Sujet: noàm&teodora ≈ le sang appelle le sang. Mer 28 Jan - 16:52
Teodora && Noàm
Si tu ne peux pas voler, alors cours. Si tu ne peux pas courir, alors marche. Si tu ne peux pas marcher, alors rampe, mais quoi que tu fasses, tu dois continuer à avancer.
la nuit est sombre, glaciale. les étoiles se dessinent légèrement dans le ciel. j'aime la nuit. j'aime cet environnement, j'aime quand ça donne des frisons dans la colonne vertébrale. j'ai toujours plus aimé la nuit que le jour. j'adore la nuit même. la nuit est tout possible. la nuit, on peut se transformer en bête cruel sans avoir peur qu'on nous trouve. c'est plus facile de se cacher dans la nuit noire. les bras croisés sur ma poitrine, je regarde le corps de l'homme sans vie. je suis fière du travail. pendant de longues minutes, j'ai lacéré son corps avant de lui trancher la gorge d'un coup sec et précis. son sang dégoulinait. il avait beau se tenir, ça passait entre ses doigts. aucune peur dans mon regard, un sourire s'était même dessiné sur mon visage. la joie de savoir que cette personne a eu cette peur de mourir dans ses yeux. qu'elle me regardait en espérant que je lui sauve les fesses. pourquoi je le sauverais alors qu'il m'a trahit. il a joué avec moi en pensant que je ne verrais pas qu'il m'arnaquerait de cette manière. je sais ce que vaut ma marchandise. je sais le bénéfice que ça rapporte. ce n'est pas une petite crevure qui va croire qu'il peut prendre mon argent. je me retrouve ainsi avec le corps de cet homme dans cette rue. un corps beaucoup trop important pour que je puisse le porter ou le déplacer. il faut que je l'enterre quelque part. je sais parfaitement où je vais le faire mais pour l'instant, il faut que je déplace ce corps vers le bout de la ruelle. l'une des personnes que j'embauche pour me servir de conducteur, me regarde avec son regard de chien battu. qu'est-ce qu'il peut être conducteur mais mauvais pour s'occuper d'un cadavre. je décroise les bras et j'ai envie de le frapper dans l'épaule pour le faire réfléchir. il pourrait au moins avoir la présence d'esprit de se rappeler qu'on n'a pas de voiture et qu'on ne pourra faire disparaitre le cadavre sans l'emmener au loin. ce n'est pas mon genre d'user de la violence avec les gens que j'embauche. parfois, ça leur ferait pas de mal. cependant, la violence ne résout rien. ça ne va pas rendre une personne plus intelligente, une personne plus courageuse ou plus d'initiative. je range mes mains dans mes poches et m'approche de lui d'une démarche nonchalante. « on fait quoi ? » non de dieu, il ose poser la question. il ose de demander ce qu'il doit faire. ce n'est pas la première fois que je tue un homme. d'habitude, j'ai d'autres hommes avec moi. celui-là, il était plus souvent avec mon père et n'avait pas à voir des cadavres dans une marre de sang. c'est peut-être la première fois qu'il en voit un au vue de son ton blafard. je m'attends même à le voir dégobiller dans un coin. j'ai fait la même chose pour la première fois. je ne l'ai pas fait devant mon père ou devant quelqu'un. mais quand je me suis retrouvé toute seule, j'ai tout évacuée. j'ai tout fait sortir. il le fallait. il fallait que ça sorte parce que il ne faut jamais rien garder. c'est mauvais. chaque fois que je ressens ce besoin, je laisse sortir. cependant, j'ai la conscience de le faire quand je suis seule. au moins, on me croit forte. on pense que je suis fébrile jamais. que je suis capable de tuer un homme sans trembler, sans sentiment. et oui, ce n'est pas aussi facile qu'on peut le penser. à la mort de mon père, ça était difficile de garder la tête droite. mon père a toujours été tout ce que j'avais de plus cher au monde. mon héros, mon modèle. ma mère était très présente mais ce n'était pas pareil. je n'étais pas pareille avec elle. pourtant quand il s'agissait de relations sexuelles ou de trucs de filles, c'est vers elle que j'allais. mon père n'aurait pas accepté de m'entendre parler de mes fréquentations avec les hommes, de