devyn-ella ~ toutes les pièces ont deux faces.

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devyn-ella penelope teller
Des matins où j'aimerais que son sourire remplace ma souffrance. > play

Ici on m'appelle Devyn-Ella Penelope Teller ou plus communément Ella. Je suis née un certain 15 janvier, si vous savez compter j'ai donc trente-deux ans dans cette magnifique ville qu'est Los Angeles. Pour payer mon carton de luxe, je suis propriétaire d'une pâtisserie & voleuse. Dans la vie c'est un peu pas la misère et je ne partage ma vie avec quelqu'un. On dit souvent de moi que je suis rêveuse, romantique, attentionnée, un peu naïve, colérique, lunatique, féminine, franche..., c'est pour ça qu'on me trouve chez les blizzard. Franchement, je trouve que je ressemble pas mal à sarah michelle gellar et d'ailleurs ses photos/gifs viennent de bazzart.

✻ en même temps d'être une excellente cuisinière, je suis très très gourmande. ✻ j'aime que tout soit ordonnée. ✻ depuis dix ans, je vis avec un dédoublement de la personnalité. Devyn est la partie noire de moi. le problème, c'est que je ne me rappelle de rien quand c'est elle qui prend le dessus. ✻ Devyn est tout le contraire de moi. elle est sûre d'elle, manipulatrice et séductrice. et c'est une excellente voleuse. elle est responsable d'énormes cambriolages. ✻ je suis marié à un homme que je n'aime pas. ✻ j'ai plusieurs tatouages. c'est Devyn qui les a fait. ✻ j'aime prendre un livre avec un thé et une couverture pour m'installer sur le canapé. ✻ je suis totalement perdue. je ne sais plus qui je suis, ce que je veux. ✻
crédits unicorn

let's talk about you ?

Ton pseudo/prénom : Elodie. Âge : j'ai pas encore vieillit depuis la dernière fois. Pays/région : france/isère. Ton avis sur notre beau CC ? : vu que je suis une schizo, c'est que je l'adore à la folie. Souhaites tu être parrainé(e) ? : non c'est bon. Ton dernier mot Jean-Pierre ? :

Code:

SARAH MICHELLE GELLAR[color=#db0b32][/color] devyn-ella teller

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il était une fois...

La vie n’est pas un conte de fées qui finit bien. Le monde est un endroit cruel, triste, où tant de choses à tout instant se trouvent gâchées par la méchanceté des hommes.

