› pseudo, prénom : Q.L². › âge : vingt-deux ans. › emploi : assistant rédacteur en chef & voleur à ses heures › côté coeur : "je t'aime tellement que je te déteste." › petites lettres envoyées : 224
Ma petite vie To do list: Rp : Oui, je suis ouvert(e) à tout Répertoire :
Sujet: Samuel&Taryn | Ne bouge pas, je suis là. Mar 15 Juil - 11:12
Ne bouge pas, je suis là.
Aujourd'hui est un jour comme les autres : il fait beau, avec une petite brise rafraîchissante. Je me rends chez Taryn, en sifflotant, les mains dans les poches. Ça fait un petit moment que je ne l'ai pas vue ; mon travail me prend du temps, et quand j'ai un jour de congé, je fais la grasse matinée à cause de mes réunions qui durent jusqu'à tard le soir. Mais bon, j'ai fais une exception aujourd’hui. Je tiens vraiment à voir ma meilleure amie. Hum, oui, vous avez bien entendu ! Ma meilleure amie. Qui aurait soupçonné Samuel le gros dur d'avoir une amie ? Une meilleure amie en plus. Mais bon, ça c'est comme ça. Le feeling est tout de suite bien passé entre nous, même si nos caractères sont quasiment à l'opposé. Elle, est douce et gentille alors que moi, franc et repoussant. J'ai tenu à venir chez elle aujourd'hui ; on pourrait croire que je m'incruste chez elle. Bon, ce n'est pas totalement faux, mais je ne veux pas qu'elle se déplace. Elle en est à son .. septième ou huitième mois. Il faut que je lui redemande. Et du coup, je n'ai pas envie de la faire sortir pour venir chez moi ! Bon, quand elle aura le bébé, bien sûr qu'elle viendra chez moi. A force de trop parler et de réfléchir, je suis arrivé devant chez Taryn ; il y a foule, les voitures et les cars passent sur la route, il y a du mouvement, comme d'habitude. Je sonne à son appartement en attendant qu'elle m'ouvre.
Sujet: Re: Samuel&Taryn | Ne bouge pas, je suis là. Mar 15 Juil - 14:01
and your heart is the heart of a life
Affalée sur la chaise longue que j’avais installée sur mon petit balcon, laissant le soleil réchauffer ma peau, je songeais à ces derniers mois, à la souffrance que j’avais ressentie en si peu de temps. Mais je devais relever la tête, continuer d’avancer, pour ma famille, mes amis, celui qui faisait battre mon cœur et surtout pour le petit bout qui grandissait dans mon ventre – et qui verrait très bientôt le jour. Louis était mort, il m’avait lâchement abandonné le salaud (je le maudissais intérieurement, ne cessant de l’engueuler pour m’avoir laissée tomber de la sorte) mais il fallait que je pense à ceux qui étaient toujours là – et qui resteraient là ! Pendant longtemps j’avais pleuré la mort de Louis, je lui en avais voulu, j’étais morte cent fois en pensant à lui, mais à présent je décidais d’avancer – et je savais que c’était ce qu’il aurait voulu. Alors j’avais envoyé un message à mon meilleur ami, Sam. Samuel, il était tout le contraire de moi, j’étais le sel quand il était le poivre, il était le Yang alors que je n’étais autre que le Ying, nous étions comme le jour et la nuit, et c’était ce qui faisait que nous étions si proches. Nous étions l’équilibre. Fallait dire que nous nous étions rencontrés dès mon arrivée. Sam avait décidé de ne pas me laisser de répit. Ce soir-là, le jour de mon arrivée en ville, j’avais eu envie d’aller boire un verre en ville, tranquillement, histoire de m’imprégner de la ville. Ce jeune homme, Ô combien sexy, était venu m’accoster. Bien sûr j’avais tout de suite su qu’il était plus jeune – mais ce n’était pas ça qui m’avait arrêté dans mon élan. Afin de le stopper tout de suite, je lui avais dit que je n’étais pas intéressée, que je venais d’arriver et qu’en plus de tout ça je sortais d’une relation bien compliquée – ce qui n’était que la stricte vérité. Déçut et surtout blessé dans son amour propre, le bad boy s’en était allé… mais c’était sans compter son amour pour le « vol ». Histoire de se dédommager, il m’avait tiré mon portefeuille. Ne m’en rendant pas compte tout de suite, j’étais rentrée chez moi. Ce n’est que quelques jours plus tard, prit de remords – certainement – qu’il était venu me le rendre en mains propres. Depuis ce jour, je n’ai pas lâché Samuel, faisant de lui la personne sur qui je comptais le plus – avec Louis. A présent, il était seul. Seul à me supporte, seul à avoir toute mon attention. Je l’aimais comme un frère, comme un membre de ma famille. Et souvent on était étonné que ce jeune homme m’ait pour meilleure amie. Certes, ce n’était pas le mec le plus sociable, ni le plus tendre ou amical – d’apparence – mais j’avais su l’apprivoiser, le toucher là où d’autres n’avaient pas réussis et fallait dire que je lui rendais bien aussi.