maquillage ou d'autres choses. on avait ce lien. j'aimais l'écouter me parler des contrats qu'il a eu. déjà petite, je buvais ces paroles comme s'il était un dieu. « va chercher la voiture. dépose au bout de la ruelle avec les clés sur le contact et rentre. » j'hausse un peu le ton afin de lui faire comprendre qu'il n'a pas à rester planter comme un idiot. je ne vais l'aider à cacher ce corps ou à la bouger. il lui suffirait de poser les mains sur le corps froid pour tourner de l'œil. je regarde partir. il se retourne. je lui fais de gros yeux. il se met à marcher plus vite puis je le vois courir. je suis la grand patron désormais, les gens n'agissent plus de la même manière. avant je n'étais que la fille de Teodor Macek donc il n'était pas pareil. il me voyait comme la petite princesse gâtée qui a tout ce qu'elle veut. les seuls que j'ai gardé, sont ceux en qui j'ai parfaitement confiance. certains étaient avec mon père parce qu'il avait peur de lui et qu'il n'aurait rien fait. mais comme il n'est plus là, je pense qu'il serait capable de me poignarder dans le dos pour me voler mon empire. je sais que ma tête est mise à prix. je sais que l'un d'eux peut en être le responsable. je ne sais pas vraiment qui veut me voir morte et me piquer mon argent et mon business. je sais juste que c'est le cas. j'ai mis deux personnes sur le coup. deux personnes qui essayent d'en savoir plus en faisant courir leurs oreilles un peu partout. ils me rapportent tout. je me cale contre le mur en pliant une de mes jambes. j'attrape mon portable dans la poche de mon jeans. je cherche le numéro de Noàm et je lui envoie un message. "Besoin de toi. c'est urgent.", je joins en pièce jointe mes coordonnées gps. Noàm est celui en qui j'ai parfaitement confiance. il a toujours été là. il a toujours sû ce que je faisais. et en même temps, il a du sang de mafia qui coule dans ses veines. il fait partit de notre monde. ce monde très restreint où il est difficile de survivre et de se faire une place. quand j'ai quittée New-York, je ne l'ai pas avertit. je suis partie comme une voleuse. je ne savais pas ce que je voulais, j'avais besoin de faire le point sur le fait que j'étais désormais la dernière des Macek et que j'allais reprendre les rênes de l'entreprise familiale. un besoin d'espace. je n'ai pas été très fière de moi quand je l'ai vu débarquer à Silmoa Springs. je me demande toujours comment il a fait pour me retrouver. je n'ai pas pris la ville la plus facile. je me suis perdue au fin fond de l'Arkansas. s'il a réussit à me trouver, je sais que d'autres y arriveront aussi. Noàm est désormais mon bras droit. quand je pense que son père était le bras droit de mon père. le schéma se répète. mon père ne faisait que l'éloge de lui. on a besoin d'avoir une totale confiance en son bras droit. il est toujours là. il est là pour vous aider, pour vous soutenir. quand une situation est difficile et que j'ai besoin d'un regard extérieur, je me tourne vers lui. je n'ai pas parlé du fait que j'allais récupérer mon argent, que j'allais en finir avec un homme. j'aime être seul quand je le fais. et surtout je l'ai fais sur un coup de tête. c'était impulsif et soudain. je croisais son chemin et je l'ai coincé dans cette ruelle. je remets mon téléphone et j'attends patiemment. je ne devrais pas attendre plus de une demi-heure avant qu'il arrive. quelques minutes, plus tard, j'attends des pas dans la ruelle. je me plaque totalement contre le mur me fondant dans le noir. si ce n'est pas lui, au moins la personne ne me verra pas. j'attends qu'elle avance. grâce à un lampadaire, je vois son visage. c'est bien Noàm. je ne me montre pas tout de suite. il regarde le cadavre et me cherche. je me glisse dans son dos et pointe mes doigts dans sa nuque. « heureusement que je ne cherche pas à te tuer. tu serais tomber comme une mouche. » je laisse tomber ma main et je marche pour retrouver face à lui. je vais avoir le droit à tout un tas de questions, ça me m'étonnerait même pas.
