observe les discussions en bouillonnant à l’intérieur. Je suis toujours celui laissé à part, mon père ne me croit pas capable de travailler avec lui. Il n’en a que pour mon frère qu’il semble tant apprécier. Ce crétin n’a rien d’exceptionnel pourtant, sauf un égo surdimensionné. Je rêve du jour où je vais pouvoir leur prouver à tous les deux que je suis parfaitement capable de gérer la business familiale. Mon rêve serait de surpasser ce qu’il fait. Être plus fort que lui. Je complote et rêve d’un monde où mon frère et mon père seraient à mes pieds alors que je vois leur partenaire serrer la main de chacun d’eux. C’est signe qu’il est l’heure de partir. Je me lève de mon fauteuil et bientôt, nous quittons les lieux. Dehors, une émeute vient de commencer. Mon père ne semble pas impressionné, nous sommes tous armés jusqu’aux dents ici. Je regarde autour de moi, un peu inquiet pour ma part et je me dépêche à rejoindre la voiture où notre chauffeur nous attend. Mon père se moque en me regardant. « Aurais-tu peur, Kristjan? » Je ne me retourne pas et continue de marcher rapidement, puis il me hurle de lui répondre. « Non, père. Je n’ai simplement pas confiance en ces étrangers. » Mon père éclate de rire, puis j’entends derrière moi un premier coup de feu, puis soudainement ils sont plusieurs à tirer du haut d’un édifice. Je cours jusqu’à la voiture et ferme la porte, pour constater les fines gouttes de sang qui ont éclaboussé ma chemise. Dehors, le carnage commence et je vois le corps ensanglanté de mon père sur le sol. Le chauffeur démarre l’automobile et mon frère apparaît contre ma porte, frappant pour que je lui ouvre.
En voyant Dimitrji effrayé et impuissant me fait sourire. Il me supplie de le laisser entrer, et je me sens soudainement puissant. J’hésite à lui ouvrir la porte, est-ce que j’ai vraiment envie qu’il survive? Le conducteur ouvre la porte à ma place et mon frère apparaît, effrayé et hurlant pour que l’on parte d’ici en vitesse. Le corps de mon père est toujours dans la rue immobile dans une mare de sang. Je retiens un léger sourire, ce fut plus simple de s’en débarrasser que ce que je croyais.
EUROPE DE L’EST, 1992 -1996
Depuis le décès de mon père, Dimitrji et moi voyageons beaucoup. Mon frère a décidé de m’initier aux pratiques familiales. Il n’a pas le choix de toute façon, il ne lui reste que moi. J’apprends vite, peut-être un peu trop vite pour lui. Je vois quelques failles parfois dans son système de négociations et rapidement je commence à constater son incompétence. Mes conseils l’agacent visiblement, mais en même temps qui ne serait pas insulté qu’un gosse de douze ans soit plus brillant que lui?
SOFIA, BULGARIE, MAI 1996
Pour mon anniversaire, nous avons décidé de nous arrêter un moment en Ukraine pour profiter d’un court moment de paix. Depuis la fin de la guerre, les clients se font plus rares et j’ai réussi à convaincre mon frère de prendre un moment pour nous. Nos relations sont tendues ces derniers temps, il semble prendre conscience que je ne suis plus un gamin et que je peux très bien prendre les rennes des affaires familiales, mais n’est pas d’accord avec cette idée. Je suis assis sur le canapé, mon frère me tourne le dos. J’ai décidé de le confronter aujourd’hui à propos du trafic d’armes. « Les affaires stagnent, Dimitrji. » Mon grand frère me regarde nerveusement. Je fronce les sourcils. « Je sais, Kristjan, tu n’as pas à me le rappeler. » Ce qu’il peut être faible. Il me dégoute. « Et que comptes-tu faire pour y remédier? » J’attends une bonne réponse de sa part. Je sais qu’il ne sait plus quoi faire. Mis à part quelques petits groupes violents, les armes ne sont pas ce qui se vend le mieux pour le moment. « J’avais pensé peut-être prendre une pause, il y a quatre ans que l’on bouge d’un endroit à l’autre. Une pause serait bien méritée, non? » Un rictus se dessine sur mes lèvres. J’ai beaucoup d’autres plans à lui proposer qui seraient beaucoup plus rentables pour nous. « Et si on élargissait notre marché à la place? » C’est au tour de