Le problème qui se pause lorsque mon taux d’alcoolémie se trouve être si haut c'est que je perds la notion du temps et la capacité de mouvoir correctement mon corps. C'est un problème majeur. Et des problèmes majeurs j'en avais pas mal en ce moment apparemment. Il devait être deux heures du matin, vous savez l'heure à laquelle je suis censé dormir parce que j'ai école demain. Je errais dans les rues en m'amusant à trouver milles et une façon de marcher : à cloche pied, en trottinant, en faisant de grands pas... J'avais écumé les bars, j'avais l'impression que je n'avais pas autant bue depuis au moins trois ans. Ça m'arrivais souvent depuis une semaine, souvent pour ne pas dire même tout le temps, tout les soirs je me trouvais face au bar, un verre à la main. Ca n'était pas dérangeant en soit, j'aimais sortir et m'amuser. Mais la ça n'en était plus vraiment. L'objectif était de me rendre le plus malade, d'atteindre un niveau d’euphorie et d'ivresse toujours plus haut. Atteindre les étoiles. Et non je ne vous dirais pas que cet état second me permettait aussi d'oublier que mon appartement était désormais vide, non je ne vous dirais pas que ce fus une affreuse idée d'accueillir cet étranger chez moi. Maintenant j'avais l'impression que la solitude me prenait de toute part. Comme si je n'avais pas conscience d'être dans cette grande maison seule jusqu'à ce qu'il vienne pour repartir en suite. Non je ne vous dirais pas qu'il m'a fait du mal parce que ce n'est pas le depart de cet inconnu qui me fait souffrir, non, c'est le monde entier qui me fait mal, c'est le vide qui me fait mal, le silence qui me fait mal... Je m'en fiche de qui, mais il me fallait quelqu'un à mes côtés en ce moment et j'étais incapable de l'exprimer et beaucoup trop fière aussi.
J'étais donc la, tentant comme je pouvais de marcher jusque chez moi. Le dernier bar dans lequel j'avais été il y avait eu ce mec. Ce mec qui y travaillait, super gentil, à qui t'as l'impression que tout sourit dans la vie, le genre de mec avec qui tu veux être ami : Riley. Il m'avait déjà parlé deux ou trois fois, ça m'arrivais même de bien rire avec lui. Il connaissait la personne souriante, fêtarde et dynamique que j'étais habituellement mais depuis cette semaine il avait découvert une autre phase de ma personnalité que je détestais profondément et que j'avais honte de montrer au monde. Non je ne m'apitoyais pas sur mon sort, c'était juste que j'étais beaucoup moins bavarde que d'habitude. Il avait insisté pour me raccompagné à la fermeture étant donné l'état dans lequel j'étais, mais j'avais refusé : encore une fois trop fière pour accepter l'aide de quiconque . Et me voilà maintenant titubant comme une sans abris dans la rue.
J'étais à mis chemin entre le bar et chez moi et alors que je faisais la funambule au bord du trottoir je sentis mon pied légèrement glissé sur le côté et ma cheville défaillir entraînant mon corps dans une pitoyable chute. Ma tête était prêt du sol mais j'avais eu le réflexe de me rattraper avec mes mains au derniers moment avant qu'elle ne heurte le sol. Bravo Joey ! Tu fais vraiment de la peine à voir maintenant !

