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| Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) Sam 28 Mar - 12:51 | |
| Keera S. Bohlinger Gold lion's gonna tell me where the light is
Ici on m'appelle Keera Bohlinger ou plus communément K'. Je suis née un certain neuf Septembre 1992, si vous savez compter j'ai donc 22 ans dans cette magnifique ville qu'est New York. Pour payer mon carton de luxe, je suis chercheuse de talent/chasseuse de tête pour un label. Dans la vie c'est un peu pas la misère et je ne partage pas ma vie avec quelqu'un. On dit souvent de moi que je suis insouciante - imprévisible - intuitive - instinctive - fêtarde - talentueuse - passionnée - mystérieuse - loyale - honnête - compétitive - curieuse - maladroite - sensible - impulsive - destructrice - attentionnée - ouverte d'esprit - parfois grossière - autoritaire - franche - utopiste - débridée, c'est pour ça qu'on me trouve chez les Sunlight. Franchement, je trouve que je ressemble pas mal à magdalena zalejska et d'ailleurs ses photos/gifs viennent de czart. |
⊱ Elle est la fille unique du célèbre Ashton Bohlinger, poids lourd de l'industrie pharmaceutique américaine et d'Irina Jablonsky, importante femme d'affaire à la tête d'une grande chaîne de produits cosmétiques. ⊱ obsédés par la réussite, ses parents n'ont eu de cesse de lui façonner une vie et une image dont elle ne voulait pas. Keera a, par conséquent, grandit entre les séances d'habillage, les shooting photos, les cours de maintien, les cours du soir et les soirées mondaines. ⊱ Bridée et mise en cage, elle passe une enfance solitaire et superficielle et tombe rapidement dans l'excès et la drogue. ⊱ La voyant mal tourner, ses parents l'expédient dans un pensionnat New Yorkais où elle fait la connaissance de Raven, l'homme à tout faire de la bâtisse et ancien taulard/dealer de drogue, de qui elle tombe amoureuse. Leur relation scandaleuse dure plusieurs années pendant lesquelles il l'initie à la musique. ⊱ Passionnée et musicienne talentueuse, elle est repérée par la Juilliard School qu'elle intègre pendant quatre ans et en ressort diplômée en Music Performance, General. ⊱ Elle plaque tout et fuit New York pour suivre Raven dans sa ville natale, Siloam Springs. Après quelques mois de relation compliquée et en dents de scie, il disparaît du jour au lendemain en laissant Keera derrière lui, qui décide de rester dans la petite ville, loin de sa vie et de ses parents. ⊱ Elle n'a plus aucun contact avec sa famille depuis sa fuite à Siloam et s'en porte mieux ainsi. D'ailleurs, personne ici n'est au courant de sa véritable identité et Keera s'applique à garder le secret en se donnant l'image d'une personne calme et responsable. ⊱ Guérie de la drogue et assagie, elle n'en reste pas moins une véritable bombe à retardement. ⊱ Elle est fan de vieux rock et considère tout ce qui est sorti après les années 2000 comme de la daube. ⊱ Ses connaissances et ses bons goûts musicaux lui ont permis d'intégrer rapidement un label, pour lequel elle occupe actuellement le poste de "chasseuse de nouveaux talents". ⊱ Elle déteste quand on la fixe, ça la met mal à l'aise. ⊱ Elle est coulorophobe. ⊱ Insomniaque depuis son plus jeune âge, elle ne dort que très peu dans les bons jours, l'histoire d'une ou deux heures par nuit. Elle en profite généralement pour bosser sur ses recherches ou pour composer/écrire (ou mater des séries). ⊱ Elle est autodidacte et a apprit à parler Russe et Allemand seule. ⊱ C'est une très bonne menteuse, elle n'a aucun tic nerveux et elle est capable de sortir le plus gros bobard de l'histoire sans cligner des yeux et sans rougir. ⊱ crédits unicorn |
let's talk about you ?
