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[EXPLICIT] KRISTEO ◮ you're crazy and i'm out of my mind

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MessageSujet: Re: [EXPLICIT] KRISTEO ◮ you're crazy and i'm out of my mind [EXPLICIT] KRISTEO ◮ you're crazy and i'm out of my mind - Page 2 EmptyVen 13 Fév - 23:28

Teodora && Kristjan
you're crazy and i'm out of my mind.

  on peut croire que je suis sûre de moi, que rien ne peut m'atteindre. pourtant quand on me voit cacher les cicatrices de mes cuisses, on peut se rendre compte que je ne suis pas aussi en pierre que tout le monde peut le penser. certaines choses me blessent. certaines choses me préoccupent. et ces cicatrices ont mis un sacré coup à mon égo. c'est surtout dû au faite que je me pensais invincible, que les gens étaient incapables de me faire du mal de n'importe quelle manière. ce n'est pas le cas. l'être humain que je peux être à aussi de la sensibilité. à aussi son taux de fragilité qui reste cacher sous une tonne de bêton qui demande de la persévérance pour percer rien qu'un petit trou montrant une part de la véritable Teodora Macek. cependant, j'arrive à passer au-dessus des cicatrices quand on dévit le chemin et qu'on me fait penser à autre chose. « Cruelle, méchante... t'as aucune idée comme ça m'excite. » cruelle et méchante. ça je n'ai pas besoin de me forcer pour le faire. c'est naturel chez moi. peut-être que je le suis pas avec lui mais avec la plupart des autres, c'est le cas. je n'ai que très peu d'amis ce qui le montre parfaitement. j'ai beaucoup plus d'ennemis. énormément. les gens préfèrent me détester au lieu d'essayer de me comprendre ou de s'attacher à moi. je me fous d'avoir des ennemis, je me fous qu'on m'aime. ça n'a aucune importance pour moi. comme disait maman, il faut mieux faire naître la peur chez quelqu'un que la sympathie. la peur emmène plus de choses. et surtout c'est l'une des caractéristiques essentielles pour devenir une bonne fille de mafieux et plus tard, la main de fer de l'empire Macek. on est tellement proche qu'il suffirait d'un petit mouvement pour que Kris soit de nouveau en moi. il aime m'embrasser. un autre aspect que je ne connaissais pas avant. en prison, il n'y avait pas toute la tendresse, toute la délicatesse. c'était comme l'endroit, c'était brutal. c'était sombre et lugubre. je suis sûre qu'il est aussi méchant et cruel que moi. j'aimerais le voir à l'œuvre. j'aimerais voir ce qu'il donne quand il torture quelqu'un, quand il veut absolument avoir un contrat. je l'ai déjà vu négocier avec mon père. c'est tout. je n'ai jamais vu ce qu'il donnait sur le terrain, de quoi il est capable. « tu devrais éviter de dire ça, je pourrais l'être encore plus et plus souvent. » je fais tomber ma tête sur le côté pour offrir encore plus mon cou à ses baisers. c'est dur de se concentrer sur ce que je suis entrain de faire alors qu'il me touche, alors qui embrasse ma peau. cependant, je n'arrête pas les mouvements en faisant en sorte qu'ils soient plus rapides et plus serrés. il tient le coup. je me demande dans quel état, il peut être. s'il est capable de résister encore ou s'il est au bord du gouffre. il attrape ma main et glisse mon index dans sa bouche. il veut peut-être me faire craquer la première. pour ne pas craquer, je fais en sorte de me concentrer sur ce que je fais sur son membre. quand on pense qu'on en a fini avec le chocolat, en réalité il y a bien pris goût. il met son doigt à l'intérieur pour venir le porter à mes lèvres, je suce en prenant tout mon temps. il met ensuite son doigt à sa bouche. il fait en sorte que je serre plus ses hanches. il est le premier à craquer. un sourire se dessine sur mon visage fière de ne pas avoir craquer la première. avec les autres hommes, je ne craque jamais. c'est eux qui salivent, qui me mangent dans la main pour que je leur offre un moment de plaisir. seulement avec Kris, je suis capable de craquer. je suis capable de ne pas me contrôler. je pousse un long gémissement quand je le sens être en moi. « Teodora... » j'aime quand il prononce mon prénom en entier. j'aime quand il le prononce de cette manière. ma poitrine touche son torse. sa peau chaude contre mes seins me font frissonner de désir. de plaisir. je ne lâche pas son regard. je le regarde en même temps que je pousse des petits gémissements qui partent parfois dans l'aigu. de véritables lapins pourraient penser n'importe qui. pourtant, je ne pense pas une seule seconde qu'on puisse vivre sans sexe. le sexe est un élément essentiel de la vie et encore plus d'une relation. on découvre, on prend des chemins profonds et différents. on ne se contente pas d'une petite part mais de plus. on sent, on découvre, on pense. « on commence plus tôt demain matin, si tu veux.» il fait preuve de malice. il évoque le fait que je disais tout à l'heure en exprimant le fait qu'on devrait commencer le matin pour réussir à battre un record. ce n'est jamais simple de battre un record surtout s'il est aussi important que le notre. je ne suis jamais contre des parties de jambe seulement je pense que si on fait ça tous les jours, autant de fois. on sera dans une sorte de routine. ça finira par lacer, par être trop. je ne sais pas comment marche le fait d'être en couple. quelle sensation ça peut produire de le faire continuellement qu'avec un seul homme. de n'être dévouer qu'à lui. d'être dans une spirale infini. et si je finissais par ne plus aimer. si je finissais par le détester. j'ai une image très négative des histoires d'amour en tête. je n'ai pourtant pas lu beaucoup de livres, pas vu beaucoup de films. la seule histoire d'amour à laquelle j'ai pû assister, c'est celle de mes parents. une belle histoire d'amour. des sentiments, de la fierté, de l'amour. je voyais l'étincelle dans les yeux de ma mère. je voyais mon père débarquer avec des fleurs. j'aurais pû vouloir d'une même histoire d'amour. jamais. je ne voulais pas de ça car je ne pense pas être capable de savoir si je suis avec la personne. si c'est ce qu'il me faut. c'st bien ça le problème. il faut savoir si c'est la bonne personne, si c'est celle qu'il vous faut. et à partir de cet instant, je crois qu'on est capable de se donner entièrement, qu'on est capable de s'ouvrir. « et dire que tu te traitais de vieux. rien que ce tu viens de te dire, prouve bien le contraire. » je continue d'être malicieuse, d'être joueuse. faire l'amour ailleurs que dans un lit peut être éprouvant, peut être difficile. pour ma part, je ne peux pas dire que je suis mal installé sur le plan de travail. ça me convient parfaitement. pourtant je sais que Kris n'a pas la meilleure place. il tiendra le coup pour me montrer son habilité. je le sais. il n'est pas de ceux qui abandonne si facilement. « oh Kristjan.» je gémis en prononçant son prénom en entier. il doit se sentir puissant de réussir à me faire gémir autant. s'il y arrive encore cette fois, ça sera la cinquième fois. cinquième orgasme en une seule journée. il peut être fière de lui. rare sont les hommes qui en ont été capables. beaucoup ont essayé et beaucoup ont eu le droit à des simulations ou à des moitiés de moi. et oui, parfois, j'étais comme une poupée ne ressentant rien mais ayant le bon plaisir de faire semblant que je ressentais quelque chose. je bouge un peu le bassin puis je pose mes deux mains sur son torse le poussant à arrêter ses mouvements en moi. je recule avec douceur détestant faire une telle chose. mais il comprendra certainement que c'est pour son propre bien et que ça lui évitera d'avoir le dos en compote demain matin en se levant. je saute du plan de travail en ne prenant même pas la peine d'emmener avec moi le draps. j'attrape sa main. sans un mot, je marche vers le salon. la première pièce que j'ai découvert chez lui. je me laisse tomber dessus en l'embarquant dans ma course. « tu ne pourras pas dire que je ne prends pas soin de toi.» je l'embrasse avec intensité le collant encore plus près de moi. je fais en sorte qu'on reprenne exactement où on était quelques secondes plus tôt. basculant le bassin, je le fais basculer en moins avec ce sourire si malicieux que je peux avoir.

