Le plus grand miracle de l'amour est de rendre l'impossible possible ( Inaya )

Le plus grand miracle de l'amour est de rendre l'impossible possible

En amour il n'est rien d'impossible, sois patient,

parfois indifférent, et l'impossible devient possible.

Mathias & Inaya

La rentrée commence dans une semaine et demi maintenant et j'ai hâte de retrouver ma classe. Je vais au super-marché pour faire quelques courses et je m'arrêtes à la boulangerie pour aller chercher quelques pâtisseries pour mon fils et pour moi. La boutique d'à côté est une boutique de lingerie et mon regard se pose sur une jeune femme sortant de l'une des cabine pour se regarder dans le miroir à l'extérieur et je reste quelque secondes bloqué sur sa silhouette. Je la reconnait immédiatement, je sais qu'il s'agit d'Inaya avant même de ne voir sa tête et je détourne le regard, espérant qu'elle ne m'ait pas vu, je passe ma commande et attends qu'on me serve en me mordant l'intérieur de la joue. J'avoue avoir profiter quelques secondes de la vue qui s'offrait à moi, mais en repensant à mon meilleur ami, je me suis rappeler qu'il s'agit de sa fille, qu'elle est plus jeune que mon propre fils et que c'est mal, très mal de fantasmer sur elle. Mais en même temps, la nuit du nouvel an me reviens en tête et j'entends encore ses gémissements au doux son de mon prénom. J'ai chaud, très chaud même, je retire ma veste et la pose sur mon bras avant de prendre le petit sachet de douceurs que me tends la vendeuse, je paie et la remercie avant de commencer à m'éloigner, je jette un dernier regard vers la boutique en même temps...

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**Inaya Tawuul** **› petites lettres envoyées :** 34

Pas de rentrée pour moi, j'avais démarré mon boulot fin juin, hôtesse d'accueil dans un charmant hôtel et je ne verrai un soupçon de vacances seulement en mars prochain. Nous étions cependant mardi, jour de congé et je comptais bien en profiter. J'avais passé l'été en uniforme la plupart du temps alors, dès que j'avais un moment je faisais du shopping. Ce jour là il me manquait une robe et de la nouvelle lingerie.

Je sortis de la cabine pour mieux me regarder dans le miroir, en string et soutien gorge, non je ne suis absolument pas pudique. Une fois fait je me retournai pour demander l'avis d'une vendeuse que je connaissais bien et remarqua un homme regardant en ma direction. Je le reconnus aussitôt puisqu'il s'agissait du meilleur ami de mon père et du père de mon meilleur ami d'ailleurs.

La relation que j'avais avec lui n'avait rien de classique. Je ressentais des frissons dès que je le voyais et la dernière chose en date, non pas la dernière mais la plus « importante » fus au réveillon où allongée dans mon lit, me masturbant, je l'avais vu m'observer et j'en avais profité pour dire son nom dans de beaux gémissements.

Enfin bref, je me rhabillai en vitesse et paya mes articles. Je sortais ensuite dans l'allée du centre commercial deux minutes plus tard. Je regardai autour de moi et finit par le trouver une patisserie à la main. Je me dépêchai de le rattraper, portant une mini jupe en jean et un dos nu noir. J'aimais plaire ce n'était pas nouveau et si j'avais pu me pointer nue devant lui je l'aurais fait.

« On se rince l'oeil devant les midinettes mr Ford ? »

J'avais bien vu son regard et ce n'était pas la première fois. Je savais que lui aussi avait envie de la même chose mais la situation était plus que compliquée.