Ton pseudo/prénom : Alison mais sur internet c'est Faith Âge : 22 ans Pays/région : France/PACA Ton avis sur notre beau CC ? : Ile st badass et je l'aime déjà Souhaites tu être parrainé(e) ? : Non merci, je devrais m'en sortir seule comme une grande Ton dernier mot Jean-Pierre ? : - Code:
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MAGDALENA ZALEJSKA[color=#db0b32] [/color] Keera S. Bohlinger
Dernière édition par Keera S. Bohlinger le Lun 30 Mar - 1:05, édité 13 fois |
| | | | Sujet: Re: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) Sam 28 Mar - 12:51 | |
| It was always you If people were like rain, I was like drizzle and he was a hurricane.
Je la fusille du regard mais elle ne cille pas, même l’espace d’une seconde, et elle se répète, ses yeux reptiliens plantés dans les miens, en prenant soin de bien détacher chaque mot « Va-te-changer-Keera. Tout de suite. » siffle-t-elle entre ses dents serrées. J’ai envie de lui dire d’aller se faire foutre mais les quarante paire d’yeux braquées sur nous et avides de scandales me font ravaler les mots que me brûlent les lèvres. Je range les crocs. Pour l’instant. Je lui balance un large sourire dans lequel je m’applique à faire transparaître toute la haine et l’hypocrisie dont je suis capable, avant de lui tourner dignement le dos pour monter à l’étage. Les discussions ont déjà repris dans le salon quand je me retourne pour verrouiller la porte de la salle de bain parfaitement rangée et nettoyée, comme toujours. Mes yeux se posent sur mon reflet, planté dans le grand miroir au dessus des lavabos. C’est l’image d’une fille de seize ans avec de longs cheveux bruns et des yeux bleus peints en noir, fine et moulée dans une robe courte qui laisse apparaître ses longues jambes fuselées, c’est une louve, confiante et sûre d’elle. Ce que le reflet ne montre pas en revanche, ce sont les chaînes. Les dizaines de chaînes qui l’attachent et lui meurtrissent la chair, l’empêchant de bouger comme elle le voudrait, l’empêchant de parler comme elle le voudrait. Si ce miroir reflétait la vérité, mon visage, que tout le monde complimentait sans cesse, ne serait pas si beau, il serait terne, gris, fatigué et mort, parce qu’au fond de moi, c’est ce que j’étais. Morte. Avant même d’avoir commencé à vivre. Enchaînée à une vie dont je ne voulais pas, bridée par des règles que je ne comprenais pas. Si ce miroir reflétait la réalité, les chaînes descendraient jusque dans le salon pour venir se lover dans la main d’Irina Jablonsky, ma mère, ma marionnettiste, celle qui contrôlait le moindre de mes gestes, la moindre de mes paroles. Une marionnette. C’était ça. Parce que chez les riches, les loups, ils les foutent en cage, ils ne les laissent pas à l’état sauvage, ils ne les laissent pas libres. Je sens les larmes me monter aux yeux et ma gorge me fait mal. Je les entends déjà dire « Pourquoi tu pleures Keera ? Ta vie est merveilleuse » « De quoi tu te plains ? Les gens normaux paieraient pour être à ta place ! » « T’es folle d’être malheureuse. T’as tout pour toi » « J’aimerais tellement être à ta place » « Quelle chance tu as d’être une Bohlinger ». Mes pensées m’arrachent un rire plus proche du gémissement de dégoût que d’un rire normal. Une Bohlinger. Toute ma putain de vie on m’avait répété que j’étais une chanceuse, une gâtée de la vie, simplement parce qu’on m’avait accordé l’autorisation de porter un des noms les plus influents de la ville. Qu’ils le prennent ce nom merdique. Qu’on m’en donne un autre pour que je puisse vivre comme j’en ai envie. Je leur laisse. Je leur laisse la chance d’être moi, d’être seule parce que j’ai pas le temps d’avoir d’amis, parce qu’il faut que je rentre vite après les cours pour les séances photos, les séances d’habillage, parce qu’une Bohlinger, ça traîne pas avec les gens normaux, ça s’intéresse pas à la musique, ça s’intéresse pas à l’amour, au cinéma, aux soirées .. Non. Une Bohlinger ça s’intéresse à l’argent et ça parle business. Ca prend des cours de maintient et des cours d’économie. Ca prévoit toujours un coup d’avance sur les autres. Toutes les paroles, tous les gestes sont contrôlés et étudiés pour charmer, convaincre et écraser l’adversaire. Un Bohlinger ça sourit poliment même si elle a envie de t’arracher les yeux. Ca s’habille pas comme une prostituée de bas étage, oh non, pas de jeans déchirés, pas de Dr Martens, pas de décolleté mais du Chanel, de l’élégance, du raffiné, du chaste. Pas d’espièglerie, pas de fantaisie, pas de sauvagerie. Mais, et par-dessus tout, une Bohlinger, ça ferme sa gueule. Même, et surtout, quand elle a envie d’hurler. J’essuie mes larmes d’un geste rageur et je sors le petit paquet de Met’ que j’avais rangé dans ma poche en prévision de la soirée de ce soir. Mon échappatoire. Mes yeux recroisent rapidement ceux de la fille dans le miroir, et j’aperçois l’ombre sur son visage. Elle a perdu.