  



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MessageSujet: Re: [EXPLICIT] KRISTEO ◮ you're crazy and i'm out of my mind [EXPLICIT] KRISTEO ◮ you're crazy and i'm out of my mind - Page 2 EmptySam 14 Fév - 3:16


i'll tell you my sins so you can sharpen your knife
kristjan & teodora.

 



Il y a longtemps que je n’ai pas passé une soirée comme ça. Disons que je ne m’attendais pas du tout à ce scénario lorsqu’elle est arrivée au club cet après-midi, en la trouvant avec les prostituées. Elle avait ce numéro de téléphone, c’était la seule chose qui m’importait. Ce numéro est bien loin dans mon esprit à présent. Je ne saurai jamais à qui il appartenait car le numéro était hors-service. Dire que j’étais pratiquement prêt à la tuer pour ça, et maintenant je lui fais l’amour sur le plan de travail dans ma cuisine. Ça ne fait aucun sens. Comment est-ce que l’on peut détester ainsi quelqu’un pour le désirer autant à l’instant d’après? Avec Teodora il n’y a pas d’explication logique, je le sais car j’ai cessé de chercher il y a longtemps. Quand j’étais en prison et que je la regardais se rhabiller dans le coin de la pièce après lui avoir lancé des remarques désobligeantes. Des remarques que je ne pensais pas vraiment, au fond, mais j’avais besoin de la repousser pour mieux me protéger. C’est cela, je suppose, avoir peur de l’inconnu. Je l’embrasse, encore et encore. Mes lèvres sont brulantes et je réalise pour la première fois ce soir à quel point j’ai soif. Je ne fais rien pour régler cet ennui, pourtant, restant collé à la jeune femme, ondulant du bassin contre elle et savourant chacun de ses gémissements comme une légère victoire. Je n’ai plus peur des conséquences d’une relation avec elle, que ça compromette quoi que ce soit. Son père n’est plus là de toute façon, il ne pourra pas critiquer. Il m’appréciait, mais certainement pas au point de me laisser sa fille chérie. Pourtant, quand je regarde Teo en ce moment, je ne ressens aucunement le besoin de la blesser. Au contraire, j’ai envie de l’embrasser, de la serrer dans mes bras et de la protéger même si elle sait très bien le faire seule. Du moins c’est ce qu’elle dit. Les femmes sont toujours en danger dans ce milieu, d’une façon ou d’une autre. Le nombre de fois est-ce qu’on m’a proposé des filles à peine majeures contre des armes par le passé, je ne peux même pas le calculer. J’ai toujours refusé, j’ai des principes. Surtout lorsque vous savez que ces filles sont là contre leur gré. Je ne sais pas pourquoi ils l’ont mutilée, qu’est-ce qu’ils cherchaient exactement en lui faisant du mal. Ce que je sais, c’est que ça ne se reproduira plus. Pas tant qu’elle sera avec moi. Sa poitrine caresse mon torse et je sens Teo frissonner, ce qui me donne à moi aussi un frisson. Je lui dis que l’on pourrait recommencer demain matin, afin de battre notre record. Je ne pense pas que ce soit faisable. Quand j’y repense je ne sais même pas comment j’ai tenu si longtemps. En fait si, je m’en souviens. Elle me narguait, elle sait tellement si bien me provoquer. Elle me parlait de ses amants, plus jeunes et plus fougueux avec qui elle pouvait baiser des heures sans qu’ils ne s’épuisent. Je ne sais pas si c’est vrai, aujourd’hui, ou si elle me mentait. Je lui criais des insultes, mais je détestais lorsqu’elle me parlait d’autres hommes. J’étais jaloux, je le suis encore. Je tuerai probablement sans hésiter le prochain qui tentera de l’approcher d’un peu trop près. Je souris doucement lorsqu’elle me fait remarquer que ce n’est pas un commentaire de vieux, il est vrai qu’elle n’a pas tort. Je m’énerve pour rien. Je suis probablement plus en forme à trente-cinq ans que la plupart des lavettes de vingt ans de cette ville. « Arrête de me flatter, je vais commencer à croire que tu es gentille. » Je dépose un baiser sur ses lèvres avant de descendre au creux de son cou à nouveau. Mes main coulent sur son dos pour se poser au bas de celui-ci, puis se resserrent sur ses hanches afin de l’attirer contre moi. Mes coups de reins se font plus profonds et je pousse un râle de plaisir alors que je l’entends gémir de plus belle, seulement cette fois-ci elle crie mon nom. Dans sa langue, ça sonne beaucoup mieux qu’en anglais. Tout sonne mieux qu’en anglais, qu’est-ce que je déteste celle langue. Je ne la parlais même pas en arrivant ici. Je cherche ses lèvres, lui murmurant des mots doux en serbe. Je sais qu’elle n’aime pas ça, alors autant bien les dire dans une langue qu’elle ne comprendra pas. Ce sera uniquement pour ma satisfaction. Mes doigts effleurent sa joue tandis que ma main gauche toujours posée sur sa hanche se pose sur le plan de travail pour me donner un certain