Le même club encore et toujours. La même lumière tamisé encore et toujours. Et le même type de fille encore et toujours. C'était à se demander pourquoi je revenais presque tout les Samedi pour me saouler la gueule ici. Je regardais dans mon verre remplit de Red bull vodka hésitant entre rester et partir. Je n'étais pas venu tout seul, j'étais venu avec un ami mais je l'avais perdu depuis bien trente minutes : il avait été emporté par une jolie blonde dans les toilettes. Allez savoir ce qu'ils y faisaient ! (Je n'avais pas vraiment envie de le savoir en fait!). Ce n'était pas que ça ne m'amusait plus de sortir mais disons qu'il y avait des soirs comme aujourd'hui ou je me sentais mieux sous ma couette chez moi devant la télévision. C'était mon pote qui m'avait traîné dehors un peu de force. J'avais pas pue dire non parce qu'il avait accepté de sortir un jour ou il n'avait pas voulu lui : bref je lui devait une sortie quoi.
Et me voilà seul face à mon verre de Vodka-Redbull , me demandant à quoi rimait tout ça. Il commençait à faire une chaleur intense dans la boite alors j'ouvris ma chemise en jean laissant entrevoir en dessous mon débardeur blanc. J'avais mis un jean bleu foncé presque noir et des basket rouge et noir. Bref, rien d'incroyable mais je savais qu'il suffisait d'un rien pour que j'ai l'air bien habillé. Il ne fallait pas se mentir j'étais plutôt mignon et je savais que soixante-dix pour cent des filles présente dans cette boite aurait succombé à mon charme après que je leur ai fait ma légendaire technique de drague. Prétentieux moi ? Oui ma mère me le disait souvent ! Elle disait aussi que j'étais beau : ma mère était très contradictoire.
Une fois mon verre terminé j'attendis quelques minutes et me décida en suite à sortir fumer en face de l'établissement. J'avais toujours un joint de rouler sur moi : au moins ça me détendrait. Une fois un pied dehors je baissa la tête pour prendre le joint qui se trouvait dans la poche de mon jean et lorsque je relevai la tête quelque chose de rouge feu, rouge flamboyant , attirait mon œil vers ma gauche. Alors je tourna ma tête et posa mon regard sur elle. Elle. Une jeune femme à la chevelure rouge et à la peau caramel : on ne pouvait pas passer à côté sans la remarquer c'était sur. Elle avait une clope à la bouche et la fumer qu'elle recrachait par le nez vous donnait envie de respirer le même air qu'elle. Elle avait une certaine assurance mêlé à un charme désinvolte qui l'a rendait incroyablement sexy. Exactement le genre de fille que j'aimais. Alors je n'hésita pas une seconde : oui parce que Kenny Menford n'hésite jamais ! Et je me dirigeais vers elle d'un pas sur. « Bonsoir … Tu aurais du feu s'il te plaît ? » ; approche typique, j'avais du feu sur moi bien sur. Je tentais de ne pas la dévisager mais c'était dur : elle avait un visage doux mais une expression dure. J’essayais de déchiffrer ses traits malgré moi.  

Sa robe blanche moulait a la perfection ses formes de femme. Ses formes qui entre nous étaient parfaites, il n'y avait rien à changé. Et le faite que cette robe soit blanche faisait un contraste étonnant avec sa peau caramel et ses cheveux rouge feu. Je ne pus m'empêcher de regarder dans son décolleté lorsqu'elle en sortit avec ses doigt tout fins un briquet, juste comme ça sans rien dire. Je souris et saisit l'objet qu'elle me tendait tentant difficilement de me souvenir ce que je devais en faire. J'allumais ma cigarette ce qui me laissa le temps de penser à ce que je voulais lui dire. J'inspirai une bouffer de mon joint et souffla la fumer sur le côté pour ne pas que celle-ci aille en direction du visage de la belle métisse. Je restai en face d'elle sans rien dire plus d'une minute avant de la regarder dans les yeux et de lui sourire.
On me l'avais déjà dis : il y avait quelque chose dans sourire d'inexplicable : une sorte de malice un peu effrayante et un charme attirant comme un aimant. C'était peut-être les deux face extrêmement opposé de ma personnalité qui s'exprimait lorsque je souriais. Je n'étais pas non plus bipolaire : mais disons que j'avais des moment ou j'étais plutôt bad-Kendrick que Kenny.