La première fois que je l’ai vu, c’était le jour de la visite hebdomadaire chez le psychiatre du pensionnat. Le bloody day. Je détestais ce jour là. Je m’étais levée à reculons et, comme chaque matin depuis que j’étais entrée à Crimson, j’avais soigneusement évité le miroir par peur de tomber sur mon visage émacié et mes cernes d’un demi-kilomètre de long. J’avais enfilé un vieux jogging à peine propre et je m’étais élancée dans le couloir de la mort, celui là même qui menait au bureau de Monsieur Green. Entrée 9 heures, sortie 10 heures. Une putain d’heure à se regarder dans le blanc des yeux sans rien dire. Une heure à supporter ses yeux ridés vissés sur moi. Il me posait des questions, parfois, pour engager la conversation et m’inciter à parler, mais, même si j’avais beaucoup d’admiration pour son entêtement, ses tentatives de faire ami-ami tombaient à plat. A chaque fois. Et, vu l’état de profonde détresse dans lequel les visites silencieuses chez le psy me plongeaient, c’était peut être mieux comme ça. Ce jour là je m’étais laissé glisser contre le mur blanc ‘hôpital’ du couloir, la tête dans les mains, vidée. Trois mois. Ca faisait exactement trois mois que j’étais entrée à Crimson, pensionnat New Yorkais pour jeunes en perdition, à la demande des mes parents après qu’ils aient malencontreusement découverts ma petite addiction – et le garçon tout nu dans mon lit. Jackpot. Ce que les autres voyaient comme une décision empreinte d’amour, moi je voyais une décision stratégique pour éviter de ternir l’image d’une famille au sommet. Ils s’étaient débarrassés de moi. Officiellement, j’avais été admise dans une école réputée et très ‘sélecte’, officieusement, j’étais une pensionnaire d’un centre de désintoxication amélioré. Je ne l’avais pas vu arriver, lui et son balai, et je ne m’étais rendue compte de sa présence que lorsque la tête de son outil de nettoyage avait heurté mon pied. J’avais mollement relevé la tête et j’avais croisé son regard froid, même carrément hostile. Je le dégoûtais. Sérieusement, pourquoi est ce que je repense à ça ? Ma pomme à moitié mangée dans la main et un livre dans l’autre je me suis laissée emporter dans la contemplation de l’homme à tout faire de Crimson, qui, comme je venais de m’en souvenir, ne m’appréciait pas plus que ça. Il était entré dans la cafétéria quand la cloche avait sonné et que tous les pensionnaires avait quitté la salle pour se rendre au premier cours de l’après midi. Moi pas. Aujourd’hui je séchais. Et je me retrouvais donc seule à seule dans le réfectoire avec la personne que j’aimais le moins ici. J’avoue être assez admirative de l’aisance qu’il a à m’ignorer royalement. Il est doué. Non sans lui jeter auparavant un regard mauvais, je me replonge dans ma lecture en chassant les souvenirs de ma tête embrumée jusqu’à ce que je sente une étrange présence, juste là, devant moi. Quand je relève la tête, il se tient debout devant la table à laquelle je suis assise. « Oui ? » J’ai envie de le gifler, là, tout de suite, pour lui faire ravaler son air agacé et son haussement de sourcils suffisant. « J’attends juste que tu bouges tes petites fesses de là pour que je puisse faire mon boulot et rentrer chez moi. Parce que, contrairement à toi, j’ai pas que ça à foutre. » lance t-il en affichant un sourire aussi hypocrite que ceux que je destinais habituellement à mes parents. Je le regarde fixement, croque dans ma pomme, recule la chaise et je croise mes deux pieds sur table. Plusieurs minutes passent pendant lesquelles nous nous regardons avec défiance et puis, à ma surprise, il sourit. Pas ce sourire hypocrite, non, un sourire