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| Oh ma douce souffrance, pourquoi s'acharner ? Tu r'commences ... + AMBRE | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Oh ma douce souffrance, pourquoi s'acharner ? Tu r'commences ... + AMBRE Dim 4 Jan - 13:12 | |
| Ambre Tiana Baker J'irais chercher ton coeur, si tu l'emporte ailleurs
Ici on m'appelle Ambre Baker ou plus communément Titi (par mon père). Je suis née un certain 15 février, si vous savez compter j'ai donc 21 ans dans cette magnifique ville qu'est Washington. Pour payer mon carton de luxe, je suis journaliste. Dans la vie c'est un peu la misère et je ne partage pas ma vie avec quelqu'un. On dit souvent de moi que je suis douce, romantique, attachante & ferme, autoritaire, jalouse, c'est pour ça qu'on me trouve chez les Blizzard. Franchement, je trouve que je ressemble pas mal à Emilia Clarke et d'ailleurs ses photos/gifs viennent de tumblr + bazzart + we heart it. |
⊱ Elle a chien Δ C'est un bouledogue anglais Δ Il a quelques mois Δ Et il s'appelle Dumbo Δ Elle a perdu sa mère à 17 ans Δ Elle est amoureuse de Cael Δ Elle déteste les brocolis Δ Allergique aux acariens Δ Attends le prince charmant Δ N'ose pas dire ce qu'elle pense Δ Sauf si on la cherche Δ Déteste avoir l'air méchante ou autoritaire Δ Donne toujours de l'argent aux clochards Δ Adore les enfants Δ Elle regarde toujours les Disney Δ Son préféré étant les 101 Dalmatiens Δ À peur du noir Δ Est complètement brisée Δ Elle enceinte de l'homme qu'elle aime de deux mois Δ crédits bavboule |
let's talk about you ?
Ton pseudo/prénom : Gwen, la superbe Âge : 17 ans, je crois Pays/région : Toulouse FUCK IT OFF Ton avis sur notre beau CC ? : C'est trop moche, je lui vomis dessus. Souhaites tu être parrainé(e) ? : Nan, j'suis trop famous pour ça. Ton dernier mot Jean-Pierre ? : Je vous dtéeste tous, bande de crevettes. - Code:
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EMILIA CLARKE[color=#db0b32]♦[/color] ambre t. baker
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| | | | Sujet: Re: Oh ma douce souffrance, pourquoi s'acharner ? Tu r'commences ... + AMBRE Dim 4 Jan - 13:12 | |
| Il me fait tourner dans le vide J'entends des voix qui me hurlent d ele fuir, mais moi, bêtement je reste là à attendre un signe de sa part.
« Layson ? Layson, je suis enceinte ! » Cette petite voix tremblante d’émotions, c’est celle de ma mère. Elle saute au cou de l’homme qu’elle aime follement depuis maintenant quatre ans. Mon père n’a que dix-sept ans. Il s’est amouraché de sa prof de Français, de dix ans plus vieille. Ils sont là, dans les couloirs du lycée, s’enlaçant amoureusement, cachés des élèves et des professeurs. Il n’y a qu’eux, il n’y a qu’eux, et moi, qui pousse dans le ventre de ma mère. Les parents de mon père n’ont pas vraiment acceptés leur belle-fille, et je les comprends un peu. Une prof dévergondée, trop franche, trop drôle, trop « trop », ça ne plaît pas. Ça ne plaît forcément au Baker, toujours tirés à quatre épingles, toujours coincés, toujours sérieux, toujours hypocrites. Pourtant, par amour de mon père, ma mère a enduré toutes ces railleries, ces repas de familles ennuyeux, dans lesquels elle regardait les oiseaux par la fenêtre, ces nuits cauchemardesques loin de son aimé, vraiment. Elle a tout enduré.
Et je suis arrivée, discrète, timide, peu bavarde … maman me racontait souvent comment mon père, paniqué du haut de ses dix-huit piges, changeait mes couches, ou paniquait quand je pleurais. Et papa me racontait souvent comment maman entrait dans une bulle de sérénité quand elle me tenait dans ses bras. Deux secondes, elle arrêtait d’être si bruyante, si juvénile, si puérile, pour s’adonner au calme, à la maternité. Je grandissais vite. Trop vite au goût de mon père, qui m’a toujours protégé comme un loup affamé. Pas assez vite, aux yeux de ma mère qui rêvait de m’emmener en voyage en Pologne, ou dans sa France natale. Ma mère …
« Ambre, réveilles-toi. » Mon père me secoue. Flippé, comme toujours. Je repousse la main sur mon épaule, enfouie ma tête sous les couvertures. « Mmmh, p’pa, on est samedi, laisse-moi … » Il insiste. Sa voix tremble. « Ambre, je t’en pries ! T … ta mère est à l’hôpital … » Les mots cognent mon crâne et je me redresse comme une fusée. J’ai dix-sept ans. « Quoi ? » Les yeux tristes de mon père me dévisagent. Comme s’il voyait un fantôme. Comme si … « Elle a fait une tentative de suicide. »
« Tu es sûre que tu veux partir ? Tu peux rester encore un peu, tu … tu as à peine 19 ans ! » je souris tendrement. Je claque un baiser sur la joue de mon père. Je sais que je suis jeune. Qu’il aimerait tant garder sa petite princesse à ses côtés. Mais Washington m’étouffe. Washington me compresse. Washington pue. Ça pue la ville, ça pue les égouts. Ça pue le monde qui se presse, la vie qui s’écoule. Ça me fait peur, ça me déprime. Alors cap pour Siloam Springs. Cap pour cette ville qui m’appelle … Cap pour …
Détruite. Il m’a complètement détruite. Pourquoi ? Pourquoi est-ce que je suis tombée amoureuse si vite, si facilement de ce salaud ?! Mon maquillage coule sur mes joues, j’ai cessé d’essuyer les larmes qui perlent. J’ai envie de vomir. Envie de hurler. Envie de le rattraper. Chaque cellule de mon corps l’appelle, comme un SOS. Je regarde une photo. C’est nous deux, à une fête foraine. Le sourire jusqu’aux oreilles, des étoiles dans les yeux. J’avale ma salive difficilement. « Enfoiré. » Cael Jasper est un enfoiré. Il s’amuse, il se plaît de me voir ainsi ballotée. Moi qui étais étouffée à Washington, ici, c’est l’oppression ! Je lui en veux tellement. Je lui en veux d’avoir été si … si … faux.
Pourtant je ne peux rien dire. Je ne peux rien faire … et quand il est revenu, j’ai juste craqué. Encore et encore. C’est comme une spirale sans fin. Il me fait tourner dans le vide …
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