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On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal || Seth&Eden

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Seth O. Hemingway
Seth O. Hemingway
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MessageSujet: On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal || Seth&Eden On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal || Seth&Eden EmptyDim 22 Fév - 22:13


On attire la haine...

Seden

On l'avait rattrapé avant qu'il n'atteigne le Walmart. En réalité, tous ceux présents sur la scène de crime avaient été enjoints de passer des test psychologiques à l’hôpital, et Seth avait été trop fatigué pour résister. Il avait suivi les ambulanciers sans un mot, le regard flou, et il n'avait pas parlé pendant tout le trajet. Sur la place de la fusillade déjà, tous les pompiers, médecins et infirmiers qui ne seraient pas au travail à la clinique s'occupaient des morts. Les blessés avaient déjà été transportés et il ne trouvait pas cela plus mal. Il se trouvait maintenant a coté de familles déchirées, d'amis souffrants, de petits-amis inquiets, et lui se tenait là, droit sur sa chaise, attendant son tour en jetant des regards stressés à l'horloge. Il ne savait pas trop pourquoi il avait besoin d'être là. Personne ne savait qu'il était amoureux d'une des victimes, et il avait bien réussi à le cacher jusque là. Cela faisait plus de deux heures. Deux heures qu'elle était morte dans ses bras sans qu'il puisse y faire quelque chose. Un homme avait été emmené pour être interrogé par la police, mais il savait bien qu'il avait des complices. Complices qui avaient déclenché la deuxième rafale, profitant du vent de panique qui leur avait évité de se faire remarquer. Seth était écœuré qu'ils aient réussis à s'enfuir. Surtout, il savait que personne ne s'interrogeait pour l'instant. Les autorités avaient leur coupable, et elles ne chercheraient pas plus loin si on ne leur disait rien. Mais il n'avait pas assez de force pour tenter quelque chose. Ce qu'il voulait, c'était rentrer chez lui, boire une bonne bouteille et aller se recoucher, même s'il n'était que quatorze heures. Et surtout, oublier.

Lorsqu'on l'appela, il ne réagit pas tout de suite. L'infirmière insista et il se leva en jetant un regard en arrière. Il était encore temps de partir, de s'enfuir d'ici, de cet  hôpital synonyme de mort et d’horreur. Il n'avait jamais aimé ce lieu. Pourtant, le petit sourire engageant de la femme le résigna à la suivre et il parcoururent un couloir envahi de pleurs et de cris. Des gens étaient au téléphone de tous les cotés, des files d'attente se formaient devant toutes les portes, et standardistes et médecins avaient l'air débordés. Il entra dans le bureau qu'on lui indiquait, ou un vieux bonhomme épuisé le reçu. Seth n'avait jamais eu de séances chez le psy, il n'en avait jamais senti le besoin, et là c'était pareil. Il n'aimait pas cette salle, il ne se sentait pas à l'aise sur cette chaise avec des yeux éteints le fixant, tentant de trifouiller dans sa tête par la pensée. Il répondit aux questions de mauvaise grâce, mentant à quasiment toutes les questions, et affichant par là même son air très ennuyé. Peut être réussit-il à convaincre qu'il allait très bien car le médecin le chassa d'un revers de la main en le remerciant de sa collaboration. A vrai dire, a part le sang qui tachait ses vêtements, son visage couvert de poussière et les larmes séchées sur les joues, rien ne présageait qu'il eut subi un choc psychologique puissant. Il avait été là au mauvais moment, avait réussi à éviter les balles, mais n'avait pas pu empêcher des corps de tomber à ses pieds. Il valait mieux pour le docteur de recevoir quelqu'un de très choqué et qui aurait manifestement besoin d'aide. Seth était les deux, mais des années de manipulation avaient parfaitement réussi à cacher cet état d'esprit. Il reprit ses affaires et quitta la pièce avec un au revoir assez convainquant. A peine était-il sorti qu'une femme en pleurs le poussa pour entrer.