espiègle et… amusé ? « C’est quoi ton nom ? » « Merde » « Joli. Moi c’est Raven » « Je m’en fou » Il rit. Je le hais. Il tire la chaise en face de la mienne et se laisse tomber, coudes sur la table, penché vers moi. « Dis moi, Merde, ça te dirait de sortir d’ici ? Ce soir. » Je me redresse, intriguée par sa question, en oubliant momentanément d’être désagréable. « Personne ne sort d'ici » Son sourire s’élargit, il est presque carnassier. « Moi je peux ». Ok, je lui vomirais à la figure toutes les insultes que j’avais soigneusement préparé plus tard, là, tout de suite, il était devenu ma porte de sortie. Pour une nuit. « D'accord, emmène moi loin d'ici. » Il se lève et me tend sa main. Et je l’attrape.
« Pars avec moi » Trois mots. Trois pulsations ratées. Il prend mon visage entre ses mains et sa bouche s’écrase contre la mienne. Il enfouit son visage dans mon cou pendant que ses bras m’entourent la taille « S’il te plaît. J’ai besoin de toi ». Faux. C’était moi qui avait besoin de lui. Depuis le début. Et jusqu’à la fin. Le jour où j’avais attrapé sa main, dans la cafétéria, j’avais attrapé la main du salut, mon salut. Ce soir là il m’avait emmené dans un bar minable, bondé, il m’avait présenté à ses potes et on avait passé la nuit à boire des bières. A six heures du matin, il m’avait ramené à ma chambre et ça s’était finit comme ça. J’avais eu ma bouffée d’oxygène. Et comme la vie m’avait apprit à ne pas trop attendre des autres, j’avais pensé que ça se terminerait là. Mais il est revenu frapper à ma porte le lendemain et on est retourné dans ce bar. Deux, trois, quatre, dix fois. Dix nuits. Après plus rien pendant une semaine. Le jour où il est revenu me chercher je l’ai engueulé, je lui ai dit de tout, parce que j’avais passé sept jours au fond de mon lit à ronger mes ongles. Il ne m’a pas emmené au bar ce soir là, il m’a emmené chez lui, on a bu et puis il a sorti sa guitare et il a commencé à jouer. A la première note, j’ai su. J’ai compris que c’était ça qui m’avait manqué toutes ces années. La musique. Je lui ai demandé de m’apprendre et il a accepté. A une condition : que je l’embrasse. J’étais saoule et j’ai dit oui. Chaque leçon avait son prix, et, fatalement, je suis tombée amoureuse. On tombe toujours amoureuse de celui qui est le plus susceptible de nous échapper. Et Raven, c’était une putain d’anguille, le genre qui vous glisse entre les doigts. Mais je l’ai attrapé. Il est à moi. Je suis rentrée chez moi deux ans plus tard, avec Raven pour seul bagage. Je passe sur le scandale que j’ai provoqué en annonçant que je sortais avec l’homme de ménage, également ex-taulard condamné pour trafic de drogue. Ils ont tout fait pour nous séparer, même lorsque j’ai expliqué, argumenté que c’était grâce à lui que j’avais remonté la pente, qu’il m’avait tiré de l’enfer, du noir. Personne n’a écouté. Et Raven, est devenu persona non grata. Heureusement, j’ai été accepté à la Juilliard School et j’ai été obligée de quitter, une fois de plus, ma charmante famille pour rejoindre New York. Après trois ans là bas et ma licence en poche, il est venu taper à ma porte, trempé par la pluie en m’annonçant qu’il était dans la merde et qu’il devait rentrer chez lui, à Siloam Springs. Et nous y voilà. Allongés dans mon lit. Ces trois mots m’envoient au septième ciel et en enfer, en même temps. Je veux le suivre. Je le suivrai au bout du monde, les yeux fermés, s’il me le demandait. C’est l’ange qui m’a sauvé des flammes et m’y poussant. Avec lui j’ai bu, je me suis droguée, j’ai passé des nuits à faire l’amour mais j’ai guéri. J’ai appris la musique, j’en ai fait ma vie. Il m’a sauvé, de toutes les façons possibles. Mais il y a Juilliard au milieu. Je viens à peine d’avoir mon premier diplôme et j’aimerais continuer. Vraiment. Il rejette sa tête en arrière et me caresse doucement la joue, les yeux brillants. C’est la première fois que je le vois si vulnérable, il me supplie littéralement sans avoir besoin de parler. Ma tête et mon cœur entrent en conflit, le rationnel et l’irrationnel se battent. Mon cœur l’emporte. « D’accord » Il m’embrasse, avec toute la force de son soulagement.