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Sujet: Re: noàm&teodora ≈ le sang appelle le sang. Sam 31 Jan - 19:03
Le sang appelle le sang
ft. Théodora & Noàm
lorsque mon téléphone sonne, peu importe ce que je suis en train de faire, je dois répondre. ou du moins, je dois vérifier qui est à l'origine de mon appel surtout dans les heures tardives. lorsque mon téléphone sonne, je dois souvent me rendre immédiatement à un endroit précis la plus part du temps. j'ai choisi de faire parti d'un milieu dangereux, pour ma part surtout excitant, alors je dois bien prendre ma responsabilité des choses. lorsqu'il y en a un qui tombe, tout le monde tombe, c'est souvent ainsi. on ne peut faire confiance à personne. rendu à l'intérieur des barreaux, nos meilleurs amis devienne rapidement nos pires ennemies. il devait être dans les environs de minuit lorsque mon cellulaire sonna cette fois-ci. à cet instant précis, j'étais chez moi, mais je n'étais certainement pas seul. j'osais espéré qu'il n'y avait rien d'urgent. je n'avais pas envie de partir, je n'en avais pas encore fini avec elle. j'attrapa mon cellulaire. téo fut le nom qui apparaisa, ça n'annonçait rien de bon. Besoin de toi. c'est urgent. elle pourra pas avertir lorsqu'elle a quelque chose en tête ? non, c'est trop pour elle qui veut toujours tout faire tout seul et qui n'en ai pas capable. depuis qu'elle s'est fait enlever, je déteste qu'elle parte toute seule sur une affaire. j'ai toujours cette petite peur en moi que le scénario se répète encore une fois. peut-être que la prochaine fois, je ne l'a retrouverais pas assez rapidement. il y a beaucoup de personne qui souhaite sa mort et j'ai parfois l'impression qu'elle ne le réalise pas. en moins de deux, je repoussa, à contre coeur, cette charmante petite blonde histoire de retrouver la trace de mes vêtements. et oui, j'allais partir sans terminer le travail. les coordonnés GPS que téo m'avait envoyer était quand même loin de l'endroit où je me trouvais, alors valait mieux ne pas trop tarder. j'attrapa lors mes clés de voiture et partie de la maison avec une petite crise de (stacy?) enfin, la petite blonde dont je ne porta pas vraiment attention plus qu'il ne le fallait. à mon retour, elle ne sera plus là de toute façon et probablement que nos chemins ne se recroiseront jamais. je gara ma voiture à quelques rues de l'endroit où se trouvait téo. je ne savais pas vraiment ce qui m'attendais là-bas, alors je préférais tout de même garder ma voiture loin de tout ça. après environ quelques minutes de marche, j'entra dans une petit ruelle qui avait l'air au premier regard complètement vide, mais j'avais repéré l'espèce de chauffeur que téo avait engager. elle ne devait forcément pas être très loin. j’aperçois assez rapidement un corps qui baignait dans son propre sang. et bien téo s'était bien amuser avec lui avant de l'achever. soudainement, je sens des doigts se poser contre ma nuque ainsi qu'une voix s'élever. « heureusement que je ne cherche pas à te tuer. tu serais tomber comme une mouche. » un mince sourire se décide sur mes lèvres, alors que téodora prend finalement place devant moi. « ne me sous-estime pas » bon bien sûr, elle aurait très bien pu me tuer sur le champs si elle l'aurait voulu. je n'avais même pas remarquer sa présence. disons simplement que je ne me met pas vraiment sur mes gardes lorsqu'elle me donne un endroit où la rejoindre... peut-être le devrais-je. « je vois que tu as encore engager quelqu'un qui ne veut pas se salir les mains » si elle m'avait envoyer un message, c'était forcément pour cacher le corps et faut croire que l'homme qui l'accompagnait déjà ne pouvait pas le faire. son petit teint blême confirmait le tout. « tu aurais pu m'avertir avant, je serais venu te donner un coup de main » c'était forcément mon petit côté protecteur qui prenait la place en ce moment, mais que voulez-vous ! j'étais incapable de m'en empêcher.