C'est dans ses moments que tu te rend comptes de l'ironie de la vie. Face au sol tu te rend compte que ce ne sont pas forcément ceux qui sont le mieux né qui sont les plus chanceux. Regardez … Es que j'ai vraiment l'air d'une héritière fortuné dans cette position franchement ? Comme toujours je préfère en rire qu'en pleurer. On parle d'inégalité social, mais on devrais aussi parler des inégalité affective. Le nombre d'enfants de riches personnes reconnue de tous qui sont si malheureux, vous seriez choquer d'en savoir le nombre. Je ne dis pas qu'on ne part pas avec un grand avantage qui n'est pas négligeable, je dis simplement qu'on devrais parler de ce manque d'attention. Oh mais l'attention de mon père je l'ai cherché pendant longtemps et aujourd’hui j'ai abandonné l'idée qu'il puisse un jour existé entre nous une relation père-fille complètement normale.
Je m’apprêtais à tenter de me relever lorsque je sentis la chaleur d'un corps tout d'un coup m'assaillir et une voix chaude et suave m'interpeller. Mes yeux un moment hagard ne trouvèrent pas le corps à qui cette voix appartenais. Mais quand il tombèrent sur lui un sourire niais causé par l'ivresse se dessinais sur mon visage. C'était le barman : Riley, l'homme qui sourit tout le temps. J'avais fuis pour ne pas qu'il me raccompagne et il était la maintenant . Avait-il lu dans mes pensés ? Avait-il vu ma solitude dans mes yeux fixé sur mon verre de tequila ? Je ne savais pas mais quoi qu'il en soit il était la. « Oui ça va t'inquiète pas j'ai trébuché et ... » , j'avais tenter de faire un pas tout en parlant pour lui montrer à quel point tout allait bien et ainsi illustrer mes propos. Malheureusement pour moi ma cheville n'était pas d'accord ! Mon visage se déforma sous l'effet de la douleur que me causait l'appuie sur cette cheville douloureuse. « Ok … ok … Je me suis peut-être fait un peu mal mais t'as pas à t'en faire t'inquiète mon pote » ; je lui tapais amicalement l'épaule tout en lui faisant un clin d’œil affirmant ainsi ma force, ma capacité à me relever. Oui ma fierté prenait parfois une proportion démesuré mais bon que voulez-vous.

Comment ça il ne pense pas que je puisses marché jusque chez moi ? Si j'en étais capable il me fallait juste un maximum d'effort et de concentration. Il voulait me raccompagner ? Bah c'était encore mieux comme ça il verrait de ses yeux que j'étais assez grande et forte pour porter mon corps jusque chez moi. Je fermai les yeux et essayai d'arborer un de mes plus beau sourire. J'appuyais sur ma cheville douloureuse mais tant pis tant que je marchais ça allait ! Oh je vous vois venir ! Non je n'ai pas une fierté démesuré c'est jusque que je penses que Riley a déjà assez vu comme ça mon côté faible pour la soirée. Je marchais don, mais c'était tout de même éprouvant, je tournis ma tête vers lui un moment. « Franchement tu n'avais pas à venir jusqu'ici. Mais merci c'est vraiment adorable. Un gentil et mignon garçon comme toi qui travail dans un bar doit se faire dragué tout le temps non ? » ; j’essayais de changer le sujet de la conversation pour qu'on oublie un moment ma démarche boitante et que j'oublie un peu la douleur.
C'était vrais que Riley était mignon, il avait un beau sourire. Beaucoup de fille aurait trouvé ça osé de lui dire clairement que je le trouvais mignon : moi je trouvais ça débile de ne pas le dire. Après tout c'est ce que je pensais et puis il fallait dire aussi que mon taux d’alcoolémie facilitait ma parole. Nous n'étions même pas à mi chemin lorsque ma cheville sûrement épuisé par l'effort que je lui faisait faire me lâcha de nouveau, je me retint au bras de Riley pour ne pas tombé : j'avais vraiment mal ce coup-ci. « Aie ! » ; je fermais les yeux et me mordait la joue à l'intérieur de la bouche pour ne pas crier. J'encaissais la douleur comme un bonhomme ! Hors de question pour moi de pleurer, surtout pas face à un inconnu. Sûrement causé par mon taux d’alcoolémie mon emprise sur son bras se transforma assez vite en une emprise sur son épaule, puis je passa mon bras autour de son cou, comme pour lui dire : c'est bon j'avoue j'ai besoin d'aider. Mais jamais je ne l'énoncerais à l'oral oh grand jamais !