Oublie moi. Assise dans le fauteuil, mes yeux fixent le morceau de papier froissé dans ma main. J’ai trouvé le mot en me réveillant ce matin, quand j’ai constaté que la place à côté de moi était vide, excepté ça. Je suis restée au moins quinze minutes assise dans le lit sans comprendre, et puis j’ai senti la peur. La vraie peur. J’ai ouvert les armoires. Vides. Je suis descendue en courant dans le salon. Vide aussi. Je suis sortie sur le perron. Plus de voiture. Il était parti. J’ai eu beau retourner le mot dans mes mains à la recherche d’une explication, rien, nada. Il avait disparut aussi soudainement qu’il était entré dans ma vie. J’ai pleuré. Pendant des heures. J’ai essayé de comprendre. Raven et moi, ça avait toujours été compliqué. Nous n’étions pas du même monde, il ne comprenait pas le mien et je ne comprenais pas toujours le sien, on s’engueulait souvent, on se battait, on s’insultait, on se haïssait, mais on s’aimait. Malgré tout. Enfin, du moins, c’est ce que je croyais. Mon monde s’écroulait et moi j’étais spectatrice. J’avais tout abandonné pour lui, ma famille, mes études, mon avenir, tout, pour le suivre au fin fond des Etats Unis, sans demander d’explications, parce que justement, je lui faisais confiance. Et il m’avait trahie. Il s’était enfuit. Parti.
Dernière édition par Keera S. Bohlinger le Lun 30 Mar - 1:00, édité 1 fois |
| | | admin ◇ gasoline› pseudo, prénom : ayshi. (lydia) › âge : dix-neuf ans et toutes ses dents. › emploi : stagiaire en journalisme et voleuse. › côté coeur : célibâtarde depuis son départ. › petites lettres envoyées : 1526
| Sujet: Re: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) Sam 28 Mar - 13:56 | |
| magda, elle est si belle bienvenue ici la toute belle, et il nous faudra un lien, obligééééé |
| | | admin ◇ corbeau blanc› pseudo, prénom : arsonphobia › âge : vingt deux ans. › emploi : nageuse professionnelle, elle est aussi mannequin pour une petite boutique locale et elle cherche à monter un groupe de musique. › côté coeur : en couple avec baptist. › petites lettres envoyées : 1075
| Sujet: Re: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) Sam 28 Mar - 14:04 | |
| J'adoooooore ton avatar. Bienvenue ici belle demoiselle ! N'hésite pas si tu as la moindre question. |
| | | | Sujet: Re: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) Sam 28 Mar - 14:11 | |
| MAUVE: Je suis amoureuse de ton prénom Merci ma poule, et je suis d'accord avec toi pour le lien MARLEN: Je ne connaissais pas le tien mais elle est jolie comme tout Merci beaucoup pour l'accueil |
| | | modo ◇ seksy comme tout› pseudo, prénom : Pow › âge : 28 › emploi : en reconversion › côté coeur : personne d'autre que lui-même › petites lettres envoyées : 895
| Sujet: Re: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) Sam 28 Mar - 14:13 | |
| BIENVENUUUUUE BELLA Trop mignonne Magda, ton avatar est juste wahouuuu Bon courage pour le reste de la fiche miss ! |
| | | | Sujet: Re: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) Sam 28 Mar - 14:32 | |
| Le tien aussi Merci beaucoup ! |