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Mathias & Inaya

La voir ainsi, presque nue, à se dandiner devant ce miroir, j'en banderais presque. Je me mords la lèvre inférieur et je détourne le regard, tentant, tant bien que mal, d'échapper aux pensées que je peux avoir envers la jeune femme. Mais rien n'y fait, je revois son corps, nue, allongée sur son lit, en train de gémir mon prénom, ses doigts glissant à l'intérieur d'elle pour lui donner un certain plaisir. Je frissonne à ce souvenir qui s'impose dans ma mémoire et je sursaute en entendant une voix, et pas n'importe quelle voix, me parler et me demander si je me rinçais bien l'oeil. Je la regarde en haussant un sourcil, feintant un air choqué par sa question. " Bonjour Inaya. De quoi parles-tu au juste ? " Je trouve étrange qu'elle m'appelle Mr Ford, étant la fille de mon meilleur ami, je la connait depuis toujours, elle fait un peu partie de la famille et l'entendre prononcer ces quelques mots me déclenchent de nouveaux frissons, je dois bien l'avouer. Elle est simplement magnifique dans sa petite jupe, et d'ailleurs des regards de jeunes hommes se posent sur elle et ça me fais voir rouge. J'aimerais leur mettre mon poing dans la gueule pour leur dire d'éviter de mater cette magnifique jeune femme comme un steack bon sang !

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" Bonjour Inaya. De quoi parles-tu au juste ? " Il faisait l'innocent et cela ne m'étonnait pas mais je ne pu m'empêcher de sourire.

« Je sais reconnaître quand on me mate, et tu n'étais vraiment pas discret... »

Pourquoi me faisait-il autant d'effet, je n'en avais aucune idée mais quand je remarquai la manière dont il dévisageait les mecs passant et me regardant je souris de plus belle. Cette tension entre nous existait depuis un moment et je savais qu'il en était conscient, ça se sentait.

« En revanche, si tu veux voir la tenue, portée par mes soins, de plus près il n'y a aucun souci… Il faudra juste un endroit plus discret. »

Je n'étais pas réputée pour ma diplomatie, j'étais directe et cela durait depuis bien trop longtemps déjà. Si j'avais pu, honnêtement je lui aurais sauté dessus plus d'une fois. Il avait quelque chose, quelque chose qui me faisait m'accrocher depuis un bon moment déjà. Je n'étais pas une fille facile, je ne couchais pas avec n'importe qui et pourtant faire l'amour au meilleur ami de mon père, et père de mon meilleur ami ne me posait pas de souci majeur...

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Mathias & Inaya

Pourquoi me fait-elle autant d'effet ? Pourquoi ais-je briser mon mariage alors que jamais je ne pourrais avoir cette magnifique jeune femme qu'elle est en train de devenir ? Je l'ignore et cela me tue jour et nuit de penser que j'ai briser mon mariage de plus de vingt ans pour rien, pour quelque chose qui n'arrivera jamais. Elle me dis que je n'étais pas discret en train de la mater et je hausse les épaules. " C'était une coïncidence, je n'avais pas vu que c'était toi au début. " Elle continue en me précisant que si je le désire, elle est d'accord de me le montrer mais dans un endroit plus tranquille, seuls, nous deux. Je lève les yeux au ciel, feinte de ne pas être intéressé. " J'ignore ce qui te prends depuis quelques temps, mais il va sérieusement falloir que tu te calmes Inaya. " Oui il faut qu'elle se calme ou je risque de faire quelque chose que je regretterais par la suite. Je ne peux pas faire ça, non seulement elle est beaucoup trop jeune, mais en plus de ça, elle est la fille de mon meilleur ami, je ne peux pas faire ça. Et puis, elle est aussi la meilleure amie de mon fils, je ne sais pas ce que je peux faire.

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" C'était une coïncidence, je n'avais pas vu que c'était toi au début. " J'avais donc raison et il avait l'air un peu gêné. Je fus ensuite beaucoup plus directe trop certainement. A vrai dire je ne réfléchissais pas à ce moment là aux conséquences que cela pouvait avoir. Il me troublait bien trop, depuis bien longtemps. Je ne pouvais pas expliquer ce qu'il se passait ce n'était pas juste sexuel mais qu'était-ce? Je n'en savais rien et n'avais, pour le moment, pas envie d'y réfléchir. " J'ignore ce qui te prends depuis quelques temps, mais il va sérieusement falloir que tu te calmes Inaya." Allez savoir pourquoi mais sa façon de parler me donnais encore plus envie de lui et de continuer.

"Sinon quoi?"

dis-je en m'avançant un peu plus vers lui.