Maintenant que c'était fait, il voulait partir d'ici le plus vite possible. Bien que l'on soit à l'hopital, il savait qu'il n'aurait aucune chance de voir Aza, elle devait déjà être débordée et n'avait pas besoin de se le coltiner, même s'ils étaient amis. Il reprit le couloir en sens inverse, passant devant les mêmes gens ébranlés. Alors qu'il passait devant les chambres des blessés peu graves, une des portes s'ouvrit devant lui, un infirmier en sortant. « Vous pourrez ressortir bientôt mademoiselle Pastrow, vous avez eu beaucoup de chance » entendit-il dire de sa bouche. Seth s'arrêta brusquement devant la porte et la retint afin d'éviter que le jeune homme ne la referme. Celui-ci lui jeta un regard intrigué. « Monsieur ? Etes-vous de la famille ? » l'interrogea t-il. Seth posa sur lui un regard vide et d'un air inquiet il répondit. « Oui, oui. Je suis son frère ! ». Ils se jaugèrent un instant tous les deux. Il ne ressemblait pas du tout à Eden qui était petite et brune, mais il ne laissa pas le temps à l'infirmier de protester et entra dans la pièce sans en avoir été invité, refermant la porte derrière lui. Et maintenant ? Il était rentré par instinct, il ne savait pas pourquoi. Il se souvenait de l'avoir vu à la fusillade, planquée derrière une voiture, mais il n'avait pas été la voir lui apporter son aide. Il ne voulait pas l'aider. Si elle mourrait, cela serait tout bénéfique pour lui. Apparemment, c'était loin d'être le cas, et sans qu'il le comprenne vraiment, il en était soulagé. Il ne voulait pas que ce soit des inconnus qui règlent son problème à sa place. « Surprise ! » dit-il d'un air las alors que la jeune blessée tournait un regard vers lui. « Dis bonjour à ton grand frère ! Je suis venu voir comment ma petite Eden se portait, il paraît que tu as pris cher, hein ? » demanda t-il en s'approchant d'une chaise pour se débarasser de toutes ses affaires. Franchement, c'était d'un ridicule, qu'est ce qu'il faisait là ? Pour une fois qu'elle était plus démunie que lui, il aurait pu en profiter pour porter ses mains à son cou et attendre qu'elle meure car elle ne serait pas arrivée à le repousser. Mais il ne pouvait pas faire ça. Il ne voulait pas voir d'autres morts avant une bonne dizaine d'année ! Il n'avait pas la force de l'étrangler, juste celle de s'effondrer sur la chaise contre laquelle il s'adossa. Il pouvait maintenant la regarder tout son soul.
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MessageSujet: Re: On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal || Seth&Eden On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal || Seth&Eden EmptyMer 25 Fév - 1:22



On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal || Seth&Eden



Le moment n'était pas des plus joyeux. La ville venait de se faire envahir par la terreur. Une fusillade avait éclatée en plein centre ville. L'auteur présumé des actes avait été arrêté. La police, les pompiers et la plupart des gens de la ville étaient sur les rotules. Morts, blésés, plus ou moins grave, c'était une véritable tuerie qui venait d'avoir lieu. J'étais sortie de chez moi pour me rendre au travail quand tout ceci avait commencé. Je n'avais pas pressenti le moins du monde ce qui allait se passer. Quelques minutes seulement après que j'ai pénétré dans les rues de Dowtown, j'ai moi-même, personnellement reçue une balle. La panique était déjà à son extrême niveau dans toute la ville. Les secours étaient surpassés. Je n'étais pas le genre de personne à aller aider les autre. J'étais plus « perso ». Durant cette attaque ça s'est sentit d'ailleurs. Je me suis retrouvée seule comme une idiote débutante. Ma balle bien ancrée dans ma hanche. Je m'étais vue tomber à terre, essayant de ramper jusqu'à une voiture. J'avais réussis, je m'étais appuyée contre celle-ci attendant que l'on vienne me chercher. Il valait pour moi qu'un urgentiste me voit. Car ressentant des frissons dans tout mon corps, je sentais que je partais loin. Je m'étais moi-même injurié sur le fait que j'aurais mieux fait de me la jouer personnelle directement et partir de-là tant qu'il en était encore temps. Je n'eus pas vraiment le temps de continuer à m'autoinsulter, que je sentais vite le sol goudronneux s'écraser contre ma tête, ou plutôt le contraire. Une marre de sang m'avait contournée. Des pas étaient arrivés en courant à toute vitesse.  « On a un blessé grave faites venir une ambulance de toute urgence ! » avait alors annoncé une voix métallique comme si elle sortait d'une radio.  « On l'a perds ! On la perds !! MADAME ? » des voix qui étaient devenues de plus en plus lointaines avait continuées. C'est la seule chose que je puisse confirmer dont je me souviens. Pas de bruit d'ambulance, pas de souvenir de visage connu. Rien ! Le néant totale.