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« Au début, on croit mourir à chaque blessure. On met un point d'honneur à souffrir tout son soûl. Et puis on s'habitue à endurer n'importe quoi et à survivre à tout prix. » « Ella, descends s'il te plait. il faut qu'on parle. » la voix de mon père raisonne dans l''immense demeure qu'on habite à Los Angeles. je suis tranquillement entrain de dévorer un livre de pâtisserie pour mon examen sur la terrasse de ma chambre qui donne sur la mer. j'adore cette vue. j'adore cet environnement. c'est l'endroit où je suis au calme. je pose mon livre et je descends deux à deux les marches. mon père est dans le salon avec son verre de whisky. notre gouvernante m'apporte une tasse de thé avec un beau sourire. il me dit de m'installer en face de lui avec sa main. je ne sais pas vraiment qu'elle va être le sujet de notre discussion. avec mon père on peut s'attendre à tout. même si je viens de fêter mes vingt-deux, il veut encore avoir un impact sur ma vie. on peut dire qu'il a été très vexée quand j'ai annoncé que je n'optais pas pour des études de cuisine mais pour la voie de la pâtisserie. je porte la tasse à mes lèvres en essayant de déceler le moindre signe pour m'aider. « tu sais que parfois, il faut des sacrifices pour avoir une vie parfaite. je sais que ça peut paraitre fou et démodé. seulement, tu es ma seule fille et je me dois de t'offrir une vie de reine. » je ne sais pas vraiment ce dont je dois penser de ce début discours. je suis la seule fille dans une fratrie de cinq enfants. nous ne sommes plus que deux à la maison vu que mes trois grands frères ont déjà leurs propres vies de famille. papa a toujours évoqué le fait qu'il n'a pas choisi maman. que c'était le destin qui les avait réuni. si on me demande mon avis, j'évoque plus le mariage arrangé. afin que l'entreprise des Monroe s'agrandissent, il fallait que mon père épouse une femme de son rang, une femme à la hauteur. ainsi, personne n'était amoureux. personne n'a fait de choix. ils ont acceptés. cependant, il s'est produit une chose rare : ils sont tombé amoureux au fil des jours. ce n'est pas les jours que ça arrive ce genre de choses. je passe mes jambes sous mes fesses. « tu sais comme Tomàs Teller aime ta compagnie et ne tarit pas d'éloge sur ta beauté et ton caractère. il venu me voir aujourd'hui. nous avons longuement parler. nous avons parlé de mon entreprise mais aussi de toi. il m'a fait une proposition que je n'ai pas pû refuser. il m'a demandé ta main, Ella. » je reste stoïque. je reste sans voix telle une statue. je retire mes jambes et reprend une position normale. je passe les mains sur mon visage. « quoi ?» voilà les seuls mots que j'arrive à sortir après quelques secondes de silence. mon père vient de me vendre car oui c'est le bon mot. il m'a vendu à un homme que je connais à peine. un homme bien plus vieux que moi. un homme pour qui je n'ai aucun sentiment. il est vrai que je lui parle lorsqu'il vient à la maison. je me montre telle une parfaite demoiselle comme mon père veut que je sois quand nous avons des invités. jamais, je n'aurais pensé qu'il voudrait de moi. je ne veux pas épouser quelqu'un que je n'aime pas. je ne veux pas d'un mariage arrangé. maman n'aurait pas accepté ça. j'aurais aimé qu'elle soit toujours avec nous, qu'elle n'est pas eu ce maudit cancer quand j'avais dix ans. je me lève et je sens la colère s'emparer de moi. « je ne suis pas un objet, on ne me vend pas comme ça. je.... » je me sens partir. je sens que mon corps tombe sur le sol. quand je me réveille, je ne suis plus dans le salon de chez moi. je suis dans un lit dans une chambre que je connais pas. je ne comprends rien. je regarde le réveil à côté de moi et m'aperçois qu'il est trois heures du matin. qu'est-ce que j'ai bien pû faire pendant ses six dernières heures. je me rappelle d'avoir eu la tête qui tourne, de tomber et puis plus rien. j'observe la pièce cherchant pourquoi je suis ici. j'attrape le draps et l'enroule autours de moi. je me lève du lit et commence à marcher dans le couloir pour arriver dans un salon immense avec une vue panoramique sur tout Los Angeles. l'appartement est luxueux et magnifique, je dois dire. derrière le comptoir de la cuisine, je tombe nez à nez avec Tomàs Teller torse nu. quand il doit voir ma tête, il doit être sous le choc. en même temps, je suis sous le choc moi. je viens de me réveiller dans le lit de Tomàs. « je ne pensais pas que tu étais aussi dévergondé Devyn. » je passe ma main dans les cheveux. alors oui, on s'est bien envoyé en l'air. je ne sais plus où me mettre. en plus de ça, il vient de m'appeler Devyn. je ne sais pas d'où ça sort. il est sûr qu'il ne s'est pas trompé de fille. je m'avance un peu plus vers lui attirer par la bonne odeur. il est entrain de faire des pancakes à trois heures du matin. je m'installe sur le tabouret, il pose une assiette devant moi et trois pancakes qu'il arrose de caramel. j'en prends une bouché. il cuisine très bien. ça m'étonne, je le voyais pas ainsi. « moi, c'est Ella. » dis-je la bouche à moitié remplit. « c'est toi qui me disait que c'était Devyn, que tu préférais. » je sais que quelque chose ne va pas. je sais qu'il s'est produit quelque chose dont je me rappelle pas. je suis dans le flou et ça me fait peur. je saute de mon tabouret et je quitte cet appartement en quelques secondes. je me retrouve dans la rue dans la nuit noire ne portant qu'un draps autours de moi. heureusement que je pouvais m'engouffrer dans un taxi.