Il n'y avait pas de mal à dire la vérité ! Ca ne m'étonnais pas du tout qu'il reçoive des avances régulièrement ! Il me retourna le compliment ce qui me fis plaisir plaisir et me tira un petite sourire niais. Lorsque ma cheville me lâcha et que je dus m'accrocher à lui à mon grand désespoir, déjà que j'étais déçu de moi même. Tellement déçu de devoir me résoudre à avouer ma faiblesse ! Mais en plus il se mit à rire sans retenu, je fronça les sourcils vexé : j'avais maintenant mon visage de boudeuse professionnelle. Je tournai la tête vers la droite faignant de l'ignorer alors que j'étais toujours appuyé sur son épaule : je ne pouvais pas le lâcher sinon je risquais d'avoir mal, mais ce n'est pas l'envie qui me manquer.
Malgré mon dédain le jeune homme fis quelque chose qui me surpris en premier lieu. Il me porta comme si j'étais un tout petit bébé, je fus tellement surprise que je n'eus pas le temps de riposter et j'étais vraiment trop fatigué pour me débattre comme je l'aurais sûrement fais en temps normal. Je n'étais pas lourde du tout, on me disait souvent que je ne pesais presque rien c'était pour ça que j'aimais être porté. Mais vu les circonstances actuelles ce qui me procurais d'habitude une agréable sensation me faisait ressentir de la gêne et de la honte. Je le regardait, il parlait mais je ne l'écoutais qu'a moitié j'étais un perdu dans mes pensée. Je pensais que ce garçon avait été gentil avec moi et ne semblait pas avoir d'arrière pensés quelconques … C'était rare voir carrément inexistant qu'un garçon soit gentil avec moi sans avoir envie de me mettre dans son lit. Je le guida en suite jusque chez moi un peu comme un robot énonçant juste des directions. « C'est bon on est arrivé » ; lui dis-je une fois arrivé en face de mon immense maison. « Tu peux me poser . Comme on m'a appris la politesse je t'invite à boire un café pour te remercier. » ; j'avais un tout petit sourire en coin. Je pensais que ça me ferait plus mal à l’ego que ça de montre un signe de faiblesse mais en réalité j'étais assez soulagé qu'il ai fait attention à moi et prêté attention à ma douleur. Je lui déposa un baiser sur la joue assez prêt des lèvres et lui adressa le plus beau de mes sourire. J'étais la reine des bisous et des câlins, celui-ci était pour le remercier et aussi parce que c'était agréable de faire un bisou à un garçon aussi mignon.

Je n'avais pas honte de l'état de ma maison non. C'était plus du bazar superficielle que de saleté. J'étais allergique à la poussière je m’arrangeais pour que ce soit un minimum propre même si ce n'était pas ranger. L'entretient d'une si belle maison demandais trop de temps pour une si petite personne que j'étais. Mon père payait les factures mais il oubliait parfois de m'envoyer de l'argent pour que j'ai de quoi manger. Il oubliait qu'il avait une fille, alors engagé une femme de ménage risquait d'être compliqué. Je souris avant de lui répondre : « Comment tu veux que ce soit l'ordre dans ma maison si c'est pas rangé dans ma tête .» C'était une phrase bizarre mais vrais ! Je le pensais profondément sans jamais vraiment l’énoncé mais l'alcool encore une fois me facilitais la parole. Je regardais le jeune homme attrapa sa main et le guida vers la cuisine qui elle était un peu moins en bazarde mais surtout vide parce que je n'y cuisinais jamais. Je boitais encore et avais du mal à garder l’équilibre mais encore une fois je m débrouillais seul. « Tu veux boire quoi » ; dis-je m'accrochant au rebord de la cuisinière et ouvrant le frigo. « J'ai du coca, du thé et des bière . ». Je m'étais baissé et je sentais que ma jupe serré et un peu courte remontait et qu'on devait voir le bas de mes fesses. Ca ne me dérangeais pas : en temps normal je n'étais pas quelqu'un de très pudique, je n'avais pas honte de mon corps que je savais harmonieux alors ... 

