Dreamin'

Ses lèvres ont ce putain de goût sucré et je ne peux pas m’empêcher de les dévorer. Il est là, contre moi, ses mains parcourent mon corps et moi … moi je suis tellement accro à lui que je ne le repousse pas. Avec lui, ce n’est pas comme avec les autres types. J’ai pas envie de jouer les grandes, j’ai pas envie de faire ma chieuse. Dire qu’il y encore quelques mois, je pleurnichais, seule contre un mur. Chris McKinley. Qu’est-ce qu’il est beau. Qu’est-ce qu’il est gentil. J’ai envie d’être importante pour lui. Mais je crois qu’à part partager ses draps, je n’aurais droit à rien de plus. Déposant quelques baisers dans son cou, je me redresse un peu, admirant son regard clair. Son nez droit, sa coupe en brosse. Il me plait. Il le sait. Enfin … je crois ? Je ne porte qu’un soutien-gorge noir et un short en jean déchiré, destiné à aller à la poubelle quand Cael le trouvera trainant par terre. « Alors, on sort ce soir ? » il sait très bien que part « sortir », je n’entends pas aller au restaurant ou bien en boîte. Quoique …



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you're not dreaming babe

Mon cœur, battait tapait dans ma poitrine. J’espérais que, à cheval sur moi Mél’ ne le sentait pas battre. Moi, je n’entendais que lui. Je regardais la demoiselle un petit sourire aux lèvres. C’est vrai qu’elle était mignonne … Elle était même … presque, voir plus que presque parfaite à mes yeux ! Je lui caressais doucement les bras, puis les flancs, descendant mes mains sur ses hanches, la dévorant du regard. Ouai … la dévorant complètement du regard. Son sourire, ses yeux, sa bouille d'ange ... « pas si angélique que ça !  »Bref ... Mélody quoi ! Elle posa ses lèvres si … douces dans mon cou alors qu’un frisson glissait tout le long de mon dos, et que mon cœur se mettait à battre encore plus vite. Elle se redressait, j’attrapais doucement son visage de mes deux mains pour venir plaquer contre ses lèvres, un doux baiser. Un long et doux baiser. Je savais que je lui plaisais mais elle … elle ne savait pas ce que moi je ressentais, se que j’éprouvais. Enfaîte, elle ne savait pratiquement rien de ma vie. « Mmmmmh … Je sais pas trop … tu veux venir avec moi ? » J’avais bien évidemment dit ça pour la faire chier !  



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Il presque est irréel. Le « boum » incessant du sang contre mes tempes, le « tic tac » menaçant de l’horloge et les « flic floc » de la pluie contre les vitres me rappellent à quel point Chris est réel. À quel point nos caresses sont réelles. Il m’embrasse, je ferme les yeux un millième de seconde pour profiter, une fois encore de ce goût sucré. « Si je veux venir ? Bien sur que j’le veux ! » je souris. Au fond, j’crève d’envie de le suivre partout comme un petit toutou. J’ai envie d’être la personne qu’il appelle lorsque ça ne va pas. Où d’être celle qu’il cherche du regard à la sortie du lycée. Mais lui, le lycée, il en a finis depuis un moment, hm ? Et moi, je ne suis qu’une enfant, qu’un jouet pour lui, pas vrai ? Je claque ma langue contre mon palais. « Pourquoi, t’as pas envie que j’vienne, toi ? » je fais une petite moue, celle d’une fille qui boude. La moue qui hurle « prends-moi dans tes bras, câline-moi, me lâche pas. »