mon frère de froncer les sourcils. Je lui souris en retour. « Un conflit se prépare au Congo, d’après Leon. » Mon frère éclate de rire et me regarde avec dédain. Il ne croit jamais en mes idées mais finit toujours par s’en mordre les doigts. « Tu veux aller en Afrique? C’est une blague j’espère! » J’ai rencontré Leon par hasard, il travaille pour un groupe anti-nègres et cherche des fournisseurs d’armes. Il connaissait mon père qui avait fourni le gouvernement ougandais pendant la guerre civile. « Espèce d’imbécile. Pas besoin de se déplacer, ils le font eux-mêmes. Je n’ai qu’à contacter Leon. » Il cherche quelque chose à me répondre. Il est visiblement fâché que je veuille à nouveau contrôler les affaires, mais autre chose le tracasse. Je vois bien qu’il a peur. « On parle de massacrer des gens, beaucoup de gens Kristjan… » Je le regarde avec dédain. Et voilà qu’il a peur maintenant et qu’il ressent des remords. « On vend les armes, mon frère. Ils font ce qu’ils veulent avec elles. Ce sont pas de nos affaires. » Dimitrji me regarde, mortifié. « Mon frère, tu parles comme notre père. » Je souris et me lève pour le rejoindre. « Pitié, Dimitrji. Tu commences à me rappeler maman à force de pleurnicher comme ça. » Je m’approche pour lui faire une tape dans le dos amicale et ma main libre se glisse dans ma poche. J’agrippe le couteau suisse fermement et d’un coup sec, je plante la lame dans sa jugulaire. J’entends le cri rauque de mon frère qui tombe au sol en m’implorant. La scène est satisfaisante. Je n’ai pas le choix de faire ça, mon frère gâcherait tout. Dimitrji convulse sur le sol et se vide de son sang. Je passe pendant ce temps un coup de fil à Leon pour planifier un meeting d’affaires. Je me sens soudainement beaucoup plus libre.
NEW YORK, ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE, OCTOBRE 2001
Après des années à me promener autour du monde et à vendre des armes à des monstres, devenant moi aussi un monstre, j’ai ressenti l’appel de l’Amérique. Particulièrement après les attentats de septembre. L’anglais est une langue que je maîtrise relativement bien et je ne pense pas avoir de problème à m’intégrer. Du moins c’est ce que je me dis en quittant l’Europe. Rapidement, je suis désillusionné. L’endroit est bien loin du paradis dépeint dans les films hollywoodiens. Je m’installe à Staten Island dans une maison luxueuse. Pour les curieux, je suis un héritier mystérieux d’une petite fortune et je fais mon argent en achetant des actions. Les gens ne se posent pas trop de questions, même si un gamin de vingt-deux ans ne se promène généralement pas en Lexus et n’est pas propriétaire d’une maison de 1,7 millions. Je n’apprécie pas énormément les États-Unis, mais comme partenaires d’affaires, ces américains sont les meilleurs.
WASHINGTON DISTRICT OF COLUMBIA, ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE, MARS 2003
Je suis en visite chez une connaissance pour parler business et ce soir, le repas se prend avec sa famille. J’ai l’honneur de rencontrer la femme de Marcus, mon nouvel ami, ainsi que sa fille, Olivia. Magnifique fille, une jolie blonde aux yeux bleu-vert. L’archétype de la petite étudiante américaine, quoi qu’un peu rebelle. Tout au long du repas, je ne peux m’empêcher de la regarder des yeux. Je ne me suis jamais attardée aux femmes, il faut dire que j’ai passé mon adolescence dans les bordels d’Europe de l’Est. Plus tard dans la soirée j’ai la chance de m’entretenir seul avec elle. Pendant que Marcus fume le cigare avec des amis, je m’assois seul à seul avec Olivia. « Votre père ne m’a pas parlé de vous comme ça, je m’attendais à une petite fille. » Je lui souris et elle rit doucement. « Désolé, je ne flirte pas avec les amis de mon père. » En temps normal je l’aurais giflé, mais pour elle je me retiens. Je lui lance un regard noir mais lui souris poliment en retrouvant mon calme. « Je ne suis pas un ami, seulement pour les affaires. » Elle me sourit et hoche la tête négativement. « Je suis pas comme ça. » Oui, bien sûr. Elles disent toutes ça.