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« Nous sommes faits d'un étrange mélange d'acides nucléiques et de souvenirs, de rêves et de protéines, de cellules et de mots. » dix ans de mariage. dix ans que je partage ma vie entre Devyn et moi. dix ans en ne sachant pas qui je suis vraiment. je suis elle. je suis moi. je suis personne. je vis avec ce dédoublement de la personnalité en ne sachant jamais quand Devyn apparaitra. je sais seulement qu'elle débarque quand j'ai la tête qui tourne et que je me sens partir. c'est elle qui a les rênes en ce moment. je passe par la porte de notre chambre les bras chargés. Tomàs est dans son bureau attendant sagement en remplissant de la paperasse. je dépose l'énorme tableau en face de lui. il me fait un énorme sourire. je viens de voler cette oeuvre d'art qui va nous rapporter une bonne petite somme d'argent. moi je vole, Tomàs revend. on peut dire que depuis dix ans on ramasse beaucoup d'argent grâce à ça. j'aime le luxe et les billets me font frémir de bonheur. dans ma combinaison noire, je saute sur les jambes de mon mari encerclant mes bras autours de son cou en l'embrassant férocement. « excellent boulot ma tigresse. » il me rend mon baiser. qu'est-ce que je peux aimer ma vie. le seul problème, c'est Ella. sans elle, ça serait encore mieux. elle n'en vaut pas la peine. ça devrait être moi et seulement moi. elle est trop faible et trop gentille. elle n'est pas faite pour vivre sur terre. j'ai beau essayé de vouloir l'expulser du tableau, il faut toujours qu'elle revienne. je me tiens la tête. j'aime pas ça car je sais que ça veut dire qu'elle va revenir. heureusement, ça n'est pas arrivé quand j'étais en plein vol. elle nous aurait fait chopé cette idiote. « je crois.... » je m'effondre sur le sol et quand j'ouvre les yeux. POUF ! c'est Ella. je me recule immédiatement de Tomàs. je n'arrive pas à comprendre ce qu'il lui trouve. je vois le tableau et je comprends qu'elle la refait. elle vient de voler quelqu'un. je vois bien sur le visage de Tomàs qu'il est déçu, je vois naitre cette colère. il s'est aperçut que quand il me faisait violence, Devyn revenait plus vite. il a pris l'habitude de me battre pour qu'elle revienne. ça ne marche pas à tous les coups. la moitié du temps, je dois supporter cette violence. « tu pourrais pas abandonner. regarde-toi Ella. tu vaut pas le coup. Devyn est bien meilleure, plus forte, plus sûre d'elle. elle mérite sa place. » il me bloque contre le mur. je ne bouge pas telle la souris qui se fait recule dans un coin face au chat. il caresse une mèche de mes cheveux. puis, sa main s'abat sur ma joue. je porte ma main à ma joue avec les larmes qui dégouline. je déteste cette violence. je ne supporte pas ma vie, je ne le supporte plus. je veux pouvoir être moi. je veux être Ella la totalité du temps. il me frappe dans le ventre. je tombe sur le sol. et les coups commencent à pleuvoir. « fais revenir Devyn. » je sens chacun de mes muscles. la douleur est de partout. je me demande comment il peut frapper une femme. je me demande comment fait Devyn pour lui pardonner quand elle se 'réveille' avec tous ses coups. je sens du sang sur ma langue. j'ai la lèvre du bas explosée. mon nez pisse le sang et ma joue vient de s'ouvrir. les larmes ne cessent de couler et la douleur est encore plus importante. je ferme les quelques secondes. je me concentre. je dois faire abstraction de cette douleur. je me tiens au mur, j'essaye de me relever. je tombe sous le rire de Tomàs. deuxième essai. troisième essai. la quatrième fois est la bonne. je suis sur mes deux jambes. je ne dois pas écouter mon corps si je veux réussir. c'est affreux de se dire que mon corps est tellement meurtri que parfois je ne me remets pas de ça et qu'il recommence le jour d'après. les bleus sont souvent présents. la plupart du temps, je les cache sous du fond de teint. j'ai mentit à plusieurs reprises ; une chute dans l'escalier, un livre qui me tombe dessus... heureusement que je suis du genre à être gargote sinon les gens se seraient déjà posé des questions. j'aurais peut-être du mais je sais que Devyn reviendra et qu'elle sera de son côté. en même temps, elle est comme lui. l'ange contre le démon. elle est mon côté noir, je suis le côté blanc. « c'est fini. tu ne me frapperas plus. » c'est avec difficulté mais je marche un peu. j'attrape le premier objet de son bureau et avec les derniers forces qu'il me reste, j'abats l'objet sur sa tête. Tomàs semble étourdi. j'en profite pour traverser l'appartement. j'avance le plus rapidement possible. je prends le premier taxi. direction l'aéroport. je loue n'importe quel voiture. et je roule. je ne sais pas où je roule mais je roule. je veux me retrouver le plus loin possible de Los Angeles, le plus loin possible de Tomàs. je dois me donner une chance d'être heureuse. il voudra me retrouver. il voudra m'avoir et me faire regretter mon geste. qu'importe, je dois me battre. je dois me battre avec moi-même pour éviter que Devyn revienne.