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« Si je veux venir ? Bien sur que j’le veux ! »Je savais que la demoiselle avait envie de venir et en toute honnêteté, je voulais qu’elle vienne. Je m’étais vite habitué à ça présence à mes côté quand on partait, tout les deux faire des casses. Je m’étais habituer à sa bouille qui faisait des conneries et m’écoutais pas, ce qui nous valus des voles loupés ! Mais … avec elle … Je m’éclatais ! « Pourquoi, t’as pas envie que j’vienne, toi ? » Je souriais doucement devant sa petite moue boudeuse avant d’inverser notre position, me retrouvant donc au dessus d’elle. « Boude pas ma belle ! » Lui caressant doucement la joue, puis la lèvre de mon pouce, je venais lui murmuré à l’oreille « si j’ai envie que tu viennes mais … essaie de me convaincre ! » Je me redressais légèrement, pour effleurer son cou, ses lèvres si douce, si chaude. Sentir son parfum envoûtant, enivrant à m’en faire tourner la tête …  Je la regardais de nouveau, avec le même petit sourire qui s’était refusé de quitter mon visage. « J’aime bien cette petite moue la … t’est toute chou ! » Un jour, il faudrait que j’arrête de lui tourné autour comme je le faisais … après tout elle était encore au lycée, elle avait trois ans de moins que moi, un jours elle voudra certainement s'éloigner, vivre sa vie, voir même avoir des gosses, une vie stable et puis ... quand elle saura ma véritable identité  … mais … pas maintenant. Non pas maintenant. Avec elle, j’oubliais. Je pouvais tout oublier. Oublier mon passer, mais m’inquiéter du futur, de son futur, du mien. En la regardant, je me rendis compte d’une chose. Je ne voulais qu’elle.


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Que je le persuade de m’emmener ? J’arque un sourcil, tout en le laissant inverser nos positions. Là, comme ça, avec lui au dessus, je me sens encore plus faible, encore plus dépendante de lui. Et j’aime ça. C’est étrange. Je crève d’envie de lui appartenir, comme si je n’étais qu’une vulgaire chemise. Comme si je savais qu’il me jetterait lorsque je serais usée. Mais j’en ai envie. C’est tout, c’est comme ça, j’le contrôle pas. Ses lèvres viennent effleurer mon cou et ma peau se couvre de frissons, je mords mes lèvres pour ne rien laisser échapper. « T’es pas cool … » et je claque mes dents près de ses lèvres. « Arrête j’suis pas "chou". » mes mains choppent ses cheveux un peu brusquement et je plaque une fois encore mes lèvres sur les siennes. Il me perd, je ne vois que lui. Pourquoi est-ce qu’il a fallu qu’il lui ressemble autant ? Je ferme fort les yeux comme pour oublier l’image d’un Aedan souriant, satisfait de m’avoir jetée à la poubelle. J’en oublie même de reprendre mon souffle et je recule en prenant une grande inspiration. Mes yeux clairs croisent son regard perçant. « Dis Chris, tu vas m’laisser toi aussi ? » il n’a pas besoin de savoir pourquoi je lui dis « toi aussi ». Il n’a vraiment pas à savoir tout ça. Je ne lui expliquerai pas de toute façon. Je baisse les yeux, pour qu’il ne voie pas cette peur qui me bouffe les entrailles. Encore en train de me plaindre. Mais temps pis.



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Je laissais mes doigts courir sur la peau nue du haut de ses hanches, de son ventre. De la où finissais son soutien-gorge jusqu’au début de son short en jean. Sa peau étais tellement douce sous mes mains … Je crois que j’aurais pue continuer de l’effleuré comme ça, des heures entière. Mais … ça ferais un peu psychopathe je trouve … et elle penserait la même chose  c’était certain !  « T’es pas cool … » je souriais grandement. Il est vrai que j’étais l’exemple parfait du mot « pas cool ! » Franchement, c’étais tout à moi ça ! « Hey comment ça je ne suis pas cool ? ». Elle claquait ses dents près de mes lèvres et moi, je continuais de lui sourire, sans reculer. Je savais qu’elle n’allait pas vraiment le faire de toute façon !   « Arrête j’suis pas chou. » Ce qui me fit une nouvelle fois sourire grandement. Je me mordillais légèrement la lèvres. « Ho que si ! tu est … » Elle me coupa net dans ma phrase, m’embrassant nouvelle  fois. Je fermais doucement les yeux, prolongeant, rallongeant un max ce baiser jusqu'à ce que la demoiselle, sous moi, recule. Je rouvris alors doucement les yeux, plantant mon regard dans le sien. Et si j'étais entrain de tomber amoureux d'elle ... et si elle me plaisais ... Bon ok, elle me plaisais déjà; mais voila quoi ... et si ... « Dis Chris, tu vas m’laisser toi aussi ? » Alors la … elle m’avait pris de court. Je me redressais, me passant une main dans les cheveux, mes joues rougissant légèrement sous la surprise mais aussi à cause de ce à quoi j'étais entrain de penser. J'espère qu'elle n'avait pas remarquer ... « Je … euh … ba … non ! Pourquoi … pourquoi je te laisserais ! Je ... J'suis pas un type comme ça moi ! » je me raclais la gorge, secouant la tête et fronçant légèrement les sourcils. je plaquais de nouveaux mon regard vert dans le sien « C’est qui qui t’a blesser ? »


