« Qui trouve un ami, trouve un trésor. » - Aloysius & Sebastian.
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Sebastian Cook
› pseudo, prénom : Gabi. › âge : 20 ans. › emploi : Chef de rayon. › côté coeur : Célibataire. › petites lettres envoyées : 100
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Sujet: « Qui trouve un ami, trouve un trésor. » - Aloysius & Sebastian. Dim 9 Aoû - 23:26
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L'eau coulait le long de ses épaules, alors qu'il redressait le menton pour recevoir le liquide sur son visage. Il ferma les yeux et entrouvrit la bouche pour respirer. Une goutte glissa le long de sa lèvre inférieure, tandis qu'il passait une main dans ses cheveux aussi mouillés que le reste de son corps. Il aurait pu s'endormir, là, debout dans sa douche. L'eau chaude avait le pouvoir de le réveiller et de l'endormir à la fois. Ses muscles se détendaient à son contact, et alors que la buée commençait à se poser sur les vitres – révélant une forme floue –, il laissa les souvenirs de son enfance remonter à la surface.
Du moins essaya, car quelqu'un frappa à la porte, le faisant rouvrir les yeux. Oh, et puis merde, que cette personne aille au Diable ! Il était bien, dans sa douche, sous l'eau chaude. Oui, il était. Car c'est avec un soupir qu'il sortit de sa douche – ne prenant pas la peine de s'essuyer –, et enroula une serviette autour de sa taille, se dirigeant vers sa porte d'entrée.
« Ne tues personne. », se dit-il en soupirant une énième fois, passant sa main sur son visage. Sérieusement, la personne derrière cette porte devait avoir une très bonne raison. Il ouvrit la porte et vit un jeune homme, plus grand que lui, avec des cheveux blonds et des yeux sombres. Il haussa un sourcil en s'accoudant à l'encadrure de la porte. « Oui ? », demanda t-il avec une légère moue.
Et c'est pas fini ...
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Sujet: Re: « Qui trouve un ami, trouve un trésor. » - Aloysius & Sebastian. Dim 16 Aoû - 17:41
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Mission faire sortir Tyler de son canapé : accomplie et avec brio puisque l'enseignant en littérature s'était même traîné jusqu'à la salle de bain pour prendre une douche et en ressortir un peu plus frais. C'était toujours ça de gagner selon le jeune étudiant qui, depuis plusieurs semaines, se battait avec son meilleur ami pour le sortir hors de sa dépression amoureuse. Le problème restait qu'Aloysius ne s'y connait absolument pas en rupture et que s'il peut, maintenant, avoir un aperçu de ce à quoi une relation pouvait ressembler, il est encore ignare quand il s'agit de rupture. Et s'il doit se montrer tout à fait franc, il n'a pas très envie d'apprendre l'effet que ça fait. Alors il se contente de faire de son mieux pour changer les esprits de Tyler et lui faire remonter la pente. Mais ça reste quelque chose de difficile tant celui qui se prend pour Roméo est au plus bas. Il regarde sa montre, soupire. Et voilà, maintenant que la première étape de la mission qu'il s'est lui-même donné, lui permettant ainsi de jouer à la fois le rôle de M mais aussi de James Bond, est accomplie, il n'a plus qu'à rentrer chez lui. S'étaler dans son lit et dormir jusqu'au lendemain. Ou peut-être même jusqu'au surlendemain. Parce que traîner Tyler, c'est quelque chose d'épuisant pour l'allemand pas féru de sport. C'est en traînant les pieds qu'il quitte l'appartement de son ami, de retour dans son canapé mais, cette fois-ci, avec la lumière allumée et un vrai plateau-repas devant lui. Et ça, c'est une belle victoire pour Aloysius qui referme la porte derrière avec un sourire sur les lèvres.