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Sujet: Re: noàm&teodora ≈ le sang appelle le sang. Dim 1 Fév - 16:00
Teodora && Noàm
Si tu ne peux pas voler, alors cours. Si tu ne peux pas courir, alors marche. Si tu ne peux pas marcher, alors rampe, mais quoi que tu fasses, tu dois continuer à avancer.
il y a une personne que je peux appeler à n'importe quelle heure. une personne qui n'essayera pas de comprendre et qui viendra. ce n'est pas vraiment urgent. c'est juste que je ne veux pas laisser trop de traces dans cette ruelle. ce n'est pas le moment de laisser des indices à la police de la ville et la mettre sur ma piste. je suis déjà assez bien recherché à New-York et dans notre état alors autant retardé l'échange, ici en Arkansas. il faut au moins que je profite du faite que je suis venue me perdre dans cet endroit paumé loin de ce que peut être New-York. c''est l'un des avantages qu'il peut y avoir. la police ne va jamais s'imaginer que la fille de Teodor Macek est pu aller dans une ville comme Silmoa Spring. je ne suis pas patiente et j'ai l'impression que Noàm met des heures à venir. c'est long. je m'ennuie affreusement. heureusement il débarque. je lui fais ma petite surprise. ça le fait sourire. en même temps, j'avais fait ça pour détendre l'atmosphère. ne jamais être trop sérieux quand on travaille dans le trafique d'armes. il faut savoir s'amuser un peu. et puis, je n'ai que vingt cinq ans. j'ai le droit d'être encore un peu enfantine surtout quand c'est lui qui est en face. il me connait depuis tellement longtemps, qu'il doit être le seul à me connaitre vraiment. « ne me sous-estime pas. » c'était plus un jeu qu'autre chose de mettre mes doigts derrière sa nuque. aucune chance pour que je tue Noàm, j'ai trop besoin de lui pour mettre un terme à sa vie. en plus de ça, il est celui en qui j'ai le plus confiance. donc le tuer, serait tuer tout le monde. il me m'avait pas vu ça voulait dire. en même temps, j'avais fait en sorte de bien me cacher. idiot de ma part puisque je lui avais envoyé les coordonnées de ma présence. il n'a pas à se faire du soucis. je ne vais pas lui donner un endroit pour le liquider. si je dois le faire, je ferais en sorte qu'il le comprenne et il sera pourquoi. je n'ai aucune raison de le faire et j'espère que ça durera longtemps. « je vois que tu as encore engager quelqu'un qui ne veut pas se salir les mains. » ne sachant pas comment ça aller se finir, je n'ai pas pris la peine de venir avec d'autres hommes. le seul que j'avais sur la main était mon chauffeur. un chauffeur qui était un chauffeur. peut-être que je devrais faire en sorte de le rendre plus dur. de l'endurcir pour les moments comme ceux-là. les imprévus qui arrivent plus souvent qu'on ne le pense. j'ai un sale caractère et je sais que je suis capable de me débrouiller toute seule. je ne devrais pas trop dire ça devant Noàm. il sait pour le kidnapping et la torture. il m'a récupérer dans un sale état, il m'a vu au plus bas, il m'a sauvé. il sait que j'aurais pas pû m'en sortir vivante, s'il ne m'avait pas retrouvé, s'il ne m'avait pas sauvé. j'ai beau être forte parfois je suis comme tout le monde. je ne suis pas surhumaine. je ne suis pas plus forte. j'ai autant de sang que les autres. mon corps a autant besoin de repos. je supporte la douleur mais il y a un moment où je ne peux plus. un jour de plus et j'aurais lâché prise. j'aurais laissé mon corps partir ne trouvant plus le courage de lutter. le chauffeur m'aurait bien aidé mais