J'étais maintenant dans ce lit blanc sinistre, dans cette pièce tout aussi morne. Je ne sentais plus le contact de mon haut moulant, ni même le poids de ma veste de tailleurs. Je me sentais, au contraire enfouie dans une sorte de voile, un pyjama. Ah non ! C'était une blouse !  La tête posée sur l'oreille, j'avais ouvert lentement mes yeux apercevant un homme en blouse blanche qui se tenait debout à côté de moi.   « Madame Pastrow ? Vous m'entendez ? » fronçant légèrement les sourcils, je sentais que quelque chose n'était pas normal. Qu'est ce que je foutais là ?! J'étais invincible ! Un hôpital ?   « Vous avez été blessée par balle, vous vous souvenez ? » l'air complètement vaseux dans lequel je me trouvais ne me permettait pas de répondre à haute voix à la question du docteur. Je me contentais alors de secouer tout doucement la tête de la gauche vers la droite, comme pour lui dire « non ».   « Ça ne fait rien. Vous êtes sous morfine, je vais vous laisser vous reposer, je repasserais plus tard ! » avait-il haussé légèrement la voix comme si j'étais sourde à ses yeux. Sous morphine ?! Je comprenais mieux cet état vaseux totale dans lequel je me trouvais. C'est alors que je me mise à rire bêtement sans ne rien pouvoir contrôler. Le médecin s'éloigna et dans l'encadrement de la porte, avant de quitter la pièce m'annonça   « Vous pourrez ressortir bientôt mademoiselle Pastrow, vous avez eu beaucoup de chance »  Mon air niais souriant, acquiesça aux mots du docteur  « Monsieur ? Etes-vous de la famille ?  » continua-t-il.  « Oui, oui. Je suis son frère ! » répondit une autre voix qui me parue familière pour le coup.

Un autre homme entra dans la pièce en prenant soin de fermer la porte derrière lui et annonçant « Surprise ! » Une surprise ? Étant revenue quelque peu à mon état d'enfant, je me dit directement que j'adorais les surprises. Curieuse, je tournais alors la tête vers cette fameuse voix et je vis un homme assez baraqué, blond, me semble-t-il me parler. J'arquais alors un sourcil Dis bonjour à ton grand frère ! Je suis venu voir comment ma petite Eden se portait, il paraît que tu as pris cher, hein ? » Il s'asseya sur une chaise juste à côté de mon lit. Je n'étais vraiment pas dans mon état normal. D'abord je l'avais vu flou et ensuite j'avais finis par le reconnaître. « SETH !  » j'étais fière de réussir à mettre un nom sur mon visiteur.  « Mon frère d'arme ! » avait-je alors lancé. Puis repensant à la question qu'il venait de me poser, ne sentant aucune douleur, étant complètement relaxée, shootée même, je répondais haussant les épaules  « Je sais pas, il parait que j'ai pris une balle. » Je me mis alors à rigoler de nouveau comme si j'étais une personne complètement ivre. Je soulevais alors la couette et ma robe de chambre sans aucune pudeur  « Tu vois là ! Ya un trou ! » avouais-je telle une enfant qui voulait montrer sa blessure de guerre à un parent. Alors qu'en réalité il y avait un énorme bandage sur ma hanche cachant l'opération que j'avais du subir juste avant. Moi, complètement dans mon monde, à moitié dans les vapes, je ne m'en était pas rendu compte, imaginant un énorme trou à la place de ma hanche. C'était le moment parfait pour Seth Hemingway d'assouvir une vengeance s'il le souhaitait. Bien que ce ne soit pas du tout à la loyale car il allait très certainement se rendre vite compte que je n'étais pas dans mon état habituel. Si ce n'était pas déjà fait d'ailleurs. Si la vrai Eden Pastrow, la  « vraie moi » avait été dans cette pièce, elle aurait surement été furax de l'état dans lequel les médecins l'avaient mise avec toute cette morphine.

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MessageSujet: Re: On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal || Seth&Eden On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal || Seth&Eden EmptyJeu 26 Fév - 23:06


On attire la haine...

Seden

L'idée de rendre visite à quelqu'un à l'hopital ne lui était jamais venue à l'esprit. S'il n'avait pas du y passer pour faire des test stupides, il n'aurait jamais au grand jamais mis les pieds à l'intérieur, à moins d'y être trainé, encore plus si on lui avait dit qu'il serait au chevet d'Eden, la seule fille qu'il aurait bien voulu laisser crever à la fusillade. C'était très paradoxal d'y être maintenant, alors qu'il aurait très bien pu se concentrer sur sa propre douleur et ignorer complètement qu'elle se trouvait là. Il devait surement être là pour ça. Pour s'apitoyer encore plus, parce que, autant être triste et en colère, autant pousser la chose au maximum en se faisant pourrir encore et encore. Cela ne pourrait pas être pire non ? Il ne ressentait plus grand chose. Même pas de la haine envers elle. Il se foutait bien de ce qu'elle pouvait ressentir elle, autant qu'il se foutait des autres gens, des autres victimes. Il n'y avait que lui et encore. En fait, il n'y avait peut être que du vide, du flou, du flottement. Il pourrait se balader dans l'hopital toute la journée, il s'en foutait bien, mais il aurait préféré retourner chez lui, sans distraction, rien que du silence. Même pas de pleurs et de cris. Histoire de gouter à son propre désespoir. La nature humaine était ainsi faite. A se consacrer à son propre malheur.