Comme elle était appuyé sur un mur je me décida enfin à m'approcher d'elle, poser une main prêt de son visage pour m'appuyer aussi sur le mur et être au plus proche d'elle. « Tu as quel âge ma belle ? » . C'était vrais que j'étais à une distance assez envahissante pour elle : je cherchais à l'intimidé même si je savais qu'avec une fille comme elle c'était plus dur que ça. Je voulais en faite surtout lui montrer que son arrogance ne me faisait pas peur et que je comptais bien avoir au moins son numéro ce soir. « Tu es plutôt jolie dans ta robe, tu veux bien me montrer comme tu danses dans un vêtement aussi sexy ? ». Ok, j'étais plutôt cash la mais que voulez vous : plus j'avais de l'alcool dans le sang moins j'avais de tacts ! Tout ce que j'avais en tête c'était ses jolies courbes découverte et s'agitent sous les draps de mon lit. Ce n'était décidément pas Kenny ce soir mais Bad-Kendrick .

Elle était clairement méfiante . Vu ce qu'elle venait de me répondre c'était flagrant ! Mais je n'allais pas abandonné aussi facilement. En faite rare étaient les fois ou j'abandonnais. J'aimais obtenir ce que je voulais et me battre pour ça. Même si la ce n'était qu'un numéro, pour moi il n'y avait pas de petites batailles que de grandes victoires ! Je ne compris pas tout de suite quand suite à ma proposition elle s'en alla pour rentrer à l'intérieur du club. Cela me laissa entre temps le plaisir de regarder son incroyable chute de rein. Cette fille au lit devait plus que valoir le coup ! Je me repris et la suivit à l'intérieur. Parmi la foule très dense je la perdit un instant avant de bien vite la retrouver : ce n'était pas difficile il suffisait de regarder vers la ou tout les regards des hommes étaient fixé. Elle bougeait sensuellement au rythme de la musique et je me mordis la lèvre inférieur. Son déhanché était presque hypnotique, avec ça elle pouvait détourner un prêtre du droit chemin je vous jure. Tout était si attractif chez elle et je vous avoue que pour la première fois j'avais un doute. Je doutais de moi même et de la manière dont je devais l'approcher et lui parler. Mais ne vous inquiétez pas je me reprendrais bien vite ! Je me dirigeais vers elle lentement avant qu'un autre le fasse et me plaça derrière elle suivant ses mouvements une main sur sa hanche. J'eu l'occasion de frôler sa peau une ou deux fois : elle était incroyablement douce. Comme celle d'un bébé, mais croyez moi elle n'avait rien d'un bébé.
Vu comme elle dansait je pensais que je ne la laissait pas indifférente : ça c'était quasi sur. Aucune fille ne me résistaient de toute manière alors … Je glissais ma main de sa taille à sa fesse droite et la lui pinça doucement en me mordant la lèvre inférieur. Sa chaire était bien ferme comme j'aimais. « On va chez toi ou chez moi » ; dis-je avec assurance. Peut-être un peu trop d'assurance. Merde alors cette fille me déstabilisait, elle avait un pouvoir sur moi : c'était son corps sûrement ou bien son regard je ne savais pas trop. Ca ne me ressemblais pas du tout de réfléchir à ma manière d'approche : plus on réfléchit moins ça risque de marcher. Pourtant je ne laissais rien paraître, je ne laissais jamais rien paraître : j'avais ce dons de pouvoir camouflé mes intentions et mes émotions, je l'avais toujours eu.

Sa peau douce comme de la soie. Enfin il ne fallait pas parler trop vite. Lorsque ma main ferme et pleine d'assurance glissa de son dos à ses fesses je vis son visage et surtout son regard se transformer. Je ne pensais pas qu'elle allait réagir comme ça : aucune filles avant n'avait réagit de cette manière ! Elles se laissaient en générale faire avec plaisir. Mais cette fille n'était pas comme les autres, non cette fille avec quelque chose de plus ! Non seulement elle avait fait son regard le plus sombre mais en plus elle m'avait donné une gifle, une des gifles les plus violentes qu'on ne m’aie jamais donné dans ma vie. Et j'en avais reçu des gifles moi qui avais été élevé entouré de femmes j'en avait vu des vertes et des pas mûres : mais celle la je ne l'avait pas vu venir.