au vue de son teint, j'ai préféré lui donner une autre tâche. « c'est juste un chauffeur. il m'a déposé. je n'ai pas voulu qu'il m'aide. » j'ai des hommes qui m'aide à faire le sale travail. parfois, je n'ai même pas besoin de le faire. il me suffit de leur donner des ordres et le lendemain matin, je suis sûre de recevoir un appel pour me dire que tout a été fait comme je le voulais. j'arrive pas à déléguer surtout quand il s'agit de liquider quelqu'un. c'est tellement glorifiant, c'est tellement excitant que je ne vois pas pourquoi je ne le ferais pas. avec tout ce que j'ai vécu, je devrais plus faire attention. je devrais éviter de me lancer comme ça. ma tête est mise à prix. je suis à la tête d'un empire désormais. les gens vont encore plus s'en prendre à moi. « tu aurais pû m'avertir avant; je serais venu te donner un coup de main. » j'ai peut-être fait de lui mon bras droit mais ce n'est pas pour autant qu'il doit me protéger comme une enfant. je ne veux pas d'un garde du corps ou d'un bouclier. j'aime trop ma liberté pour qu'on me couvre. déjà que mon père avait tendance à mettre quelqu'un pour jeter un oeil sur moi. je m'en rendais compte à chaque fois, et à chaque fois, je faisais en sorte de le perdre. je ne voulais pas qu'il sache ce que je faisais toutes les heures. il y avait des choses qu'un père n'a besoin de savoir sur sa vie. un peu de vie privé. c'était mon père, je le comprenais qu'il puisse agir de la sorte. pas Noàm. la dernière fois, c'était un hasard. je ne vais pas me faire kidnapper tous les jours. je ne fais pas me faire torturer à chaque fois. je suis bien plus sur mes gardes. je fais bien plus attention. « j'avais besoin d'être seule. j'aime bien faire certaines choses seule. tu me connais, j'aime en faire qu'à ma tête. mais maintenant, je me retrouve avec son cadavre sur le dos. j'arrive pas à le bouger. » si j'étais arrivé avec toute mon équipe, il aurait eu trop peur. il fallait que j'arrive à voir son mensonge. il fallait que je décelé le mensonge. il faisait du bénéfice dans mon dos et en mettait dans sa poche en croyant que ça passerait comme une lettre à la poche. j'ai remarqué le truc la dernière fois. je lui ai donné une autre chance et il m'a fait le même coup. là, c'est juste une question de force. pouvoir le déplacer sur la bâche et le tirer jusqu'au coffre de la voiture. c'est tout. j'en demande pas plus. « je t'ai dérangé, c'est ça ? tu étais avec une de ses minettes qui tombent à tes pieds quand tu les regarde. tu devrais placé la barre un peu plus haut. un peu de défi, ça fait pas de mal. » le connaissant assez, je sais de quoi je parle. combien de fois, j'ai débarqué chez lui à New-York me retrouvant nez à nez avec une demoiselle à moitié nue. je sais qu'il n'a pas besoin d'en faire trop pour les faire craquer, son petit regard et elles finissent dans son lit. il m'est arrivé de prendre dans la facilité. pourtant, je préfère le défi. je préfère faire céder l'homme qui ne me regardera pas, celui qui sera marié. j'aime les défis. de toute façon, j'aime les défis dans tous les domaines. j'aime me surpasser et voir de quoi je suis capable. je m'avance vers le cadavre et donne un coup de pieds dedans. comment on peut être aussi gras et aussi mal habillé. heureusement qu'il n'avait pas eu besoin de courir, il n'aurait fait que quelques pas avant de ne plus pouvoir respirer. quand on travaille dans l'illégalité, il faut savoir être toujours en forme. il faut être prêt à n'importe quelle situation.