Je souris lorsqu'il complimenta ma culotte, à vrais dire j'aimais beaucoup les compliment en général alors en plus d'un garçon aussi mignon c'était encore plus agréable. Je lui sortis sa cannette du frigidaire avec un grand sourire au lèvres, je me contenta de prendre un verre d'eau et ris un peu lorsqu'il me dis de m’asseoir. Je m'installa prêt de lui me massant les tempes parce que je commençais à avoir un sérieux mal de crâne. « C'est de la triche ! Tu as vu ma culotte maintenant je dois voir ton caleçon pour qu'on soit à égalité » ; dis en riant après avoir bue une gorgé d'eau. Je faisais tout le temps des sous entendu douteux, c'était sûrement pour ça que j'étais plus amis avec les garçons que les fille : j'avais le même humour. Beaucoup de filles se seraient sentis gêné de la remarque de Riley, mais moi au contraire je me sentais tout à fait à l'aise avec ça. « Vu ta tête d’innocent je paris que tu portes un caleçon bob l'éponge » ; je me mis à me moquer de lui ouvertement. Il devait trouver mon rire étrange, tout le monde le trouvait étrange de toute manière : on aurait dit une petite sourit en train d'étouffer ! J'étais une fille un peu étrange, spéciale et j'en avais conscience mais c'était ce qui faisait ma singularité et je n'en avait pas honte du tout bien au contraire !

Voilà c'était sur ! Il avait éclaté de rire aussitôt qu'il avait entendu mon rire, je le regardais et ses yeux se plissait quand il riait ça lui donnait encore plus de charme. Je m'approcha de lui lorsqu'il dit qu'il avait regarder dans cette direction par hasard. "Je ne crois pas au hasard monsieur" ; dis-je en souriant et me dirigeant vers le salon. Je pris une couette qui traînait par la et je me couvris les épaules avec. J'avais pas très froid mais je tremblais quelque peu et puis il y avait une certaine odeur qui me sécurisait sur cette couette : une odeur que je ne devrais même pas reconnaître mais bon ça c'est un autre sujet. Je me dirigeait vers la cuisine de nouveau en détaillant Riley de haut en bas. "Trêve de plaisanterie. A part être barman tu fais quoi dans la vie ? Qu'es qui te passionne ?" ; cela m’intéressait vraiment de savoir ce qu'il aimait. Ne me demandez pas pourquoi mais j'aimais les confession faite dans la nuit autour d'un verre, ça avait quelque chose de sacré.
Je m’appuyais sur le comptoirs avant de carrément y grimper pour écouter Riley. Je grelottais de plus en plus fort et je me demandais si le chauffage étais allumé j'avais l'impression qu'il faisait de plus en plus froid ici.

Je passais une main dans mes cheveux en l'écoutant attentivement. Du moins le plus attentivement que je pouvais avec ma fatigue et mon taux d'alcoolémie cumulé. Je pris me pencha pour masser légèrement ma cheville douloureuse dans laquelle la douleur commençait à peine à s'atténuer. Je releva la tête rapidement lorsqu'il me posa sa question.
« Je fais des étude en informatique . Je sais pas trop ce que je vais faire de ma vie. A part ça … J'aime faire la fête et particulièrement danser » ; je souris légèrement en énonçant la danse qui était l'une de mes passion même si j'avais arrêté d'en faire il y de sa assez longtemps. « Je t'aurai bien fais une démonstration si ma cheville ne m'avais pas lâché, mais bon on dirait bien que ce ne sera pas pour ce soir. » ; je haussa les épaules l'air un peu faussement dépité. Je me leva du plan de travail et alla cette fois-ci m'asseoir sur la table face à lui. « Je ne t'ai même pas demandé tu avais quel âge » ; je luis faisais mon regard, le regarde de Joey Fleming. En bref ce regard ça voulait dire que maintenant on abordait les choses sérieuses et que je commençais à user sérieusement de mes charmes.