appui. Soudainement, ses mains se posent sur mon torse, freinant mes ardeurs. Je cesse mes mouvements de bassin et je la regarde d’un air interrogateur alors qu’elle me repousse doucement pour reculer sur le comptoir avant d’en descendre. Je fronce les sourcils, un léger sourire aux lèvres. Je me demande ce qu’elle fabrique, mais le mystère ne dure pas très longtemps. Elle prend ma main et je réalise que c’est la première fois que je n’ai pas à le faire, ou du moins qu’elle le fait dans un moment de tendresse. Je la suis alors qu’elle m’entraîne dans les couloirs, pensant au départ qu’elle m’entraîne dans la douche, mais finalement on se retrouve au salon. Elle m’attire vers le grand canapé foncé où elle était assise tout à l’heure et je n’ai pas le choix de m’asseoir avec elle puisqu’elle m’entraîne dans son élan. « Qu’est-ce que… » Je n’ai pas le temps de terminer ma phrase qu’elle me donne des explications et le léger sourire qui planait sur mes lèvres s’élargit à sa réponse. Prendre soin de moi? Et dire que quelques minutes plus tôt elle m’assurait que je n’étais pas si vieux que ça. Je n’ai pas le temps de répliquer pourtant qu’elle m’embrasse avec une passion que je ne lui connaissais pas. C’est un peu normal, en même temps, puisque je commence à peine à découvrir ce qui se cache en-dessous de sa carapace. Mon torse frôle sa peau nue et je peux sentir sa respiration qui se fait plus courte alors que d’un mouvement de bassin je me retrouve à nouveau en elle. Je pousse un long râle de plaisir, la position est nettement plus confortable que debout dans la cuisine. Les gens auront beau dire ce qu’ils voudront, il y a des millions de façons de rendre le sexe intéressant même si on est allongés. Je plaque un nouveau baiser sur ses lèvres et m’en détache pour me redresser, cessant tout mouvement, et attraper ses cuisses en douceur pour redresser ses jambes. « Fais attention, si tu prends trop soin de moi je pourrais décider de ne plus te laisser partir. » Je reste joueur, on dirait qu’elle se dévoile plus dans ces moments-là. Quand ça devient trop sérieux et romantique, elle se braque et ne veut plus rien entendre. Mes doigts se resserrent doucement autour de ses mollets alors que mes mouvements de bassin recommencent. Je penche la tête vers l’arrière en soupirant. J’ondule en elle lentement, mes mains caressant ses jambes. Je ne pense plus aux marques sur ses cuisses qui la complexent tant, de toute façon c’est comme si elles n’étaient pas là pour moi. Je soupire longuement avant de relâcher ses jambes, me penchant à nouveau sur elle, déposant mes lèvres sur les siennes, mordillant et suçant doucement sa lèvre inférieure. Je me retire doucement, frissonnant au contact frais de l’air contre mon membre. Je dépose mon index sur sa bouche pour qu’elle ne proteste pas, puis descend doucement sur son ventre, passant ma langue sur sa peau. J’ai envie qu’elle crie mon nom encore et encore, qu’elle monte au septième ciel une nouvelle fois ce soir. Je suis beaucoup plus direct que tout à l’heure, je ne m’égare pas trop sur mon chemin. J’arrive au bas de son ventre et dépose des baisers au creux de ses hanches, puis je lui adresse un regard malicieux, me passant la langue sur les lèvres avant de sourire. « Tu ne pensais tout de même pas que je laisserais tomber l’affaire ? » J’embrasse ses cuisses, passant outre chacune de ses blessures. Qu’elles aillent au diable, ses cicatrices. Elles ne me rebutent pas, et je n’ai pas envie que ce soit des barrières qui restent toujours dans notre…couple? Est-ce que je peux seulement me permettre de dire ça? On verra demain matin, ils disent que la nuit porte conseil. Mes lèvres glissent entre ses cuisses et rejoignent son intimité. Mes mains se posent sur ses hanches alors que son corps se crispe au contact de ma langue sur son sexe, et mes doigts caressent doucement sa peau, remontant jusqu’à son ventre plat, le balayant doucement du bout des ongles. Si je restais en elle, j’aurais joui trop rapidement de toute façon. Ce n’est qu’une question de principe, on donne autant que l’on veut recevoir. Mes mains attrapent doucement ses jambes alors que mes caresses sur son intimité se font plus intenses. Ma respiration est sereine, contrairement à la sienne. Je ne me ferai certainement pas prier pour retourner en elle. Je l’entends gémir et se crisper sous mes caresses, attendant patiemment qu’elle n’en puisse plus.
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MessageSujet: Re: [EXPLICIT] KRISTEO ◮ you're crazy and i'm out of my mind [EXPLICIT] KRISTEO ◮ you're crazy and i'm out of my mind - Page 2 EmptyDim 15 Fév - 16:25

Teodora && Kristjan
you're crazy and i'm out of my mind.