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Sujet: Re: noàm&teodora ≈ le sang appelle le sang. Mar 3 Fév - 18:23
Le sang appelle le sang
ft. Théodora & Noàm
« c'est juste un chauffeur. il m'a déposé. je n'ai pas voulu qu'il m'aide. » téo était plutôt dure à suivre. enfin, c'est plutôt qu'elle ne réfléchissait pas avant d'agir. un vilain défaut qu'on avait tous dans ce domaine. « j'avais besoin d'être seule. j'aime bien faire certaines choses seule. tu me connais, j'aime en faire qu'à ma tête. mais maintenant, je me retrouve avec son cadavre sur le dos. j'arrive pas à le bouger. » et voilà ce que je disais ! elle s'amenait ici avec quelqu'un qui ne devait que la conduire, mais elle avait besoin de quelqu'un pour traîner le cadavre jusqu'au coffre de la voiture, et ce n'est sûrement pas ce pauvre type qui l'aurait aider. encore une fois, je vole à son secours (ouais, j'aime bien me donner autant d'importance). à voir la corpulence de cet homme, je peut pas croire qu'elle n'a pas pensée qu'elle aurait besoin de quelqu'un pour l'aider. et puis, téodora n'y était pas vraiment été à la légère. le corps était pas mal amocher. valait mieux pour elle qu'il ne reste trop longtemps dans cette ruelle. si quelqu'un le trouvait ici, on pourrait rapidement remontrer vers elle, ou du moins, on pourrait savoir qu'elle se trouve a siloam. ce corps était complètement signé téodora macek. « tu vas finir par te faire prendre si tu n'es pas plus prudente ! la prochaine fois tu m'appel avant » ce n'était certainement pas une recommandation que je lui faisais. ça sonnait plutôt comme un ordre et à vrai dire ça en était un. elle peut bien faire ce qu'elle veut toute seule, mais je veux être au courant. je veux pouvoir surveiller le tout de loin au cas où il se passerait quelque chose. les choses ne se passent pas toujours comme on le voudraient et si quelque chose tourne mal, je peux sauver son joli petit cul avant même qu'elle soit blesser. téo ne se fera pas enlever une deuxième fois. c'était une promesse que je m'étais fait, mais avec elle et ses coups de tête, c'est une promesse qui est très dure à tenir. « je t'ai dérangé, c'est ça ? tu étais avec une de ses minettes qui tombent à tes pieds quand tu les regarde. tu devrais placé la barre un peu plus haut. un peu de défi, ça fait pas de mal. » ah ! elle me connaissait trop bien ! comme si j'avais vraiment pu être seul en ce vendredi soir ? certainement pas ! et je dois dire qu'elle a aussi raison. je choisi la plus part du temps des cibles faciles. je ne suis pas vraiment très patient. j'aime avoir ce que je veux. je n'aime pas devoir courir après. ce n'est pas vraiment mon genre de courir après une personne pendant des semaines jusqu'à ce qu'elle me cède. si après deux sortie, je n'ai pas encore coucher avec elle, je passe à la prochaine. elle a besoin d'être sacrément sexy si je dois m'attarder plus que ça sur elle. « comme toi peut-être ? » je ne sais pas vraiment pourquoi je lui avait balancer ça. probablement une petite pensée intérieur que j'ai pensée tout haut. téo, elle doit être un sacré coup au lit, et ce serait mentir si je dirais que je n'ai pas envie d'y goûter. encore plus depuis que je l'ai presque perdu, mais ça, c'est tout un dilème. le sexe change souvent les choses entre deux personnes. notre amitié m'est très précieuse, mais j'ai beaucoup de difficulté à me l'enlever de la tête. c'est un gros problème. enfin, histoire de changer de sujet, je finis par attraper les pieds de l'homme au sol histoire de l'amener jusqu'à la voiture. et bien ! un peu de gym ne lui aurait pas fait de tord à lui. je fis également signe au chauffeur d'ouvrir la coffre de la voiture. probablement la seule chose qu'il peut bien faire. en quelques minutes, je balança le corps de l'homme dans la voiture, puis referma le coffre.