Les mains enfoncées dans ses poches, il arrive devant la porte de son appartement. Numéro 13. Il regarde le chiffre sans vraiment le voir tandis que ses doigts fouillent ses poches à la recherche de ses clefs. Mais aucun contact avec un métal froid ne se fait. Il sort la main gauche la première, cherche dans la poche de son jean. Toujours rien. Alors il sort la main droite et tâte son autre poche, et celle de derrière aussi. Mais rien encore. « Ah non, pas ça. » Il râle entre ses dents, grogne mais il a beau fouillé, il ne trouve toujours pas ses clefs. Ni dans les poches de son blouson, ni dans celles de son jean. Alors, il est porté par un espoir fou, un espoir idiot, que l'un de ses frères soit resté à l'appartement malgré leurs sorties de prévu et il tente d'abaisser la poignée. Celle-ci refuse de bouger et il soupire. S'il devrait être en train de s'agacer, c'est plutôt l'inverse. Il est pris par une sorte de désespoir et il laisse sa tête cogner contre la porte de son appartement. Il n'y a vraiment que lui pour oublier ses clefs le seul soir où ses trois frangins sont de sortis. Il tire son portable de sa poche, le déverrouille, compose le numéro de l'un Joachim. Il l'a toujours considéré comme étant le plus responsable de la fratrie, sans doute parce que Joachim est l'aîné. Mais alors qu'il commence à entendre la sonnerie retentir et qu'il s'apprête à entendre la voix de son frère, un bip sonore se laisse entendre. Et puis, plus rien. Il fronce les sourcils. Joachim ne lui aurait jamais raccroché au nez, pas avec son caractère de maman poule exaspérant. Il éloigne son portable de son oreille, regarde l'écran noir. Du pouce, il essaie de le faire réagir. En vain. « Tu vas pas t'y mettre, toi aussi ? » Et comme si l'objet tenait à lui répondre par un silence frustrant, l'écran restait éteint. Il essaie de le rallumer et si l'écran semble s'éclairer un instant, ce n'est que pour lui permettre de voir qu'il est en rade de batterie. Nouveau soupire. Découragé, il se laisse tomber par terre, s'adosse contre le mur, presque décidé à passer la nuit dans le couloir.
Il ne sait pas trop combien de temps à passer, il n'a pas penser à regarder l'heure, mais il finit par sentir son postérieur s'engourdir à force de rester assis contre le sol dur et froid du hall. Alors, en prenant appui contre le mur, il se relève, s’époussette les fasses rapidement. Ses yeux chocolat tombent sur les portes de ses voisins. Le douze et le quatorze. Le onze est un peu plus loin. Le quinze est de l'autre côté du couloir. Sa bouche se tord en une moue et il finit par inspirer profondément. Il sait que les résidents du quatorze sont absents, partis pour des vacances semble-t-il alors il toque directement à la porte du douze. Comme il n'y a aucune réponse dans un premier temps, il fronce les sourcils, se penche légèrement en avant, colle son oreille à la porte pour écouter. Faiblement, il a l'impression de distinguer le bruit de l'eau qui coule. Il y a donc quelqu'un. Alors il retente sa chance. L'eau se coupe, il décolle son oreille. Et la porte s'ouvre sur un jeune homme, sans doute un peu plus jeune que lui, à moitié nu et surtout, encore trempé. Aloysius se mord la lèvre, soudain gêné de déranger un voisin qu'il ne connaît pas encore. « Euh, salut. Désolée de te déranger mais je vis juste à côté et il se trouve que j'ai oublié mes clés... » Il esquisse une grimace désolée, sincère, et, du doigt, pointe la porte de son appartement, juste en face avant de montrer son portable. « Et j'suis tombé en rade de batterie, du coup j'ai pas pu appelé mes frères... » Une nouvelle pause durant laquelle il se dandine légèrement devant son nouveau voisin. Et il ne sait pas vraiment si c'est le fait que celui-ci soit à moitié dénudé qui permet la connexion mais il prend soudain conscience de l'absence de quelque chose. Sur lui. « Je voudrai juste utiliser un téléphone pour pouvoir les joindre pour que l'un d'eux vienne m'ouvrir. » Un sourire gêné sur le visage. Et c'est la révélation. Un caleçon. Il n'a pas de caleçon sur lui ; dans sa précipitation du matin lié à l'importance de sa mission-Tyler, il s'est habillé à la va-vite et en a oublié le sous-vêtement. Il sent ses joues rougir légèrement à mesure qu'il se traite mentalement d'idiot alors que le jeune homme qui lui fait face ne peut, logiquement, pas deviner quoique ce soit. A moins d'être doté d'une vision digne des mutants de X-MEN, mais Aloysius n'y croit pas trop.
HJ:
Voilà J'espère que ça t'ira, désolée du retard de ma réponse, ça a été galère cette semaine >< Si tu veux que je change un truc, n'hésite pas
Sebastian Cook
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Sujet: Re: « Qui trouve un ami, trouve un trésor. » - Aloysius & Sebastian. Mar 1 Sep - 8:43
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Sebastian écouta le jeune homme parler, sans rien dire. Il l'écouta, hocha la tête quand il lui expliqua qu'il avait oublié ses clés. Il comprenait : quand il était ado, combien de fois avait-il oublié ses clés ? À chaque fois que ça arrivait, il était obligé d'attendre sa mère, qui lui donnait une petite tape derrière la tête. Il ne pouvait que compatir.