Par un incroyable coup du sort, la porte de la chambre de son ennemie s'était ouverte au moment ou il passait devant. Il ne pouvait pas passer à coté. Il s'était senti obligé de rencontrer en racontant un bobard à l'infirmier de service, et ce n'était pas parce qu'il l'aimait, ni même parce qu'il l'appréciait. C'était vraiment le contraire. Peut être voulait-il la voir souffrir autant que lui. Peut être voulait-il la tuer lui même pour lui reprocher d'avoir survécu. Peut être voulait-il simplement la voir sous son jour le plus sombre, démunie, sans pouvoir sur lui ce qui lui aurait procuré une extrème jouissance. Elle serait enfin rabaissée. A son juste milieu. Elle qui aurait tout fait pour le détruire se retrouverait blessée au cœur d'un simple échange de coups de pistolets. Reste qu'elle n'en serait toujours que plus vivante que lui. C'était l'inconvénient d'aimer quelqu'un, et l'avantage de n'avoir personne à garder près de soi. Ce serait deux cœurs en berne, deux vies perturbées, deux adultes qui avaient tout en commun et qui se retrouvaient par hasard à évoquer un même événement dans le cadre glauque d'une chambre d'hopital. Deux corps inoffensifs.

La chaise n'était pas confortable et il se releva bien assez tôt, alors que la jeune femme s'exclamait de le voir ici. Elle avait crié son nom comme s'il était la personne qu'elle avait espéré voir toute sa vie, la seule qu'elle espérait voir venir à son chevet. Il sentit tout de suite le ton hilare de ses phrases mais pour une fois, il savait que ce n'était pas contre lui. Il savait reconnaître l'effet des médicaments et les délires qu'ils pouvaient occasionner, et en l'espèce, elle était en plein dedans. En plein trip. Comme une droguée, mais bien plus belle qu'une droguée, malgré ses cheveux en pétard et son teint carrément cireux, comme si elle ressortait d'une anesthésie. Ca devait être le cas puisqu'elle précisa qu'elle s'était effectivement pris une balle, il supposa dès lors qu'elle avait subi une opération et cette pensée se trouva approuvée lorsqu'elle souleva le drap qui la recouvrait sans aucune pudeur, dévoilant un bandage énorme. Heureusement qu'il y était d'ailleurs, sinon Seth aurait eu un haut le cœur, lui qui avait horreur de ça. « Effectivement, c'est pas mal, si j'avais eu mon portable j'aurai pris une photo de cette blessure de guerre mais je crois que je l'ai perdu dans l'ambulance » dit-il ironiquement en s'asseyant sur le bord du lit pour l'avoir bien en face de lui. Dommage qu'il n'y ait pas vraiment de trou. Il avanca la main vers la hanche de la jeune femme sans gêne pour tapoter sur celle-ci. Cela lui faisait mal ? Bah, peu importe. « T'a un trou énorme. Et moi j'ai un trou dans mon coeur » marmonna t-il en enlevant sa main qu'il fit glisser sur la jambe. Mince, pourquoi est-ce qu'il faisait cela ? Il n'avait pas besoin de chaleur, pas de la sienne en tout cas. « Tu te souviens de quelque chose ou t'es trop shootée ? » demanda t-il en lui faisant un sourire, histoire de voir ce qu'elle savait ou non, et surtout si elle était capable d'avoir des propos cohérents. « T'a de la chance que je sois là pour te tenir compagnie, tu le sais ça ? Tu va être gentille avec moi hein ? Parce que je peux appuyer là ou ca fait mal »

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MessageSujet: Re: On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal || Seth&Eden On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal || Seth&Eden EmptyLun 13 Avr - 12:02

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Bonjour mes petits Siloam Sprigiens, j'espère que vous êtes bien réveillés ! On a vu Eden et Seth ensemble, Seth le cœur brisé -alors que, qui se doutait qu'il en avait un ?- par la perte de sa chère Lily, et Eden, sûrement shooté à tout un tas de trucs qui la rend stupide. Faut croire que malgré tout, le "frère d'arme" s'inquiétait pour la belle... A moins que son passe temps soit de la faire souffrir. Mais entre haine et amour, il n'y a qu'un pas...
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MessageSujet: Re: On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal || Seth&Eden On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal || Seth&Eden Empty

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