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Ma question semble avoir l’effet d’un coup de poing pour le beau brun. Il bégaie, tente d’aligner quelques mots. Je le regarde, sans comprendre. J’avais juste besoin d’un « oui » ou d’un « non ». Pas qu’il se mette dans tous ses états. Un petit sourire étire mes lèvres lorsqu’il me répond. J’ai envie de l’embrasser encore, mais je joue les filles polies, j’attends qu’il ait terminé, cette fois. « Non, j’ai pas dis que … » soudain, j’ai peur de l’avoir vexé. Je ne le compare pas à ces connards qui font pleurer des filles dans leurs lits, non, je … Je secoue la tête, ouvre la bouche comme pour m’excuser. Mais il enchaine avec cet air soucieux sui lui sied tant. À mon tour d’être surprise par sa question. Je le regarde, cherchant l’ironie, la moquerie dans ses yeux, mais il n’en est rien. « Je … personne. » Non. Je ne dirais rien. Ni à lui, ni à Cael. Ni à Samuel. Ni à personne.



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La jolie miss sous moi me sourit et … putain qu'es ce que j'aime quand elle me sourit comme ça. « J’t’assure, que personne ne m’a … hey ! ça pourrait être une fille, hein ! » Ahah il y a bien quelqu'un ! Mais … apparemment … elle ne veut pas m'en parler … tans pis, un jours ou l'autre j'arriverais à savoir de qui il s'agit ! Je me colle doucement contre elle, mon sourire s'élargissant doucement [color=#99cccc]«  Et du coup … c'est une fille poupée ? »[color] Elle rattrape mes lèvres et je profite à font de se baiser, goûtant avec plaisir une nouvelle fois le goût sucrée de ses lèvres. Je prend une grande bouffer d'air. Air qui porte le parfum de la belle demoiselle qui est présente avec moi. Je me redresse un peu pour la regarder, lui sourire, me mordiller la lèvres, t’attrape les siennes, me recollant contre elle. Je boue, littéralement. Je boue mais, je ne sais pas pourquoi. Peut être par ce que je l'a veux rien que pour moi … peut être par ce que je t... Non … c'est impossible, j'peux pas … elle en souffrirais si elle savais … si elle sais que je que je suis le cadet. Le cadet des Klein. Je recule légèrement la tête, restant tout contre elle. J'arrive à sentir le cœur de Mélody contre ma poitrine. À moins que se soit le mien ... si je le sens, elle aussi doit le sentir si c'est mon cœur qui tambourine aussi fort ...
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Bien sûr que si, on m’avait blessé. Mais tout le monde avait été blessé, ne serait-ce qu’une fois dans sa vie et je n’y avais pas échappé. Mais à cause de mes questions pourries, Chris s’inquiète pour moi et je m’en veux. Je ne veux pas qu’il s’inquiète. Vraiment pas. Je veux qu’il soit fier de moi, c’est tout. Je souris à sa remarque. Je l’imagine déjà frapper Aedan en lui disant de ne plus m’approcher. Je souris de satisfaction. « J’t’assure, que personne ne m’a … hey ! ça pourrait être une fille, hein ! » je profite de la proximité de ses lèvres pour l’embrasser une fois encore. Chaque cellule de mon corps ne hurle qu’une chose : Reste avec moi. J’ai l’illusion de croire que c’est possible, j’tombe encore une fois dans le piège de Cupidon. Quel con celui-là … il faudrait qu’il songe à viser les deux personnes avec ses flèches. Et pas qu’une seule. Non mais vraiment. Il a du avoir son arc dans un kinder surprise.