  avoir des amants a toujours été un de mes passe-temps préférés. ça montrait à quel point je peux avoir de l'emprise, à quel point je peux être une femme sournoise. je m'exerçais avec eux. je découvrais les parcelles de la conscience, du fonction de l'être humain et surtout des hommes. je prenais du plaisir en même temps mais c'était pour la bonne cause. du moins, c'est ce que je disais toujours. je m'amusais à les faire languir, à en avoir plusieurs à la fois, à leur proposer des trucs invraisemblables. on apprend beaucoup de choses. on surmonte beaucoup de choses. je ne pense pas que ça me transformait en mangeuses d'hommes. au contraire, ça m'apprenait encore plus à me méfier des hommes et de leurs mensonges pour conquérir. l'homme est complexe cependant il reste très manipulable. seulement les hommes sont sournois et peuvent parfois vous avoir même si vous êtes comme moi. pour pouvoir me kidnapper, ils ont fait en sorte de payer quelqu'un pour me séduire. oh non, ils n'ont pas pris le pire. au contraire, il était gentil, doux, calme. il était tout le contraire de Kristjan. et à ce moment-là, j'avais envie de cette douceur. je ne sais pas pourquoi. il voulait du piment. il disait qu'il me ferait crier où il emmenait. un pas dans ce hangar et j'étais ligoter et dans le saut. il m'avait certainement droguée pour que je me souvienne de rien et qu'il puisse m'attacher si facilement. si j'avais été moi-même, il n'aurait pas eu cette chance. quand je lui parlais à la prison des jeunes amants fougueux qui me sautaient pendant des heures, j'en rajoutais un peu. c'est vrai qu'ils en avaient mais pas autant que je le disais. un ou deux avaient réussit à tenir une journée. les autres n'avaient pas assez d'endurance et craquer au bout de la troisième n'arrivant plus à maitriser leur engin. « arrête de me flatter, je vais commencer à croire que tu es gentille. » ce n'est pas un peu de gentillesse qui va faire que je vais devenir la petite fille gentille que je n'ai jamais été. je suis très mauvaise pour être charmante, pour être une parfaite femme. la perfection est loin d'être adéquate. elle est même loin d'être ce qu'il faut dans un monde comme le notre. il faut être un peu taré dans sa tête et en même temps, faire preuve d'intelligence. il ne faut pas se penser dans un monde beau. un monde remplis de chantilly, de bonbons et de licornes. je pose mes mains sur sa nuque puis je les descends dans son dos, les posant sur ses omoplates. je sors les ongles et je les fais descendre sur sa peau. je fais de jolies marques dans sa peau fraîche. des marques de tigresse. il fallait pas dire que j'étais gentille. ainsi de cette manière, je montre que je suis loin de pouvoir être gentille. j'ai toujours aimé griffer. ça peut légèrement faire mal sur le coup mais c'est pour la bonne cause. ça montre qu'il m'appartient. je laisse mes traces sur ce qui est à moi ou ce qui va bientôt l'être. une unique petite semaine et pouf, plus d'adversaire. plus personne entre lui et moi. le terrain est libre. « tu vois comme je peux redevenir méchante. » par rapport aux supplices qu'il a dû vivre ces petits cicatrices ne sont rien. demain, il n'y aura pratiquement plus rien. quand je cris son prénom en entier, c'est que je ne pense plus à rien, c'est qu'il arrive à me faire crier comme personne. et encore plus quand je le fais avec cet accent roumain. normalement, je ne devrais avoir aucun accent vu que je n'ai pas grandit en Roumanie. un accent que je n'ai pas naturellement. je l'ai parce que mon père ne voulait pas que je ne parle pas le Roumain. il a toujours eu du mal à vivre en Amérique et encore plus à se faire à une culture qui n'est pas la sienne. il détestait les fast-food, il détestait la bière, le drapeau, l'arrogance de croire qu'ils sont supérieurs aux autres. il m'autorisait à me comporter comme une américaine à l'extérieur mais dès que je passais le pas de la porte, j'étais de nouveau une roumaine. la maison était la Roumaine au milieu de ce vaste pays. il parle dans sa langue. ça me donne encore plus la conviction qu'il va falloir que j'apprenne à le parler. je ne peux pas rester dans cette ignorance de ne pas comprendre. je fais ce que je pense bon. cependant, il y a une chose que je fais jamais et que je viens de faire. je viens d'attraper sa main. je suis incapable de le faire d'habitude. car prendre une main, c'est s'attacher à une personne, c'est tisser un lien. je l'entraine dans le salon. pourquoi je devrais me contenter d'un seul endroit. il aurait pû penser que j'aurais pû prendre l'escalier afin qu'on aille se laver pour faire disparaitre les dernières traces de chocolat. pas du tout. « qu'est-ce que.... » je ne lui laisse pas le temps de parler. je réponds directement à sa question. c'est ce qu'il allait sûrement me demander. je ne prends pas soin des autres. je ne prends soin que de moi et de ma famille. mon frère est celui dont je prends le plus soin. je ne devrais pas le faire. je devrais le laisser un peu dans la merde pour lui montrer que rien n'est facile. pourtant, je ne peux pas résoudre à le laisser pourrir à prison. j'ai beau ne pas aimer le fait qu'il se drogue et qu'il en vende. il est mon frère, il est mon sang. il ne peut pas prendre soin de lui alors je prends soin de lui. quand il sortira en prison, je ferais en sorte qu'il ne retombe pas. je ferais en sorte qu'il vienne ici. ça le changera de New-York. ça lui donnera un nouveau part. comme j'aimerais qu'il soit sein et qu'il soit dans le business avec moi. ça serait beau. je l'embrasse avec passion. il s'arrête, plus aucun mouvement. il m'embrasse et redresse mes jambes. « fais attention, si tu prends trop soin de moi je pourrais décider de ne plus te laisser partir. » quand je m'envoie en l'air, je ne suis pas la même. je n'ai pas la même carapace. j'arrive à plus me dévoiler, j'arrive à faire tomber la carapace. bon, je n'en dis pas non plus des tonnes. on arrive juste à me voir un peu plus différente. cependant, c'est surtout dû au faite que je suis avec lui. c'est lui qui fait en sorte que je sois différente quand sous l'euphorie d'un orgasme. je parle jamais d'amour. je ne dis jamais de 'je t'aime'. les sentiments, ça me fait faire marche arrière. quand ça arrive, je cherche à me dérober en parlant d'autres choses, en essayant de rigoler. il veut quelqu'un qui prenne soin de lui. il ne faut pas qu'il croit que je suis comme ça. je viens peut-être de le faire aujourd'hui mais c'est une exception à la règle. car quand on regarde de plus près, je pense légèrement à moi. s'il a mal au dos, il ne pourra plus me prendre n'importe où. je n'ai pas envie de me contenter seulement d'un lit. j'aime plus. « il faudra m'attacher pour ça. je ne suis pas du genre à me laisser faire.» je ne sais pas si j'aimerais me faire attacher. je trouve que d'être attacher ou attacher quelqu'un, c'est toujours pour faire souffrir. ce n'est jamais pour en prendre plaisir. pas de ce sens en tout cas. il se remet à onduler du bassin. qu'est-ce que c'est bon ? j'aimerais qu'il ne s'arrête jamais. il se retire et j'ai envie de lui crier dessus. j'ai envie de lui dire qu'il ne doit pas s'arrêter en si bon chemin. je ne peux rien dire vu que son index est sur ma bouche pour que je me taise. je fais une grimace. il m'embrasse et laisse ma langue courir sur ma peau. il ne perd pas de temps. il est déjà vers mes hanches. « tu ne pensais tout de même pas que je laisserais tomber l'affaire ? » il est désormais sur mon intimité. je pousse un gémissement. je crois qu'il ne me fera pas longtemps avant que j'explose dans un nouveau orgasme. ma respiration est tellement saccadée. les battements de mon cœur sont dans une course folle. il me caresse encore et encore. je me mords la lèvre inférieur. je me cambre essayant d'attraper le canapé pour le serrer entre mes doigts. je suis au bord du gouffre. je suis prête à exploser. je n'arrive pas à tenir. encore quelques secondes, il aura le droit à mon gémissement plus fort que les autres indiquant que je viens de monter au septième. « jamais. quand il s'agit de me donner un orgasme, tu es le meilleur. »
  