« Oh 19 ans ! T'es un petit bébé ! » ; dis je pour le taquiner en lui pinçant la joue tout doucement. J'abusais il avait tout juste deux ans de moins que moi. Je fréquentais des personnes beaucoup plus jeunes que ça : je n'étais pas du genre à me la péter juste parce que j'étais plus vieille. Surtout que ce serait un comble avec moi étant donné l'âge mental que j'avais. Je souris légèrement avant de répondre. « J'ai 21 ans. Oui oui je sais je ne les fait pas du tout pas la peine de me le dire. Moi mannequin ? Tu penses ? » ; dis-je en balayant ma touffe de cheveux d'un air faussement prétentieux. Puis je pensa quelque chose de très juste : il était plus jeune que moi et c'était lui le plus censé de nous deux, il m'avait tout de même raccompagné jusque chez moi ! Il devait être assez mature pour son age : témoignage souvent d'un passé asse difficile. « Tu sais une vieille comme moi peut t'apprendre beaucoup de choses ! Tu veux que je t'apprenne à dragué ? Je sais exactement quoi dire aux filles pour les mener à faire ce que tu veux . » Dis-je fièrement. Et c'était vrais à force de cotoyer les « party girl », je savais ce qui les faisait craqué et j'avais visualisé plusieurs méthodes de drague aussi à force de me faire draguer moi même.

J'étais face au jeune homme et je le regardait droit dans les yeux. Des méthodes de drague j'en avais eu le droit à des tonnes et à toutes les sauces. Rien ne marchait vraiment avec moi : sachant que la plupart des hommes voyaient les femmes comme des animaux mystérieux qu'il fallait capturer. C'est parce qu'ils n'arrivaient pas toujours à nous cerner les pauvres et je les comprenaient on était parfois difficile à cerner. La seule chose qui fonctionnait bien mais qui n'était selon moi pas vraiment une technique de drague (c'était d'ailleurs pour ça que ça fonctionnait bien) : c'était quant l'homme en face de moi était cache, quand il présentait les choses de manière concrété sans passer par des stratagème. « Bon regarde moi bien je vais te montrer. » ; je m'installa sans gêne sur les genoux du jeune homme et lui fit un ode mes plus beau sourire. « T'es mignon je suis mignonne je penses que toi et moi on pourrait bien s'entendre » ; je le regardais dans les yeux puis je laissai aller mon regard sur ses lèvres roses. « Je vais être franche avec toi j'ai très envie de t'embraser la tout de suite ... » ; je me mordis la lèvre inférieure. Je faisait passé tout ça pour un exemple alors que c'était la réalité. Si jamais je me prenais un refus je pourrais au moins dire que je faisais tout ça qu'à titre d'exemple. J'étais plutôt futé pour une fille complètement saoule.

Spoiler:

Ses lèvres étaient aussi délicieuses que ce que je pensais . Il avait glissé une main sur ma hanche, endroit sur lequel j'étais particulièrement sensible : mais ça il ne s'en doutait pas. Vu la tournure que les choses prenaient je me demandais si j'allais parvenir à me contrôler. J'étais tout à fait le genre de fille à coucher le premier soir ça c'était pas nouveau : certain appelait ça une salope moi j'appelais ça une manière de pensé . Les gars eux ne se posent pas mille question avant de sortir leur machin et de couché avec une nana alors je faisais pareil.
Je prolongea notre baiser encore quelque seconde avant de faire nos lèvres se décoller. Qu'es qui m'avait fait m'arrêter ? Une pensée . Je ne sais pas pourquoi , je ne sais pas comment mon cerveaux en ai arrivé à pensé à lui mais j'y ai pensé je ne pouvais pas le nié. Je garda le sourire pour ne pas paraître suspect aux yeux de Riley. « C'est le meilleur baiser qu'on t'ai jamais donné je suis sur. »

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