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« Il suffit d'un instant. Un regard. Une rencontre. Pour bouleverser une existence. La bonne personne, le bon moment. Le caprice complice du hasard. » je ne suis jamais tombée amoureuse. pourtant je crois que c'est le cas aujourd'hui. je ne sais pas ce qui m'a poussé dans ses bras. je ne sais pas ce qui m'attiré chez lui. sa gentillesse. son humour. son côté protecteur. je ne pensais pas qu'en me perdant dans l'Arkansas , je pourrais ressentir tout ça. je pourrais accepter qu'on me séduise, qu'on s'approche de moi. chaque matin, il débarquait à la boutique venant chercher ses muffins. toujours à la même heure, toujours avec le même sourire. il me sortait toujours quelques plaisanteries en n'hésitant pas à ajouter un peu de charmes. je souriais, chose qui ne m'était pas arrivé depuis dix ans. puis il a ce jour où il n'est pas venu. une urgence dans son travail. c'est cet autre homme qui est venu pour me donner un petit morceau de papier avec un muffin " il ne doit pas être aussi bon que le tien mais c'est juste pour que tu acceptes. ce soir à 20h, je viens te chercher." un sourire sur mon visage, j'ai croqué dans le muffin. horrible. cependant, c'était tellement adorable qu'on ne peut pas résister à ce genre de gentillesse. vingt heures pile, il était à la porte de ma boutique. il m'a tendu sa main que j'ai prise. il a préparé tout un dîner chez lui sortant le grand jeu. de file en aiguille, il s'est retrouvé à m'embrasser alors que j'allais partir me réveillant tôt le matin. je n'ai plus pensé à rien. tout s'est accéléré. le désir, la tentation. je lui rendais son baiser. il posait ses mains sur mon gilet enlevant chaque bouton. le vêtement tombe. puis c'est autours de ma robe. il embrasse mon cou, mon épaule. il tombe sur la première marque. la première fois qu'il m'a battus. une marque qui est resté. « qu'est-ce que c'est ? » dit-il en s'arrêtant net pour passer son doigt délicatement dessus. « ce n'est rien. embrasse-moi. » il ne cherche pas à aller plus loin. il m'embrasse. sa maison devient un véritable carnage. des vases par terre. on finit par trouver le chemin de la chambre. le moment exquis. j'aurais pû avoir peur, me poser des questions. mais non. je n'ai pensé à rien, j'ai profiter de l'instant. je n'ai pas pensé au faite qu'un homme ne m'avait touché ainsi, ne m'avait pas vu nue depuis dix ans. c'était le paradis. je ne pouvais pas regretter. je suis sur le ventre, il est sur le côté. il s'amuse à faire des dessins sur mon dos du bout des doigts.« tu ne veux pas me dire d'où vienne toutes ses traces que tu as ? ça ressemble à des blessures. » je repense à Tomàs, aux coups, à mon dédoublement de la personnalité. Devyn n'a pas fait son apparition depuis des semaines. c'est étrange de se dire que j'ai été totalement moi aussi longtemps. je n'en ai pas l'habitude. elle ne va peut-être pas revenir. « c'est pas important. » je ne veux pas en parler. je ne peux pas évoquer le faite que mon mari me frappait. que je suis marié à un homme immonde. que je ne l'ai pas choisi, que c'était un mariage arrangé. je ne peux pas. d'un seul coup, j'ai mal à la tête. je me rappelle de la manière dont vient Devyn. je ne veux pas qu'elle vienne alors que je suis avec lui. je ne veux pas qu'elle foute le bordel. je ne veux pas qu'elle puisse s'en prendre à lui. je sors du lit attrapant mes vêtements. je dois partir avant qu'elle débarque. et moi qui disait qu'elle n'avait pas débarqué. voilà qu'elle le fait. pourquoi ? j'étais bien. je me sentais moi-même. « je dois partir. » je me rhabille. il attrape mon bras et me fait tomber sur le lit. il m'embrasse. « reste s'il te plait. tu peux pas partir comme ça Ella. » je fais en sorte qu'il me lâche. je finis de m'habiller. j'aimerais pouvoir rester. j'aimerais pouvoir dormir dans ses bras. j'aimerais que le monde tourne autours de lui. seulement, j'ai un passé. elle est là. je ne peux pas mettre en péril tout ça. si elle se rend compte de tout, elle fera en sorte de retourner vers Tomàs. je ne veux pas. je me suis habitué à Silmoa. j'aime ma pâtisserie. j'aime le calme totalement différent de Los Angeles. je sors de chez lui en tout hâte en entendant ses pas derrière moi. j'ouvre la porte d'entrée et court. je me tourne et le voit sur le pas de la porte ne comprenant pas mon geste. je cours encore. encore et encore. je sens mon mal de crâne. je cours encore. je tombe. le silence. le calme de la nuit. je me relève. je suis Devyn.