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MessageSujet: Re: [EXPLICIT] KRISTEO ◮ you're crazy and i'm out of my mind [EXPLICIT] KRISTEO ◮ you're crazy and i'm out of my mind - Page 2 EmptyDim 15 Fév - 18:28


i'll tell you my sins so you can sharpen your knife
kristjan & teodora.

 



Je l’ai dit à la blague mais je voudrais qu’elle ne parte jamais, en réalité. Ça semble précipiter, mais dans le monde où l’on vit, tout se passe bien plus rapidement. On ne sait jamais quand tout va s’arrêter, c’est ce qui rend la vie encore plus précieuse. J’aimerais qu’elle soit encore là dans une semaine, qu’elle ne se cherche pas d’excuse pour partir et qu’elle ne désire pas le faire. Elle a dit qu’elle resterait de toute façon, tout à l’heure. Je ne vois pas pourquoi elle ne tiendrait pas sa parole. Elle sait comment je réagirais, à quel point je déteste que l’on me trahisse. J’ai laissé tomber tellement de barrières depuis cet après-midi, les toilettes du club ont eu droit à un bon nombre de révélations. Je ne veux pas qu’elle amoindrisse leur valeur. Je n’ai pas réellement besoin que l’on prenne soin de moi, je ne suis pas si vieux que ça. J’ai seulement envie qu’elle soit là. S’occuper de moi, c’est un prétexte comme un autre. Je souris doucement quand elle me parle qu’il faudra l’attacher, car elle n’est pas du genre à se laisser faire. Ça, je n’en doute pas une seconde. « Je t’aurais pas crue comme ça, mais si c’est toi qui le demande… » Je me vois plutôt mal l’attacher, tout de même. Ce n’est pas particulièrement quelque chose qui m’attire, je préfère nettement la sensualité, la torture tout en douceur. Pour moi, les cordes servent à attacher les ennemis dans des chambres d’hôtel crasseuses sur le bord de l’autoroute avant de les torturer et d’y mettre le feu. Je me loge à nouveau en elle, relevant doucement ses jambes pour bouger plus aisément en elle. Je ferme les yeux, savourant toutes les sensations qui m’assaillent. Un long frisson de plaisir me parcoure de la nuque jusqu’au bas du dos. Je sens que je ne tiendrai pas très longtemps, sans doute qu’elle n’a pas tort sur une cinquième fois. Elle sera forcément brève. Je n’ai pas envie de la décevoir tout de même, alors je me penche contre elle, l’embrassant, savourant ses lèvres qui goûtent encore légèrement le chocolat. Quand je me retire, je vois bien que ça ne lui plait pas. Je pose mon index sur ma bouche pour la faire taire à ce moment précis. De toute façon, d’ici quelques secondes elle ne se plaindra plus. Je me mords la lèvre lorsqu’elle grimace et je dépose ma bouche sur la sienne une nouvelle fois, mais celle-ci dévie rapidement sur le bas de son corps. J’embrasse ses hanches, détaillant chaque centimètre de sa peau avant de la regarder et lui parler. Elle n’a pas le temps de répondre que je me penche entre ses cuisses, ma langue explorant son intimité. Le long gémissement qu’elle pousse me fait sourire contre son corps, m’encourageant à faire plus pour l’entendre gémir plus fort. Ce n’est jamais assez, avec Teo. Tout va dans l’excès, la preuve on aurait très bien pu s’arrêter après avoir fait l’amour tout à l’heure dans la chambre, et pourtant on a poursuivi et les choses ont continué dans la cuisine pour se terminer ici. On aurait très bien pu simplement parler affaires, et pourtant les choses ont dévié vers le sexe une nouvelle fois. Ce n’est pas mal, au contraire. Je serais bien fou de m’en plaindre. Mes mains caressent son corps alors que je la sens se cambrer, je la sens frémir à chaque contact avec ma langue, tremblante de plaisir. Je la regarde du coin de l’œil lorsqu’elle resserre ses doigts sur le canapé et bientôt son cri se fait plus long, plus fort que les autres et je sens tout son corps se crisper, puis ses jambes trembler entre mes mains. Je souris à ses paroles, j’adore l’entendre dire ça même si je me doute qu’elle ne fait que me flatter. J’espère que non, toutefois. J’aimerais qu’elle soit sincère et qu’elle le pense. Quoique ce n’est pas la première fois qu’elle me le dit. Je pourrais commencer à le croire. « Ça tombe bien parce que j’adore t’entendre jouir comme ça. » Je me redresse et approche mon visage du sien, et mes mains se posent sur sa taille pour la redresser doucement, l’attirant vers moi. Je crève d’impatience d’atteindre le septième ciel et de la rejoindre dans son moment d’extase. Je m’allonge sur le dos, me logeant en elle, et mes mains se posent sur son dos alors que je pousse un gémissement de plaisir, frissonnant en sentant son corps contre le mien. Je suis doux, ne voulant pas non plus être désagréable, et mes mains se posent sur ses fesses en les massant doucement avant de remonter à nouveau sur son dos. Mes lèvres attrapent les siennes, puis descendent sur son menton. Je mordille doucement sa peau, et sa poitrine caresse mon torse. Je peux sentir sur ma peau les petites égratignures qu’elle m’a fait tout à l’heure. Rien de grave, elles sont sans doutes même bien moins profondes que celles qu’elle m’a fait cet après-midi au club. C’était beaucoup plus agressif. Mes mains se crispent sur le bas de son dos, mes doigts se posant sur les fossettes au creux de celui-ci. Je pousse finalement un long râle de plaisir, me libérant en elle. J’enfouis mon visage au creux de son cou, inspirant doucement l’odeur de sa peau. Je remarque la couverture bien repliée au-dessus du canapé, et je tends un bras afin de la tirer vers moi. Le tissu est juste assez chaud pour être à l’aise quand la température va redescendre. Mes bras enveloppent doucement le corps de Teodora, et je passe doucement une main dans ses cheveux encore humides. Je me sens flotter, la sensation de légèreté est merveilleuse. Il n’y a plus de problèmes quand on vient d’atteindre l’orgasme, tout est beau soudainement. C’est un magnifique échappatoire, mais en même temps je ne vois pas de quoi je pourrais me plaindre. Tout va bien, elle est là, et elle va rester. Je pose mes lèvres sur sa tempe, soupirant doucement. « Je pense que je pourrais m’endormir ici, si tu restes comme ça dans mes bras. » Je n’ai pas envie de bouger, même si je suis conscient qu’il le faudra bien un jour. Je prends délicatement sa main, caressant ses doigts fins du bout de mes digitales. Je dépose des baisers sur ses jointures, puis enlace mes doigts aux siens. Je croise son regard, fronçant doucement les sourcils en pensant à un détail qui paraîtrait futile dans une autre situation. « Je suppose que tes affaires sont à l’hôtel, n’est-ce pas? » Je me demande si elle a au moins le minimum. Les vêtements, à la limite, on s’en fout. Je pense à tout à l’heure quand elle disait qu’elle prenait le nécessaire pour ne pas tomber enceinte. Je me demande si elle a ce nécessaires avec elle. En même temps, ce serait plutôt égoïste de dire que de mon côté, si elle ne l’avait pas, ça ne me gênerait pas. J’ai trente-cinq ans après tout. Sur certains points, je suis tout de même un vieux. Elle m’a dit de toute façon qu’elle voulait attendre. Elle doit avoir prévu le coup.
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MessageSujet: Re: [EXPLICIT] KRISTEO ◮ you're crazy and i'm out of my mind [EXPLICIT] KRISTEO ◮ you're crazy and i'm out of my mind - Page 2 EmptyLun 16 Fév - 20:25