"Ce qui me prend c'est que j'ai envie de toi et je sais que toi aussi, ton regard ne trompe pas et, je ne sais même pas pourquoi je te le dis car tu le savais déjà, comme le soir du nouvel an... T'as aussi aimé ça non?"

On n'en avait bien sûr jamais parlé tous les deux de cet incident ce soir là je n'allais tout de même pas lui dire que j'avais fait exprès de dire son nom en le voyant mais lui dire que je l'avais vu me regarder, oui.

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Elle s'avance doucement vers moi et je baisse le regard vers la petite brune en me mordant la lèvre. " Arrête Inaya. " Je ne sais pas pourquoi mais je n'arrive pas à me reculer pour autant. Je reste là, figé, avec la fille de mon meilleur ami à quelques centimètres de moi, alors que je rêve de la plaquée contre un mur et de la prendre. Elle savait que je la regardait et je reste quelques secondes sans voix. J'ai chaud d'un seul coup, il fait chaud ici non ? Je me racle la gorge et sans reculer je lui réponds. " Je vois pas de quoi tu parles. J'étais complètement soul ce soir là, j'ai été me coucher avant la fin de la soirée. " Oui bon, je me suis relevé après, mais je pensais pas qu'elle avait pût me voir. Là je me sens mal, je me dis qu'elle va me prendre pour un pervers, mais non, elle me dis en gros que ça lui à plût et une fois de plus je reste comme un con. Je sais pas quoi dire face à cette révélation. Okay elle à autant envie de moi que moi d'elle, mais ça ne change rien. Non ça ne change pas le fait qu'elle soit la petite fille de mon meilleur ami, qu'elle soit plus jeune que mon propre fils. Je peux pas faire ça, et pourtant chaque parcelle de son corps m'appelle, me donne envie.

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"Je vois pas de quoi tu parles. J'étais complètement soul ce soir là, j'ai été me coucher avant la fin de la soirée." Je ne pu m'empêcher de sourire. Il ne bougeait pas, sachant pertinemment ce que je voulais et, en plus de ça il faisait l'autruche plutôt que de me dire qu'en effet il m'avait vu mais avait été plutôt choqué et n'avait pas su comment se comporter, ou une autre connerie dans le genre.

"Pourquoi tu ne recules pas, pourquoi tu ne pars pas si tu veux que j'arrête?"

J'avais des frissons dans des endroits que personne ne pouvait voir. L'envie était bien trop soutenue pour que j'arrête maintenant. Je ne pensais en fait, à rien d'autre. Il avait l'âge de mon père et alors? Ces choses là ne se contrôlaient pas malheureusement.

"Je sais qu'il ne faut pas mais c'est plus fort que moi, personne ne m'a jamais fait cet effet... Et, personne n'est au courant, personne ne le sera..."

Je m'approchai encore un peu plus, frôlant sa main de la mienne, ressentant à nouveau un frisson. La tentation était bien trop grande et indescriptible. J'étais sincère, je n'avais jamais ressenti ça. Je me sentais si différente et totalement incontrôlable en sa présence. J'étais une fille déterminée et impulsive mais, j'avais, normalement mes limites.

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Mathias & Inaya

Pourquoi je recule pas ? Surement parce que j'ai envie de te prendre devant tout le monde et que je m'en fou si on es en public ? Bon je vais pas lui dire ça, je veux pas la conforter dans son délire d'attirance pour le meilleur ami de son père. Le seul problème étant que moi aussi je suis attiré par elle. Je soupire doucement. " Je sais parfaitement que tu vas encore insister, même si je me dérobe. " Je lève les yeux au ciel avant de baisser le regard sur sa main qui frôle la mienne. Merde, j'ai une sensation étrange en sentant sa peau contre la mienne, ce n'est qu'un simple contact, à peine même, elle ne fait que frôler ma main. Elle m'avoue que personne n'a jamais eut cet effet sur elle, que jamais elle n'a ressentie ça pour quelqu'un ce qui fait battre mon coeur. Mais bon sang faut que j'arrête ce petit jeux ! Mais j'y arrive pas, j'ai qu'une envie là, me laisser aller et l'embrasser. Non, je peux pas. Je dois pas. Je finis par reculer en hochant la tête. " Non. Inaya tu es jeune, tu rencontrera quelqu'un d'autre. Nous deux, c'est pas possible. " Pour plein de raisons bien sûr, l'âge n'en est qu'un parmi tant d'autres. Je soupire et passe ma main sur mon visage.