Elle s 'était en suite éloigné de moi pour aller au bar et je l'avais regardé partir. Quelques filles se moquait de moi : je leurs laissait un regard noir. Elle était partit dragué le barman : je crois que ma fierté venait de prendre un sacré coup la ! Je me mis un moment en retrait : mais je n'étais pas du genre à rester sur un échec ! Mais comment revenir à la charge après ce qu'il venait de se passer ? Je refusais qu'elle me tienne tête comme ça devant tout le monde et qu'elle ne cède pas à mon charme : oui c'était complètement prétentieux et borné de ma part mais j'étais comme ça je n'y pouvais rien.
Et la ce fut comme si le seigneur lui même voulait me donner un coup de pouce : un gros lourdaud de première classe semblait être très insistant avec la jeune demoiselle. Je pus entendre de loin un : « Allez ma belle juste une danse » ; de la part de ce mec approchant dangereusement la cinquantaine et qui avait l'air d'avoir trop bu. Toujours remplis d'assurance je m'approchais de la scène. « Elle n'est pas intéressé ! Elle est avec moi. » ; dis-je à l'homme d'un ton ferme. Il me regarda un moment l'air un peu abrutit (sûrement à cause de l'alcool qu'il avait dans le sang), s'excusa avant de s'en aller. « Alors. Je suis ton super-héro maintenant tu ne peux plus me détester. » ; dis-je un grand sourire aux lèvres. « Et ne me dis pas que tu aurais pue te défendre seule. Je sais que tu avais besoin de moi, ton regard m'appelais au secours. » ; je souriais plus que jamais. On disait parfois que j'étais agaçant tellement j'étais sur de moi : je crois que je dégageais en ce moment même tellement d'assurance que ça ne m'aurais pas étonné qu'elle me donne une autre gifle.

Moi je n'avais pas de charisme ? C'était sûrement sa fierté qui lui empêchait de le voir mon charisme parce qu'après tout mes sucés avec la gente féminine je penses que pas mal de mes conquêtes ne seraient pas tout à fait d'accord avec elle. Je levais un sourire soudainement légèrement agacé par cet air légèrement supérieure qu'elle prenait. Enfin bon, elle m'avait tout de même remercié et j’estimais que c'était déjà pas mal. Elle était la en face de moi et j'avais presque réussit à rattraper le coup et je cherchais (encore) mes mots : décidément c'était une stratégie qu'il fallait mettre en place pour cette fille. Je la regardais passer une main dans ses cheveux : comme un geste aussi banale pouvait être aussi sensuel ?
Je m'apprêtais à ouvrir ma bouche par parler lorsqu'elle s'avança comme pour s'en aller. Je refermai la bouche instinctivement. Puis elle s'arrêta prêt de mon oreille et souffla quelque mots qui me firent sourire. J'étais conforté dans mon ego. Je me disais bien qu'il était impossible qu'elle ne cède pas à mes avances. Je sortis de mes pensés parce qu'elle était déjà à la porte de sortit et je la suivit. Ma voiture était garé en face je la déverrouillais sortant mes clef de ma poche. Ce n'était clairement pas une bagnole de luxe mais elle tenait la route. Je regardais la jeune femme un sourire aux lèvres et lui ouvrit la porte du côté passager. « Vas y je t'en pris. » , j'allai en suite m'installer du côté conducteur et démarra le moteur. « Je peux savoir ton prénom princesse ? ». Il était vrais que je n'avais même pas demander son prénom, c'était sûrement parce que ce n'était pas le plus important à mes yeux au premières abords. Si je voulais connaître le prénom de mes conquêtes c'était parce que je voulais qu'elle connaisse le mien. Pour qu'elle puisse le crier quand je les faisaient monter au septième ciel mais aussi pour que je sois marqué dans leur mémoire non pas comme un inconnu, un coup d'un soir de plus mais comme Kendrick, le seul l'unique. Prétentieux vous me direz et je serais tout à fait d’accord avec vous. Je la regardais du coin de l’œil en attendant sa réponse et d'un autre côté mon esprit était impatient d'arriver à la maison pour pouvoir goutté la peau caramel de cette si belle femme.