Teodora && Kristjan
you're crazy and i'm out of my mind.

 
je n'ai pas l'habitude quand il s'agit de rester avec quelqu'un. je lui ai dis que je resterais, je le ferais. cependant, je ne veux pas que ça devienne trop... trop attendrissant. je ne veux pas me transformer à en une demoiselle idiote qui veut rentrer chez elle parce que son copain l'attend. je ne veux pas tomber dans la mieillerie des couples. je sais que s'il devient trop sentimental ou trop romantique, je me braquerais et je préfèrerais la fuite plutôt que de parler de sentiments. il doit bien le savoir, il doit bien s'en douter. je le montre assez souvent. dès qu'il me dit 'je t'aime' ou des trucs sentimentaux, je fais comme si je n'avais rien entendu, comme si ce n'était rien ou bien je parle d'autres choses. je serais capable de mettre à néant quelque chose si je me braque. et pourtant, je ne devrais pas, je devrais parfois me dire que je dois accueillir les sentiments qui ne sont pas forcément mauvais. ça ne procurera pas toujours de la douleur. parfois ça fait du bien de se reposer sur quelqu'un, d'avoir totalement confiance, de relâcher une pression qu'on se met constamment. « je t'aurais pas crue comme ça, mais si c'est toi qui le demande. » un petit sourire au coin de mes lèvres. je ne suis pas du genre à aimer me faire attacher. ce n'était qu'une plaisanterie. je ne crois pas que j'aimerais me sentir lier et ne pouvoir rien faire. j'aurais l'impression d'être un esclave, une moins que rien. j'aime pouvoir toucher, pouvoir rentrer en contact avec la personne, user des sens. non pas se contenter d'un coup rapide sans utiliser ses sens. c'est essentiel pour que ça soit détonant. rien de mieux que de toucher une peau, de sentir la chaleur avec les frissons. il prend le bon chemin pour me mener au paradis. ce n'est que de courte durée puisqu'il a décidé de s'arrêter dans son élan. il veut jouer comme je l'ai fais moi aussi quand je l'ai laissé en plan sur le lit. il en aurait parfaitement le droit et puis je n'aurais pas le droit de me braquer. il faut assumer quand on fait quelque chose, il faut accepter qu'on nous le fasse en retour. je ne peux pas me plaindre puisqu'il est entrain de me faire tordre de plaisir. si je voulais me retenir, je n''aurais pas pû. mon corps en veut plus. mon corps veut exploser de plaisir pour la cinquième fois. je ne me contente jamais de peu. il faut toujours que j'ai plus. pourquoi se contenter de peu quand on peut aller plus loin. quand on peut avoir toujours plus. il peut être fière de m'entendre jouir vraiment. fière qu'il est réussi à le faire rien qu'avec sa langue. certains ont essayé et ce sont bien ramassé en pensant qu'ils avaient réussi à me faire crier. cependant, j'aime pas être la seule à avoir un orgasme. c'est frustrant de se dire qu'on est seul à être dans l'extase. « ça tombe bien parce que j'adore t'entendre jouir comme ça. » « alors ne t'arrête pas.» je suis sur un petit nuage comme la sensation que ça me procure quand je viens d'avoir un orgasme. la sensation de bien-être et de paradis. je ne pense pas pouvoir un autre orgasme tout de suite mais ce n'est pas pour autant que je vais laisser Kris sur sa faim. apparemment, il était pas loin d'y être avant qu'il décide de me faire jouir qu'avec sa langue. il atteint le summum. et voilà, cinquième fois. et dernière de la journée. j'aurais beau dire le contraire, je ne pourrais pas réussir à tenir encore. ma respiration met bien plus de temps à redevenir normal. mon cœur bat à une vitesse folle. il attrape la couverture qui était sagement rangé et bien plié. Monsieur serait du genre à s'endormir sur le canapé. en même temps parfois on a besoin de se laisser tomber sur le canapé après une bonne journée de travail. à New-York, il m'arrivait de m'endormir sur le canapé n'arrivant pas à me rendre jusqu'à ma chambre. je me lève le matin avec une couverture sur moi et un bon petit déjeuner sur un plateau. ce n'était pas maman qui faisait ça, c'était Maria notre gouvernante. elle a toujours pris soin de moi. j'aurais pû lui demander de