Ma main claque vivement sur ses fesses nues alors que la jolie blonde est à quatre pattes sur le lit de la chambre d’hôtel de luxe. Elle m’a rembarré le premier soir, mais ça n’a pas duré bien longtemps. Dès le lendemain, j’avais de ses nouvelles. J’ai décidé de prolonger d’une semaine ou deux mon séjour à Washington pour approfondir notre relation et c’est sans nul doute la meilleure décision de toute ma vie. Je jouis et la pousse pour qu’elle s’étale à plat ventre sur le lit, et pendant qu’elle reprend son souffle, je me dirige vers la salle de bain. Je jette la capote sans cérémonie et reviens dans la chambre, regardant Olivia allongée sur le lit. Je lui fais un petit sourire narquois avant de l’interrompre dans ses rêveries. « Ton père serait pas content de savoir que tu baises ses partenaires d’affaires. » Elle soupire et se tourne vers moi. « C’est différent, t’es le seul. » J’ai oublié de préciser qu’Olivia est une fille à papa un peu trop romantique à ses heures. Une découverte que j’ai fait lorsqu’elle m’a annoncé qu’elle se préservait pour son mariage. Inutile de dire qu’elle a changé d’avis depuis. Je me retiens de rouler les yeux et lui souris. « Tu vas changer d’avis, t’en fais pas. » Et secrètement, j’espère que non. Je ne l’admettrai certainement pas, mais son petit charme naïf m’attire, je trouve ça presque mignon.
NEW YORK, ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE, 2007
Je reviens d’un voyage d’affaires en Ukraine. Olivia devrait être à la maison comme toujours, ou peut-être qu’elle fait du shopping. Je lui ai ramené un cadeau pour me faire pardonner d’être parti plus que les trois semaines promises. Depuis notre première rencontre, beaucoup de choses se sont passées. Son père a appris pour notre petite relation et l’a plutôt bien pris. Heureusement, de toute façon il n’aurait pas eu le choix. Parmi les concessions que j’ai dû faire, il y a eu ce mariage qu’elle désirait tant. J’ai encore de la chance qu’elle ne m’ait pas demandé de lui faire des gosses, je suppose. Je crie son nom en entrant mais elle ne me répond pas. Pourtant sa voiture est dans l’entrée. Elle devrait être là. Je monte les escaliers pour me rendre au deuxième étage et bientôt, j’entends des bruits qui viennent de la chambre. La salope. Je me rends dans mon bureau et attrape une arme dans mon tiroir. Le Desert Eagle en main, je me dirige silencieusement vers la chambre. Je les vois sur le lit et sans hésitation, je tire avec précision sur son amant. La balle atterrit directement dans son genou. Elle crie de terreur et il hurle de douleur. J’entre dans la chambre. « C’est ça pédale, pleure. Bonjour chérie, tu vas bien? » Olivia me regarde en pleurant, horrifiée parce qui vient de se passer; comme si elle ne m’avait jamais vu éclater la tête de quelqu’un auparavant. « Kristjan, va-t-en. » Je ricane. « Ah bon? Pourquoi? C’est chez moi pourtant. » Elle sanglote maintenant, et je joue avec le cran du fusil, le pointant devant elle. « J’ai…J’ai fait déposer une demande de divorce. C’est fini Kristjan. J’en peux plus, tu me fais peur. » J’éclate de rire, je lui fais peur maintenant! Je tire sur le mur derrière elle, la jolie blonde se met à pleurer de plus belle. Le type sur le sol gémit de douleur et je lui donne un coup de pied à la tête pour qu’il la ferme. Mon arme pointe toujours en direction d’Olivia, et je me mets à ruer de coup celui qui s’est permis de coucher avec ma femme. Il hurle de douleur et elle me lance des regards horrifiés, me suppliant d’arrêter. Je vois rouge et ne réfléchis pas à ce que je fais. J’entends ses os se briser alors que je frappe interminablement. Finalement, je m’arrête. « Tiens éclate-toi avec ton conard, maintenant. » C’est probablement l’idée la plus stupide, mais je sors de la chambre pour aller prendre une douche et me changer. Je n’aurais jamais cru qu’elle appellerait les flics.
NEW YORK, ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE, 2014
Je viens de passer sept ans de ma vie en prison parce que mon ex a appelé la police sous prétexte que j’ai presque battu à mort son amant. Si on m’accusait de tous les crimes que j’ai réellement commis, on m’aurait donné beaucoup plus que ça, mais je suis un type plutôt chanceux avec d’excellents avocats et des contacts toujours là pour me sortir du pétrin. Un homme m’attend à l’extérieur du centre carcéral devant une voiture. Je souris en le voyant. « Miklaus, quelle surprise. » L’homme me rend mon sourire et me serre la main lorsque je suis finalement devant lui. « Elle serait en Arkensas, selon Facebook. » Je souris à son annonce. C’est tout ce que je voulais savoir. « Ça tombe bien, j’ai envie de changer d’air. »
SILOAM SPRINGS, ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE, 2014
J’ai trouvé une maison plutôt pas mal, même si c’est un trou paumé. L’endroit ne ressemble pas du tout à ce que j’imaginais, mais il faut dire que pour moi, l’Arkensas, c’est le magicien d’Oz et rien de plus. Il ne me reste plus qu’à trouver Olivia car je suis plutôt décidé à avoir une très longue discussion avec elle. J’ai fourni des terroristes et des criminels de guerre en armement, c’est pas une petite blonde qui va m’impressionner.