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Sujet: Re: noàm&teodora ≈ le sang appelle le sang. Sam 7 Fév - 17:33
Teodora && Noàm
Si tu ne peux pas voler, alors cours. Si tu ne peux pas courir, alors marche. Si tu ne peux pas marcher, alors rampe, mais quoi que tu fasses, tu dois continuer à avancer.
je ne suis pas dur à suivre, j'ai juste ma façon de faire les choses. j'ai pas pensé mon temps à réfléchir. c'est une perte de temps surtout quand les choses peuvent changer d'un seul coup. prendre plus de temps et on peut louper son coup. c'est de cette manière que je pense. je fais les choses puis je fais en sorte de nettoyer les traces et d'arranger les choses. ce n'est pas grave si c'est le bordel. bon là, ça va. désormais, Noàm est là. je n'ai pas de soucis à me faire. il me suffit de l'appeler ou un message, et il rapplique si rapidement. seulement, un jour, il ne sera peut-être pas là quand j'aurais besoin de lui. il sera occuper à autre chose. et je devrais m'occuper du problème tout de seule. j'aurais dû me débrouiller toute seule pour me débarrasser de ce cadavre. il aurait fallut que je le découpe surement en morceaux pour les éparpiller un peu partout. pas du tout beau et ce n'est pas ce que j'aime, découper des cadavres mais si Noàm n'aurait pas été là, ça aurait été la seule solution. les grands moyens. quand j'y pense, il va falloir que je fasse quelque chose en plus à ce cadavre. il ressemble trop à ma manière de faire. je ne peux pas qu'on sache que c'est moi. je ne veux pas qu'on me retrouve si vite. « tu vas finir par te faire prendre si tu n'es pas plus prudente! la prochaine fois tu m'appelle avant. » il voulait être présente quand je tuais ce mec. je n'ai pas l'habitude de me donner en spectacle. j'aime bien faire les choses en tête à tête. j'aime que la personne ne me voit que mon regard et que je sois la dernière personne qu'elle est vu. je me mets devant le cadavre et le regarde. comment je peux déguiser ce cadavre pour qu'il passe pour un meurtre simple. je croise les bras sous ma poitrine. je sors le couteau que j'ai dans la poche arrière de mon pantalon. je baisse un peu et met quelques coups de couteau par-ci par-là. j'essuie le couteau sur ma cuisse pour le ranger à sa place. voilà c'est mieux. là il ne peut pas que je risque de me faire prendre. le cadavre ne ressemble plus à l'œuvre de Teodora Macek. il ressemble au cadavre, de n'importe quel fou qui aurait décidée de s'en prendre à un parfait inconnu. « je ne crois pas. il en faut plus pour que je me fasse prendre. je suis une grande fille, je n'ai pas besoin d'un garde du corps. » je n'ai pas besoin qu'on me surprotège. ce n'est pas parce que je me suis fais kidnappé une fois. ce n'est pas parce que mon père n'est plus là, que je ne vais pas m'en sortir. je suis une grande fille qui est capable de se débrouiller. je n'ai pas pris Noàm comme bras droit pour qu'il soit un garde du corps. j'ai besoin de lui pour le business. ça fait plus longtemps qu'il est dans les affaires que moi. il vendait déjà des armes alors que moi je commençais juste à devenir ce que je suis. c'est de son expérience, de sa façon de voir les choses que j'ai besoin. je pense qu'il a les capacités pour être un des piliers de l'empire Macek. j'ai déjà cette confiance aveugle en lui. je lui fais confiance les yeux fermés et c'est rare. très peu de personnes ont mon entière confiance. je pense même que les seuls. je doute toujours des autres. en même temps, on m'a toujours appris que la trahison pouvait venir n'importe quand, de n'importe qui. c'est parfaitement vrai que je suis