venir à Silmoa Spring, elle n'aurait pas hésité vu qu'elle nous a toujours considéré comme ces enfants ne pouvant pas en avoir. je viens me caler dans les bras. « je pense que je pourrais m'endormir ici, si tu restes comme ça dans mes bras. » dormir ici sur un canapé à deux, je pense qu'on peut tenir pendant un moment mais en se levant le lendemain, je dois dire qu'on sera tout aussi fatigué de notre journée. pour l'instant, ça me va très bien. en même temps, dans mon état, on peut me demander ce qu'on veut, je serais capable de dire oui à n'importe quoi. j'en reviens toujours pas de ce côté si romantique qu'il a. le pire c'est que je me moque pas de lui, que je ne rigole pas. je lui passe la main dans les cheveux. qu'est-ce qu'il peut me faire craquer avec ces longs cheveux blonds et sa barbe. il est loin des petits d'être bourgeois ou des petits idiots. « ça serait une grande première pour moi. j'ai beau aimer les avoir dans mon lit, je ne les laisse jamais dormir avec moi. » je ne dors jamais avec mes conquêtes. il est arrivé parfois que l'un d'eux reste sans que je m'en rende compte parce que Monsieur n'était pas partit et que je m'étais endormi avant. je n'ai jamais dormi avec Kristjan non plus. la prison ne le permettait pas et je ne pense pas que ça se serait produit. loin de là. j'aurais trop été arrogante pour le faire et pour lui laisser cette chance. j'ai grandit et puis il a dit des choses qui m'ont touché. il attrape ma main, la caressant, déposant des baisers pour ensuite enlacer nos doigts. je les sers un peu plus embrassant le dessus de sa main. qui aurait pensé que Teodora Macek puisse être dans les bras de quelqu'un entrain d'écouter de belles paroles, entrain de laisser quelqu'un être tendre. heureusement, personne ne peut nous entendre. on ne ressemblerait plus à des truands cruels et diaboliques. on apparaitrait comme des personnes normales avec un cœur. « je suppose que tes affaires sont à l'hôtel, n'est-ce pas ? » je ne m'attendais pas à ce qu'il me pose une telle question comme ça d'un seul coup. déjà il parle d'hôtel alors que je suis dans le motel minable au fin fond de la ville. je n'ai que le stricte minimum là-bas. je n'ai apporté que ce que j'ai pû prendre. je n'ai pas eu la chance de récupérer tous mes vêtements. en même temps, il m'aurait fallut un camion entier pour déplacer le tout. je n'ai que ceux que j'aimais. j'ai assez d'argent pour en racheter et puis ce ne sont que des vêlements. ce n'est pas quelque chose auquel je m'attache. au vue de la manière dont j'en prends soin, on ne peut pas dire que je les adore à la folie. après je n'ai pas de souvenirs. pas de photos. quelques armes et mon nécessaire de toilettes avec mes pilules et une trousse de secours. je ne vais jamais à l'hôpital. s'il faut que je recouds, je le fais moi-même. débarquer à l'hôpital avec des cicatrices ou des balles, ça attire l'œil de la police et il faut trouver des explications. « et non, je ne me trimballe avec ma garde-robe dans ma voiture. » tout est en bazar dans la chambre. parce que pour couronner le tout, je suis une grande bordélique incapable de ranger, incapable d'être ordonnée. je me redresse légèrement pour le regarder. « tu es bien pressé. tu veux vraiment que je remplisse tes placards de mes affaires. tu as de la chance, je n'ai pas grand chose. je n'ai récupéré que le minimum. » s'il vit tout seul dans cette grande maison, il doit avoir l'habitude de faire les choses seul sans avoir quelqu'un qui met le bordel partout. généralement, une fille qui débarque chez un homme, elle prend tous les placards afin de ranger les tonnes de vêtements dont elle dispose. ça ne sera pas mon cas. je n'aurais même pas besoin d'un placard, les laisser dans un coin dans le sac ça suffit amplement.
  



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MessageSujet: Re: [EXPLICIT] KRISTEO ◮ you're crazy and i'm out of my mind [EXPLICIT] KRISTEO ◮ you're crazy and i'm out of my mind - Page 2 EmptyMar 17 Fév - 4:22


i'll tell you my sins so you can sharpen your knife
kristjan & teodora.