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La jolie miss sous moi me sourit et … putain qu'es ce que j'aime quand elle me sourit comme ça. « J’t’assure, que personne ne m’a … hey ! ça pourrait être une fille, hein ! »  Ahah il y a bien quelqu'un ! Mais … apparemment … elle ne veut pas m'en parler … tans pis, un jours ou l'autre j'arriverais à savoir de qui il s'agit ! Je me colle doucement contre elle, mon sourire s'élargissant doucement «  Et du coup … c'est une fille poupée ? » Elle rattrape mes lèvres et je profite à font de se baiser, goûtant avec plaisir une nouvelle fois le goût sucrée de ses lèvres. Je prend une grande bouffer d'air. Air qui porte le parfum de la belle demoiselle qui est présente avec moi. Je me redresse un peu pour la regarder, lui sourire, me mordiller la lèvres, t’attrape les siennes, me recollant contre elle. Je boue, littéralement. Je boue mais, je ne sais pas pourquoi. Peut être par ce que je l'a veux rien que pour moi … peut être par ce que je t... Non … c'est impossible, j'peux pas … elle en souffrirais si elle savais … si elle sais que je que je suis le cadet. Le cadet des Klein. Je recule légèrement la tête, restant tout contre elle. J'arrive à sentir le cœur de Mélody contre ma poitrine. À moins que se soit le mien ...  si je le sens, elle aussi doit le sentir si c'est mon cœur qui tambourine aussi fort ...
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DEGOUTEE DE LA VIE TT:

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« Peut-être ! » je lui souris malicieusement et Chris m’embrasse. Ou je l’embrasse, je ne sais plus … Nous sommes comme aimantés l’un à l’autre, impossible de me séparer de lui. J’ai envie de ses lèvres contre ma peau, de son sourire sur ma rétine, de son corps contre le mien. Pour un peu, j’en échapperais presque mes sentiments. Mais non, j’ai bien trop … peur. Je ne suis qu’une gamine, qui joue les fortes, effrayée par la vie. Nous nous regardons, sans rien dire. Juste apprécier la présence de l’autre dans ce silence. Nos cœurs battent à l’unisson, je peux les sentir contre ma poitrine. Et la stupidité me rattrape bien vite : « Nous sommes … un. » C’est tellement con, que je relève vite la tête. « Oui enfin euh … »
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Je ne peux me retenir de rire. C’est tellement nul. Comme si nous n’avons rien d’autre à dire que de ressortir les répliques de Disney. Pas que la Reine des Neiges et le Roi Lion ne soient pas intéressant, loin de là. Mais ce n’était pas vraiment approprié dans cette situation. Je ris, à ne plus en finir, j’en ai mal au ventre et les yeux qui pleurent. Chris, il me met dans tous mes états. Une seule phrase de lui et mon monde s’illumine ou s’écroule. C’est fou mais terriblement plaisant. Je me calme un peu, vient lui mordre la lèvre. Je le contemple. Encore. Toujours. Je n’ai pas envie de me lasser de cette contemplation … parce qu’il est si beau. « On est débiles. » c’est tout ce que je trouve à dire. Et c’est vrai. Nous sommes tellement bêtes.
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En entendant rire Mélody, je ne peux pas m'enpecher de rire aussi. Me redressant je lui fait un grand sourire, passant une main dans mes cheveux « Un peu oui ! » Mais ce n'est pas de notre faute si on raconte n'importe quoi. Enfin, ces surtout quand elle est avec moi ... elle est tellement ... rayonnante ... Elle me mord la lèvre, m'arrachant à sa contemplation, et incontrolablement, mes joues prennent une teinte rouge. Je lui sourit doucement, me repenche sur elle « Mais, tu est tellement craquante Mélody ... » J'arrive pas à croire ce que je vient de lui souffler à l'oreille. Je lui aurait dit que je pense que je suis amoureux d'elle, ça aurait été la même chose. Avec elle ... elle chamboule tout ce que je suis … Je glisse doucement quelque baiser plus ou moins appuier dans son cou, savourant sa peau de pêche et son parfum délicat. Je remonte vers son oreille pour venir lui mordiller. « ... Tellement ... » made by LUMOS MAXIMA