Dernière édition par Kristjan Stanković le Dim 19 Oct - 5:52, édité 13 fois |
| | | admin ◇ gasoline› pseudo, prénom : ayshi. (lydia) › âge : dix-neuf ans et toutes ses dents. › emploi : stagiaire en journalisme et voleuse. › côté coeur : célibâtarde depuis son départ. › petites lettres envoyées : 1526
| Sujet: Re: it is better to be feared than loved if you cannot be both. Sam 18 Oct - 14:17 | |
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| | | | Sujet: Re: it is better to be feared than loved if you cannot be both. Dim 19 Oct - 5:56 | |
| Faut pas dire ce genre de choses, Wade va se vexer. Mais ouais, Kristjan est un vrai dur. Bien sûr que je te garde un lien. On pourra sans doute trouver un truc. |
| | | admin ◇ gasoline› pseudo, prénom : ayshi. (lydia) › âge : dix-neuf ans et toutes ses dents. › emploi : stagiaire en journalisme et voleuse. › côté coeur : célibâtarde depuis son départ. › petites lettres envoyées : 1526
| Sujet: Re: it is better to be feared than loved if you cannot be both. Dim 19 Oct - 11:58 | |
| EDIT : il me manque plus que ton groupe et je rajoute. Sing Hallelujah !
⊹ Tu fais partie de la famille !
Bravo mon bichon, t'as passé l'épreuve de la présentation haut la main ! Mon dieu, oui, Wade peut être jaloux, ce DC déchire tellement ! Bon, la mort des parents m'a tiré une larme, j'avoue ! Et Olivia Je t'aiderais dans cette tâche, petit pandawan. tout est okay pour moi, amuse toi bien avec ce perso !Tu peux dès à présent vérifier que ton petit nom apparaît bien dans le bottin ! Si tu travailles, c'est bieeen, viens donc nous le dire dans le registre des métiers. Il est important d'avoir un carton de luxe où s'abriter, pour ceci tu peux aller faire une demande de logement et pour fêter ta petite crémaillère, inviter tous tes potes à foutre le bordel ! Pour ceci, il faut te créer des liens parce que ouais, si t'as pas d'amis, bah, c'est pas le top ! Tu peux aussi t'en créer, c'est une option, pour ça, les scénarios c'est pratique ! Sinon, tu peux voter pour le forum et nous le signaler pour être récompensé ! Enfin, après tout ceci tu peux commencer ton aventure, n'hésite pas à passer par le flood ou la chatbox histoire de raconter ta vie, on adore ça ! Tu peux aussi t'éclater avec les jeux ça ne fait pas de mal. Bon courage pour la suite, on t'aime fort petit bichon ! |
| | | | Sujet: Re: it is better to be feared than loved if you cannot be both. Dim 19 Oct - 16:42 | |
| Rebienvenuuue ! |
| | | | Sujet: Re: it is better to be feared than loved if you cannot be both. Dim 19 Oct - 17:22 | |
| Le pire c'est que je viens juste de cliquer qu'il me manquait mon groupe. Voilà, j'édite il va faire partie des Sunlight. Ça va faire changement de Wade le dépressif. |
| | | | Sujet: Re: it is better to be feared than loved if you cannot be both. Dim 19 Oct - 17:25 | |
| /mode schizophrénie extrême/ Je t'ai entendu Kristjan, fais gaffe faudrait pas que les pompiers tombent en grève quand j'vais foutre le feu à ta maison hein. /mode schizo off/ Merci vous êtes choux x) |
| | | admin ◇ gasoline› pseudo, prénom : ayshi. (lydia) › âge : dix-neuf ans et toutes ses dents. › emploi : stagiaire en journalisme et voleuse. › côté coeur : célibâtarde depuis son départ. › petites lettres envoyées : 1526
| Sujet: Re: it is better to be feared than loved if you cannot be both. Dim 19 Oct - 17:56 | |
| Et voilà le schizo dépressif |
| | | | Sujet: Re: it is better to be feared than loved if you cannot be both. | |
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| | | | it is better to be feared than loved if you cannot be both. | |
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