 



Alors qu’elle se blottit contre moi, je peux sentir son corps encore bouillant contre le mien. La fatigue me guette, surtout dans cette position, je ne pense pas tenir bien longtemps. Ses doigts se glissent dans mes cheveux et je n’arrive pas à retenir le sourire qui se dessine sur mon visage à ce moment précis, l’observant faire sans broncher. En même temps, je ne vois pas pourquoi je voudrais bouger, je suis tellement bien. Je hausse légèrement les sourcils quand elle mentionne que ce serait une première pour elle de dormir avec un homme. Je ne m’attendais pas à cette révélation, j’aurais cru qu’elle en gardait tout de même un de temps à autres dans ses draps seulement pour avoir de la compagnie, mais apparemment Teodora n’est pas comme ça. Je suis assez heureux tout de même de l’apprendre, savoir que je suis le seul avec qui elle ait envie de dormir. Mes mains balaient un instant son corps nu sous les couvertures puis s’arrêtent au milieu de son dos. Je me rappelle qu’elle n’a jamais dormi avec moi en prison. Même exténuée, alors qu’il nous restait encore un peu de temps, elle préférait partir. Souvent car j’avais été cruel avec elle. Je la serre doucement dans mes bras à cette pensée, un peu protecteur. « Une deuxième grande première pour ce soir? Je suis chanceux, il faut croire. » Je prends un ton un peu amusé et dépose un baiser sur son épaule, glissant ses cheveux sur le côté. Ceux-ci chatouillent mon torse et me font frissonner légèrement. J’ai besoin de tendresse, je suppose, après toutes ces années à être tout seul. Bien sûr, il y avait la baise en prison. Mais le sexe dépourvu de sentiments, ce n’est jamais aussi bon. Il n’y a pas de moments comme celui-ci, alors qu’elle est allongée sur moi calmement à reprendre son souffle. C’est une des choses qui me manquait, cette tendresse. Ma main glisse sur la sienne pour la prendre, et j’y dépose une multitude de baisers. Elle me répond en déposant un baiser sur le dessus de la main et en resserrant l’étreinte, me donnant l’espoir qu’elle finira bien par craquer. C’est seulement plus compliqué avec elle. Pourtant ses parents étaient ensemble, elle devrait savoir qu’on ne peut pas toujours être d’horribles monstres sanguinaires. Que ces petits moments d’humanité sont nécessaires, sinon on deviendrait complètement fou. Elle n’a certainement pas l’habitude de me voir ainsi, romantique, tendre et attentionné. Je ne voulais pas lui montrer ces facettes. Ce n’était pas nécessaire avant, de toute façon. Ce n’était pas de l’amour. C’était plus compliqué que ça. Ou peut-être que la culpabilité était trop grande, c’était ce qui rendait les choses si confuses. Je me sentais coupable par rapport à Olivia, qui ne savait rien du tout, et aussi envers le père de Teodora. Je le dis en supposition, mais je suis persuadé qu’il n’aurait pas aimé que je quitte ma femme pour sa petite princesse d’à peine dix-huit ans. Aujourd’hui, maintenant qu’il est mort, cette question restera un mystère. Je n’aurai jamais sa bénédiction, mais je n’aurai non plus jamais à essuyer son refus. Je regarde ma main nouée à la sienne, sa jumelle étant posée au haut de son dos. En repensant à ma question à propos de l’hôtel, je me sens un peu idiot. Elle va me prendre pour un fou, de vouloir dépêcher les choses comme ça. À vrai dire, je m’en moque un peu. Je m’assume, je suis comme ça, à vouloir tout contrôler et tout planifier. Il est vrai qu’hôtel, c’était un peu fort comme mot aussi. Comme elle m’en parlait tout à l’heure, ça ressemble surtout à une baraque au fond de la ville sans grande classe. Ça m’étonne de la savoir vivre là-dedans, mais parfois on n’a pas le choix si on veut passer inaperçu. Je ris doucement quand elle me dit qu’elle ne traîne pas sa garde-robe avec elle. Avec tous les vêtements qu’elle a sans doute, encore heureux car elle ne pourrait même pas faire rouler sa voiture. Elle se redresse légèrement, toujours sur moi, et je souris doucement à sa question. Je l’imagine bien prendre possession des placards et les remplir. De toute façon, il y a bien assez de place ici, cette maison est immense. Elle peut prendre tous les tiroirs qui lui plaisent, aussi. Je change d’air quand elle me dit qu’elle n’a pas grand-chose, qu’en fait avant de partir elle n’a récupéré que le strict minimum. Partir comme ça, disparaître de New York en emmenant uniquement les trucs importants, je me dis que ça a dû forcément être un choc pour elle d’arriver ici avec presque rien. Même moi, j’ai trouvé assez difficile de ne pas avoir pu récupérer plusieurs de mes affaires. En même temps je n’avais quasiment rien de précieux. Je n’ai jamais été un grand collectionneur de photos, et de souvenirs en tout genre. J’ai une assez bonne mémoire, je suppose que ça suffit. Et les notes que j’écris. J’ai réussi à récupérer plusieurs cahiers au moins. Les choses les plus importantes y sont toujours inscrites. « Cette maison est immense, pratiquement tous les placards sont vides. » Je prends doucement ses poignets dans mes mains et l’attire contre moi pour qu’elle se rapproche à nouveau. « On ira chercher tes affaires demain, ce soir j’ai plus du tout envie de bouger. » Mes mains sont à nouveau enfouies sous les couvertures et se posent sur ses fesses. Je lui lance un regard malicieux avant de me mordre la lèvre inférieure. « Quoique j’aime bien l’idée de te regarder déambuler toute nue ici. En y pensant bien, tes affaires peuvent bien attendre un peu. » Je dépose furtivement un baiser au coin de ses lèvres avant de glisser une mèche de cheveux derrière son oreille. Mon visage s’enfouit dans son cou, et j’y dépose quelques baisers sans avoir quoi que ce soit derrière la tête. Je suis beaucoup trop crevé pour penser à un sixième round. Je ferme légèrement les yeux, pendant quelques secondes, me sentant lentement partir. Je les ouvre subitement, je n’ai pas envie de m’endormir avant elle. « Tu verras, on sera bien ici. » Je chuchote à son oreille, comme si j’avais peur que l’on nous entende. Puis je constate qu’elle-même s’est endormie. Eh bien dis-donc, elle n’a pas pris de temps. Je la serre doucement contre moi, réfléchissant aux mots qu’elle n’a pas entendu. On sera bien ici, loin de New York. Là-bas, les flics la cherchent, elle est en danger. Ici, elle est une inconnue. À la limite, elle n’est pas une grande menace. Je sens sa respiration régulière contre mon torse et je sens mes paupières s’alourdir à mon tour. Je nous recouvre une dernière fois tous les deux de l’épaisse couverture, et lentement moi aussi je m’endors. Le réveil sera sans doute brutal, mais je suis prêt à assumer les conséquences. Et puis ça ne peut pas être si horrible que ça de se réveiller avec la personne que l’on aime.
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