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" Non. Inaya tu es jeune, tu rencontrera quelqu'un d'autre. Nous deux, c'est pas possible. " Je le regardai suite à cette phrase, il avait reculé mais je me sentais toujours aussi... bizarre et incontrôlable. Pour la première fois je baissai légèrement la tête, il ne fallait pas que je me mette à réfléchir. Pas possible c'était le moins que l'on puisse dire.

"Ok, je te laisse alors si c'est ce que tu veux..."

fis-je en relevant la tête. Je pris une inspiration et regardai autour de nous, trop de monde pour qu'on remarque quoi que ce soit, et, pour le moment, pas de tête connue. J'avançai d'un pas et m'approchai de son visage pour lui faire la bise. Au moment où ma joue frôla la sienne je ne pus m'empêcher de reculer mon visage et le regarder dans les yeux.

"Et puis merde!"

Je vins finalement déposer un baiser, furtif sur ses lèvres. J'en rêvais depuis si longtemps. Je me reculai ensuite.

"Excuse moi!"

fis-je avant de tourner les talons. Le baiser fut bref mais je me sentais d'autant plus troublée, ayant envie de recommencer, d'être dans ses bras et de bien plus encore. Je me remémorai sa phrase: tu es jeune, tu rencontreras quelqu'un d'autre et je me rendis alors compte qu'il ne s'agissait pas seulement d'une attirance physique, l'homme entier me plaisait.

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Mathias & Inaya

Elle vient déposer un baiser sur ma joue et je me mords la lèvre en la regardant se reculer. Elle me dis que si c'est ce que je veux, elle va me laisser, mais ce que je veux, c'est te plaquer contre un mur là, et t'embrasser jusqu'à n'en plus pouvoir ! En parlant de baiser, après avoir reculer je l'entends jurer avant de m'embrasser, ce n'est qu'un simple baiser, juste l'espace de quelques secondes, mais ça à suffit à déclencher des frissons dans tout mon corps. Mon dieu dans quoi je m'embarque ! Merde, merde, merde ! Je la regarde quand elle recule et elle s'excuse. Elle tourne les talons, elle veut partir, loin de moi ou de ce qu'il c'est passer ? Je l'ignore, et comme sur pilote automatique, j'attrape son poignet et la fait se tourner vers moi, je tire un peu trop brusquement sur son bras et elle s'écrase contre mon torse. Je la lâche et baisse les yeux vers elle. Je sais pas ce que je suis en train de faire, je sais même pas pourquoi je l'ai empêcher de partir. Pourquoi je suis encore là ? J'en sais rien. J'ai envie de l'embrasser, je veux vraiment m'attaquer à ses lèvres là tout de suite, mais je sais que je ne peux pas, on es dans un centre commercial ! N'importe qui pourrait nous voir ici ! Pourtant j'en crève d'envie !

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Lorsque je me retournai pour partir après l'avoir furtivement embrasse j'étais totalement troublée. Mon coeur battait plus vite et je n'eus le temps de rien que Mathias me tira par le poignet et me dit faire volte face. Je me retrouvai en quelques secondes contre son torse, ma main s'étant pose sur celui ci. Je relevai les yeux vers lui alors qu'il me regardait également. Oui nous étions dans un centre commercial beaucoup devaient nous regarder heureusement que ni Sam ni papa n'étaient dans le coin. Je me redressa légèrement pour être plus en équilibre mais restait tout de même collée à lui. Mon coeur battait bien trop vite pour que cela ne soit juste sexuel. J'étais dans ma bulle j'étais bien.

Embrasse moi....

lui fis je en espérant qu'une fois de plus il ne se défile pas.

On peur aussi trouver un endroit plus discret.... il n'y a personne chez moi. ..

En effet puisque je vivais seule. Je n'avais pas envie de faire un scandal qu'on nous regarde de travers ni que qui que ce soit nous recon naisse mais j'avais surtout pas envie de le quitter.

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