Dreamin'

Ses baisers appuyés dans mon cou m’arrachent de doux frissons. Mes mains glissent sur son torse, alors que j’entends ses mots qui me rendent folle près de mon oreille. Tout ceci n’est qu’un jeu, un simple passe-temps, mais c’est tellement plus à mes yeux. Je ferme les yeux, glisse une main vers sa ceinture. Ce ne serait pas la première fois, ni la dernière d’ailleurs. Je boue. Mon corps vibre sous chacune des caresses et je donne un coup de hanche pour inverser une nouvelle fois nos positions. Moi en haut, car j’ai toujours eu cet instinct de domination. Je me penche vers ses lèvres, garde une main sur sa ceinture que je m’apprête à déboucler. « Prêt à visiter le septième ciel ? » je souris. Mes joues sont rouges, ma peau est recouverte de frissons. Et pourtant, j’ai tellement chaud.
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H-J:

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Ma peau est recouverte de petit frissson, de petit picottement plutôt agréable, qous les mains de la jolie brune. Je sent ses mains glisser jusqu'à mon bas ventre. Jusqu'à ma cinture. Je me redresse légerement, la regarde avec un petit sourire. Elle inversse les position, je retient legerment mon douffle, les joue rougies. Je sais qu'elle a toujours aimer être au dessus. Et je ne vois pas e, quoi c'es génat. d'ailleurs. C'est juste elle qui menne la dance ! Je pose doucement mes mains sur sa taille, laissant mes doight decendre, glisser jusque dans le bas du dos de la belle, puis,jusqu'au poche arriere de son short. « Je suis toujours pret babe ! » ses lèvres sont si proches ... et sa main sur ma cinture ! Je lui fait un tout petit sourire avant d'attraper ses lèvres, Une douce chaleur m'envahissant petit à petit. made by LUMOS MAXIMA

HJ:

Dreamin'

Ses mains glissent le long de mon dos, m’arrachant un frisson. Je n’ai pas froid pourtant. Il capture mes lèvres tandis que je déboucle adroitement sa ceinture. Jeune, je vous l’accorde, mais expérimentée ! Je détache mes lèvres des siennes pour venir embrasser sa mâchoire et descendre le long de son cou, dans de doux baisers enflammés. J’aime ce contact, sa barbe naissante piquant légèrement mes lèvres, la chaleur de nos deux corps qui me réchauffe le cœur … je tire un peu sur son jean, pour lui faire comprendre qu’il faut qu’il m’aide à l’enlever. Mais histoire de le perturber encore un peu, j’embrasse son torse, glissant une main sur celui-ci. Le contact m’électrise, je n’ai plus envie de parler, plus envie de le quitter.
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H-J:

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Je sent les frissons sur sa peau pourtant bouillante. Je l'embrasse alors qu'elle ouvre ma ceinture non sans mal. Elle était jeune mais habille, il n'y a pas à dire ! Elle glisse ses douce lèvres sur ma machoire, dans mon cou. Cou que je lui offre avec plaisir. Si elle savait comment elle avait le pouvoir de m'élécrifier des pied à la tête en une seconde. Comment elle arrivais même à me faire douter de moi, par ça simple presence. Je crois ... Quue je suis ... Que je l'aime ... Elle me met vraiment dans tout mes étaps. Elle me destabilise mais ... J'aime ça. Elle tire sur mon jeans, je le déboutonne le baisse un peut manièrre de l'aider. Ses lèvres glisse en même temps que sa main sur mon torse, qui se contracte lègerment à cause des frissons et de la douce chaleur qui ma envahie. Je me mordille la joue, glissant les brettelles du soutient gorge de la belle sur ses épaules, lui souriant doucement.made by LUMOS MAXIMA

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Passif. Chris reste passif, appréciant mes caresses, m’aidant un peu tout de même. J’enlève son jean avec la hargne d’une lionne alors que ce dernier baisse mes bretelles de soutien gorge avec douceur. Erreur pour lui, même si la douceur était agréable, j’étais de celles qui aimaient lorsque c’était torride. Je pose un regard sauvage sur lui, glissant une main sur son boxer. Mes lèvres glissent vers son oreille et je lui murmure, la voix rendue un peu rauque par toute cette chaleur : « Alors Chris, t’attends quoi pour me donner des ailes ? » Je croque son lobe d’oreille, ma main posée sur son boxer caressant la zone avec plus ou moins de douceur. Chris ressemblait vaguement à Aedan. Même sourire craquant, même mâchoire carrée. Mais ça s’arrêtait là. Même si c’était sa ressemblance avec lui qui m’avait fait aller vers ce garçon, il n’avait rien d’Aedan. Mon regard glisse discrètement sur le réveil numérique de ma chambre. Je lui chuchote : « ça va, on a une heure avant que Cael ne rentre. » Même si ça n’aurait certainement pas déranger mon frère que je m’amuse, je préférais qu’il ne soit pas là lorsque Chris s’en irait.
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Ma petite et douce Mélody était à présent une vrais tigresse. Sauvage indomptable. Un sourir se dessine sur mes lèvres alors qu'elle me regarde droit dans les yeux. En s'entant sa main glisser sur mon boxer, mes joues devienne encore plus rouge. Je retiens ma respiration. Elle me mordille l'oreille. La resspiration accéléré par l'exitation. « J'fait duré le plaisir ... ». Le bas de mon ventre me chauffe et mon souffle continue de devenir plus rapide. Je me redresse pour lui mordille le cou alors qu'elle lis l'heur, Je lui déboutonne le short. « Une heure ? tu crois qu'on aurra assez ? » Sur c'est mots, j'inversse nos positions, glissant ma langue le long de son artère, avant de le lui modriller. « Mais ... c'est qu'est d'venue sauvage ma poupée ! » Je me colle contre, decendant mes lèvres dans son cou, sur sa poitrine, sur son ventre et ses hanches. Puis je remonte jusqu'a son cou que je mordille une nouvelle fois. made by LUMOS MAXIMA

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Est-ce que j’ai l’habitude de ces contacts avec Chris ? Oui. Est-ce que je les aime ? Oui. Est-ce que j’ai envie que ça s’arrête ? Non. Il me rend folle, il me fait perdre la tête. Ses caresses sont des décharges électriques, ses baisers sont des bouffées d’oxygène, son corps contre le mien est une enveloppe de chaleur. Il inverse nos positions, encore. J’enlève ma main de sur son boxer, tandis qu’il glisse des baisers un peu partout sur mon corps, accélérant ma respiration. L’impatience brûle mes poumons, j’ai envie de lui. Il me rend dingue. « Sauvage ? » je souris un peu. « Hey, t’as encore rien vu ! » mensonges. Il sait que je peux être sauvage. Il sait presque tout, putain. J’agrippe son boxer, boxer que je descends, en embrassant les lèvres de mon preux chevalier.
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L'envie, le désir, l’excitation, la peur ... peur de blesser cette fille qui me fait tans tourné la tête. Peur de la voir partir dans les bras d'un autre. Pourtant, je devrais me moquer de ça. Nous ne somme que ami après tout. même si nous partageons le même lit. nous ne sortons pas ensemble. Malheureusement. Un jours je lui dirais qu'elle me rend fou, qu'elle me fait perdre mes moyens, mais pas maintenant. Non, pas maintenant. Toute c'est émotions mélanger, me font légèrement trembler. Elle fait descendre mon boxer. Je sourit doucement contre ses lèvres puis recule légèrement. « Ah ouais ? ... J'ai hâte de voir ça alors ! ». Je dégrafe le soutient-gorge de la belle, avant de glisser mes mains sur son corps, de glisser mes mains jusqu'à son dessous que j'agrippe pour le descendre tout doucement. made by LUMOS MAXIMA