| | | admin ◇ gasoline› pseudo, prénom : ayshi. (lydia) › âge : dix-neuf ans et toutes ses dents. › emploi : stagiaire en journalisme et voleuse. › côté coeur : célibâtarde depuis son départ. › petites lettres envoyées : 1526
| Sujet: Re: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) Sam 28 Mar - 14:38 | |
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| | | › âge : vingt trois ans. › emploi : serveur en parallèle de ses études. › côté coeur : y'a écrit masha au marqueur rouge. › petites lettres envoyées : 152
| Sujet: Re: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) Sam 28 Mar - 18:34 | |
| han, magda est sublime . puis, le titre bienvenue ici & bon courage pour la suite de ta fiche ! d'ailleurs j'aime beaucoup ce que t'as déjà écrit, sa relation avec raven itout itout . |
| | | | Sujet: Re: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) Dim 29 Mar - 16:37 | |
| Bienvenue mademoiselle! Bonne chance pour ta fiche (a) Je connais pas ton avatar mais c'est vrai qu'elle est super jolie. |
| | | | Sujet: Re: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) Dim 29 Mar - 17:48 | |
| Bienvenuuuuuuuuue Fight pour la fin de ta fichette |
| | | | Sujet: Re: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) Dim 29 Mar - 21:52 | |
| Baptist je ne connais pas ton avatar mais il est Merci beaucoup Kristjan charlie Merci beaucoup Kaitlyn MERCIII |
| | | | Sujet: Re: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) Lun 30 Mar - 10:39 | |
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| | | admin ◇ corbeau blanc› pseudo, prénom : arsonphobia › âge : vingt deux ans. › emploi : nageuse professionnelle, elle est aussi mannequin pour une petite boutique locale et elle cherche à monter un groupe de musique. › côté coeur : en couple avec baptist. › petites lettres envoyées : 1075
| Sujet: Re: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) Lun 30 Mar - 12:32 | |
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sing hallelujah ! t'es enfin validééééé
Bravo mon bichon, t'as passé l'épreuve de la présentation haut la main ! Boum. Je suis juste raide dingue de ton style d'écriture, ça m'emporte loin dans l'histoire de ta petite demoiselle. J'adore son histoire et j'espère qu'on reverra Raven sous peu... ! Bienvenue chez toi ma jolie & bonne intégration sur CC. Tu peux dès à présent vérifier que ton petit nom apparaît bien dans le bottin ! Si tu travailles, c'est bieeen, viens donc nous le dire dans le registre des métiers. Il est important d'avoir un carton de luxe où s'abriter, pour ceci tu peux aller faire une demande de logement et pour fêter ta petite crémaillère, inviter tous tes potes à foutre le bordel ! Pour ceci, il faut te créer des liens parce que ouais, si t'as pas d'amis, bah, c'est pas le top ! Tu peux aussi t'en créer, c'est une option, pour ça, les scénarios c'est pratique ! Sinon, tu peux voter pour le forum et nous le signaler pour être récompensé ! Enfin, après tout ceci tu peux commencer ton aventure, n'hésite pas à passer par le flood ou la chatbox histoire de raconter ta vie, on adore ça ! Il existe aussi un habitant qui s'amuse à nous torturer, alors viens lire notre Gossip. Tu es un perdu avec tout ça ? le parrainage alors fonce, c'est fait pour toi ! Tu peux aussi t'éclater avec les jeux ça ne fait pas de mal. Bon courage pour la suite, on t'aime fort petit bichon !
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| | | | Sujet: Re: Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) | |
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| | | | Don't trust the bitch in the appartment 23 (Keera) | |
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