sûre que la personne qui a organisé ma torture doit être quelqu'un que connaissait mon père. si ça se trouve, c'est un de ses alliés qui voulaient le poignarder dans le dos. chose qu'il a peut-être fait en commanditant son meurtre. je n'ai toujours pas trouvé les coupables. j'ai un dossier que je monte tout doucement. un dossier qui me mènera jusqu'au tueur; et ce jour-là, il faut mieux que je le trouve pas parce qu'il va en prendre pour son grade. il m'a enlevé ma famille. il m'a enlevé les personnes que j'aimais plus que tout. parce que oui même dans le milieu de l'illégalité, on tient à des personnes. même si j'ai l'air dure et cruelle, j'ai quand même un minimum de sentiment et de cœur. « comme toi peut être ? » je suis surprise par sa question. je ne pensais pas qu'il pourrait me sortir un truc comme ça. je ne parlais en aucun cas d'une fille comme moi. je ne suis pas la fille qu'il faut essayer de séduire. il faut m'éviter. car je prends puis je jette aussitôt. je suis comme lui mais en femme. quand j'ai pris quelqu'un dans mon lit, il ne revient pas deux fois. donc non, je ne suis pas à la hauteur. je pense qu'il lui fait du plus haut de gamme. le genre de filles ave des jambes de déesses dont tous les hommes salivent et qu'il faut sortir le gros attirail pour qu'elle regarde quelqu'un. c'est ce genre de femmes dont je parle et qu'il faut pour Noàm. j'aurais peut-être pas dû parler de ça maintenant je me sens un peu bête. j'aime pas être sur des chemins si glissants. je reprends mon aplomb pour ne pas lui faire voir que sa question m'a un peu chamboulé. c'est pas des choses dont on doit parlé entre meilleurs amis. j'espère pas qu'il a d'autres choses en tête. c'est très mauvais ça. c'est le genre de trucs qui peut mettre en péril une amitié. je ne veux pas perdre mon amitié avec Noàm, c'est pour ça que je n'ai jamais pensé à lui comme autre chose. j'ai jamais essayé de voir s'il pouvait y avoir autre chose que de l'amitié. « moi je crois pas. je suis encore pire que ce genre de filles. il faut mieux m'éviter. » je le regarde attraper les pieds de l'homme et le tirer dans la ruelle. j'avais essayé de faire la même chose. on peut encore voir la trace de ce que j'ai fais. quelques mètres. j'ai beau faire du sport et avoir plus de forces que la plupart des femmes, seulement il est trop lourd. beaucoup trop lourd. par contre, pour lui, c'est facile comme pas possible. le chauffeur ouvre le coffre au moment où Noàm lui fait un signe. il faut bien qu'il soit doué dans quelque chose. le corps de l'homme est désormais dans le coffre. une bonne chose de faite. je reviens vers l'endroit où je l'ai tué. je cherche du regard. je vois le portefeuille de l'homme, je baisse pour le ramasser. deux-trois babioles qui lui appartient que je fourre dans mes poches. des indices qui pourraient faire qu'on découvre son identité. je ne sais pas comment je vais faire en sorte qu'on ne trouve pas le sang. « il faut essayer de le larguer à quelque part. l'enterrer dans un endroit pour que personne ne le trouve. » dis-je en essayant de trouver un endroit dans cette ville où on pourrait enterrer ce cadavre. je ne la connais pas assez pour me rendre compte d'où personne viendrait mettre son grain de sel. à New-York, il y avait tellement d'endroits que je n'avais pas besoin de réfléchir. des petits coins où j'ai enterré des dizaines de personnes que j'ai tué. « pourquoi tu m'as sortit une telle question ? ça va pas la tête de dire des choses pareilles.»
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Sujet: Re: noàm&teodora ≈ le sang appelle le sang.