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REE. Omg j'ai trop hâte de voir ce que tu nous prépares avec ce perso. **

un super pseudo, un super vava bref je sens que ce perso va donner encore!!!

REBIENVENUE ma belle, en espérant que ce perso déchire autant que le premier han

**Invité** Invité

Ton nouveau pseudo déchire la cacahuète !!! Et l'avatar de SMG aussi heart

Re bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche ! big love

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contente que sarah vous plaise

j'espère qu'il vous plaire. en tout cas, préparez-vous à du super compliqué.

**Invité** Invité

Re bienvenue sur le forum
J'espère que tu t'éclateras avec ce nouveau perso !

**Invité** Invité

SARAAAAAAAAAAAH
rebienvenue

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rebienvenue avec ce nouveau perso, j'ai hâte de voir ce que ça va donner

**Invité** Invité

Taryn, je te réserve un lien bien au chaud. et c'est clair que Buffy c'est la vie han

merci les choux

Rebienvenue ma belle ! Petit Coeur

Amuse toi bien avec ton nouveau perso ! Vague

sing hallelujah !

t'es enfin validééééé

Bravo mon bichon, t'as passé l'épreuve de la présentation haut la main !

OMG. heureusement que tu écris super vraiment bien, parce que j'ai pas compris au début ^^" Mais finalement c'est bon, et je sens que tu va envoyer du paté avec ta schizo Rebienvenue !

Tu peux dès à présent vérifier que ton petit nom apparaît bien dans le bottin ! Si tu travailles, c'est bieeen, viens donc nous le dire dans le registre des métiers. Il est important d'avoir un carton de luxe où s'abriter, pour ceci tu peux aller faire une demande de logement et pour fêter ta petite crémaillère, inviter tous tes potes à foutre le bordel ! Pour ceci, il faut te créer des liens parce que ouais, si t'as pas d'amis, bah, c'est pas le top ! Tu peux aussi t'en créer, c'est une option, pour ça, les scénarios c'est pratique ! Sinon, tu peux voter pour le forum et nous le signaler pour être récompensé ! Enfin, après tout ceci tu peux commencer ton aventure, n'hésite pas à passer par le flood ou la chatbox histoire de raconter ta vie, on adore ça ! Il existe aussi un habitant qui s'amuse à nous torturer, alors viens lire notre Gossip. Tu es un perdu avec tout ça ? le parrainage alors fonce, c'est fait pour toi ! Tu peux aussi t'éclater avec les jeux ça ne fait pas de mal.
Bon courage pour la suite, on t'aime fort petit bichon !

**Invité** Invité

c'était un peu le but. XD
merci heart

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» DEMANDE DE RP ⊱ j'veux écrire de toutes les couleurs.
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