Plus de batterie ? Arf, il connaissait ça aussi. Sebastian hocha la tête et s'apprêtait à dire au voisin d'entrer – il n'allait tout de même pas le laisser dans cette situation –, quand celui-ci devint rouge. Les sourcils de Seb se froncèrent ; qu'est-ce qu'il lui prenait ? Non, le voisin n'était tout de même pas gêné ? Il n'était pas gêné parce qu'il était en serviette ! si ?
Sebastian mordilla distraitement l'ongle de son index, avant de se décaler pour le laisser passer.
« Entres, murmura t-il en le fixant. Au fait, tout va bien ? T'es encore plus rouge qu'un stylo Bic. »
Concernant les expressions, il ne fallait pas trop en demander à Seb. Et puis, il fallait l'avouer, les bêtises qu'ils sortaient en primaire étaient bien plus drôles.
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Sujet: Re: « Qui trouve un ami, trouve un trésor. » - Aloysius & Sebastian. Ven 11 Sep - 17:47
Ses joues sont en feu. Un véritable brasier. Il peut presque sentir les flammes lui brûler la peau tellement la gêne semble importante, tellement il est pétrifié par sa propre stupidité, son énorme étourderie. Il ne sait pas si le plus idiot reste qu'il continue de rougir sans raison – du moins aux yeux de son jeune voisin qui le regarde comme si quelque chose n'allait pas – ou si c'est le fait qu'il ait oublié ce qu'il a pris l'habitude d'enfiler en premier en s'habillant, chaque matin. Encore une chance qu'il n'ait pas vu Arizona ce matin ou il se serait sentit encore plus embarrassé que présentement, si possible. Il finit tout de même par hocher la tête, comme au ralenti, quand son voisin prend des nouvelles. « Hein ? Euh, oui, oui, je viens juste de m'apercevoir que j'avais oublié quelque chose mais rien de grave, t'inquiète pas. » Il tente un sourire, sans doute peu convainquant avant de faire un pas en avant pour entrer dans l'appartement. « Un stylo bic ? C'est rouge un stylo bic ? » Il fronce légèrement les sourcils, un peu perdu par l'expression utilisée. C'est encore l'une des grandes difficultés que l'allemand rencontre depuis que ses frères et lui se sont installés aux États-Unis. En plus de devoir s'adapter à une langue étrangère avec laquelle il avait déjà du mal à l'école dans son pays natal, il se doit aussi d'apprendre les nouvelles expressions afin de ne pas faire de la traduction littérale absolument affreuse. Selon les autres. Lui ne partage pas vraiment cette opinion mais il n'ose jamais se lancer dans un vrai et long débat qu'il sait perdu d'avance.
Il reste dans le couloir, le visage retrouvant sa couleur naturelle affreusement blanche, à observer le jeune homme qui se tiens auprès de lui. « Désolé de t'avoir tiré de la douche... Je me ferai pardonner un de ces quatre, si t'as besoin de quoique ce soit, faudra pas hésiter. » Il se gratte la nuque, se racle légèrement la gorge, sourit faiblement. Il ne sait pas vraiment ce qu'il pourrait lui offrir, puisqu'un semi-chaos règne dans l'appartement des quatre frères mais il ne veut pas se montrer trop pessimiste. Il tourne la tête dans tous les sens, laisse ses yeux se poser sur la décoration d'intérieur agréable à l’œil, sans jamais oser remettre le sujet du téléphone sur le sujet. Sans doute par politesse, ou peut-être par gêne. Il ne va que rarement dans des appartements inconnus avant d'avoir un peu fait la connaissance de l'autre. Et maintenant qu'il y réfléchit bien, il se dit qu'il aurait tout aussi bien pu faire demi-tour pour aller demander de l'aide à Tyler – avec ses tours de passe-passe, le professeur aurait été bien été capable d'ouvrir la porte de la porte sans rien casser – puisque lui aussi, a un portable. Et machinalement, Aloysius joue avec le sien dans sa poche, le laissant effectuer une rotation dans celle-ci et, sans même s'en apercevoir, il se balance légèrement d'en avant-en arrière sur ses pieds en attendant le feu vert pour composer un numéro sur un téléphone qui lui serait confier et réussir à joindre l'un de ses frangins.
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« Qui trouve un ami, trouve un trésor. » - Aloysius & Sebastian.