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Mon corps ondule sous le sien, comme pour capter un peu plus son attention, comme pour lui dire que je l’attends. Je griffe son dos, tandis qu’il dégrafe mon soutien-gorge et qu’il abaisse mon bas. Mes joues rougissent, mon cœur s’affole. J’ai peur de le regarder à nouveau, parce que j’ai peur qu’il disparaisse subitement. Je m’agrippe à lui, enfonçant mes ongles dans sa peau tendre. Je me sens pousser des ailes ; ailes qui brûleront dès qu’il se rhabillera, dès qu’il me quittera. Mes lèvres capturent les siennes. Je les lui mordille, avant de glisser ma langue dans sa bouche. Pourquoi chacun de ces contacts me rends hystérique ? Pourquoi mon cœur l’appelle si fort ? Pourquoi est-ce que je suis amoureuse de lui, déjà ?
Tout en le griffant, ma main glisse le long de son dos laissant une marque rouge vif. Je me frotte sans le décider contre lui. Ma peau est recouverte de frissons, j’ai envie de lui, comme je n’ai envie de personne.
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you're not dreaming babe

Je sent la respiration de la belle s’accélérer. tout comme la mienne. Elle se frotte à moi, je me frotte à elle, lui mordillant le cou, l'épaule, l'oreille. Elle me griffe le dos, un petit grognement à la fois de plaisir et de douleur s'échappe de ma gorge. Son corps, si parfait, qui semble si fragile et fort à la fois. Sa bouille d'ange, son sourire parfait ... tout en elle semble m'appeler. Et je n'ai qu'une envie, y répondre. Mon corps, au dessus d'elle se tend de plus en plus, j'ai l'impression de brûler de l'intérieur mais cette chaleur est douce. Comme elle. Tendu de la tête au pied, j’inverse nos position, retrouvant la place du dessous. Je jette plus loin le soutient gorge de Mélody la recouvrant de baiser appuyer. Avant de commencer le travail. made by LUMOS MAXIMA

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Nos corps sont nus, l’un contre l’autre. Ce n’est pas la première fois. Il n’est pas le premier, il ne sera certainement pas le dernier. Mais il est le seul avec qui tout ça soit si magique. Tous ces moments de bonheur, ces parties de jambes en l’air partagées … qui, qui peut réellement se douter que derrière ce jeu charnel se cache en réalité une tempête de sentiments ? Je tremble, et quelques cris plus ou moins forts s’échappent de ma bouche. Je ne le contrôle pas. Je ne me contrôle plus. Je bouge toute seule contre lui, mes mains caressant son torse, les yeux mi-clos. J’aimerais lui chuchoter des mots doux, mais non. J’aimerais lui dire que je l’aime. Mais non. Je ne suis qu’une gamine, j’ai à peine dix-sept ans, il en a déjà vingt-et-un. Ma peau est recouverte de frissons, et j’ai l’impression de quitter la terre, de m’envoler, haut, très haut. Je ne touche plus la terre, des ailes me poussent et me font quitter toute cette atroce réalité. Là, il n’y a plus que lui, que moi. Juste nous, sur un petit nuage de plaisir.
Le retour à la réalité risque d’être brutal. Mes ailes sont trop petites pour me permettre d’encaisser le choc.
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