Aussi, je l’avais contacté pour le voir. Cela faisait quelques temps que nous ne nous étions pas retrouvés tous les deux, à parler de tout et de rien, à nous confier nos petits et gros traquas, et ça me manquait terriblement. Je ne savais même pas s’il était venu me rendre visite à l’hôpital après la fête des lumières. Ce fut la sonnette de la porte d’entrée qui m’arracha à mes songes. Rapidement je tentais de me lever, coincée dans mon jean de femme enceinte et surtout handicapée par cet énorme ballon qui me pesait. A peine eu-je le temps d’ouvrir la porte que je vis ce beau regard sur et percutant. Avec toute la force et la rapidité dont je pouvais faire preuve à cet instant précis, je me jetais au cou de mon meilleur ami, tout en enfouissant ma tête dans le creux de son épaule. « Oh dieu, comme tu m’as manqué ! » Après quelques secondes, je décidais d’enfin le libérer. Je m’écartais du chemin pour le faire rentrer. Il avait l’habitude de venir chez moi, il savait qu’il pouvait donc faire comme chez lui. Après avoir fermé la porte derrière lui, je lui dis, tout en m’approchant de lui : « Alors le truand, ça va ? On dirait que t’as pris en muscles ?! » Le taquinais-je tout en lui donnant une petite frappe sur les abdos. J’étais si heureuse de le retrouver.
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.
Samuel N. Hughes
mort N'a de vivant que l'apparence.
› pseudo, prénom : Q.L². › âge : vingt-deux ans. › emploi : assistant rédacteur en chef & voleur à ses heures › côté coeur : "je t'aime tellement que je te déteste." › petites lettres envoyées : 224
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Sujet: Re: Samuel&Taryn | Ne bouge pas, je suis là. Mar 15 Juil - 17:02
Ne bouge pas, je suis là.
Oh dieu, comme tu m’as manqué ! La jeune femme me prend dans les bras, et je lui rends son étreinte ; ça fait extrêmement de bien de se dire que quelqu'un tient à moi, et que cette personne ne me jugera pas quoi que je fasse. Avant que j'ai le temps de répliquer, elle continue. Alors le truand, ça va ? On dirait que t’as pris en muscles ?! Aha, qu'est-ce que ses remarques m'avaient manquées ! Elle les lâche tellement naturellement qu'elle m'épate à chaque fois. Un tel sens de la répartie .. Toi aussi, tu m'as manqué ! Très bien, un peu fatigué, mais très bien ! La salle de sport est ma seconde meilleure amie en ce moment .. Bon, je n'y vais pas souvent. J'ai une morphologie qui me permet de ne pas faire énormément de sport pour avoir ce corps de rêve. Et puis, je ne suis pas un grand amateur de foot, ou de tennis .. Allez, raconte moi tout. T'as quelqu'un en vue en ce moment ? Tout se passe bien pour toi ? Pour ton bébé ? Ya plutôt intérêt que je sois le parrain ! Je ris. Pourquoi ? Parce que je suis heureux. Je n'ai pas à me préoccuper de mes sentiments ; Mauve n'est pas là. Je n'ai pas à m'énerver ; Kaleb n'est pas présent. Il faut et je dois profiter de ma meilleure amie le temps que je peux. Je me souviens de notre première rencontre ; moi, tout beau tout frais, et elle, perdue et nouvelle. J'avais essayé d'en profiter. Elle ne m'a pas résisté, elle a craqué .. ok, c'est pas vrai. Elle a résisté et n'a pas craqué. Je ne sais pas comment elle a fait, j'aurais été une fille, avec mon beau corps d'Apollon, j'aurais vite été louer une chambre d'hôtel. Pas très glorieux, cette rencontre. La suite, mieux, bien entendu. Je m'avance dans son petit salon et m'assois sur le canapé. Ah oui, tiens, j'ai oublié. Je sors de ma poche un petit pendentif, argenté et turquoise, que je tends à Taryn. Cadeau. Et t'inquiète, je l'ai acheté. Je souris en prononçant le mot "acheté". Elle sait très bien à quoi je fais référence.
Sujet: Re: Samuel&Taryn | Ne bouge pas, je suis là. Mar 15 Juil - 23:38
and your heart is the heart of a life
« Toi aussi, tu m'as manqué ! Très bien, un peu fatigué, mais très bien ! La salle de sport est ma seconde meilleure amie en ce moment … » Je lui jettais un regard de biais, avant de lui donner un coup d’épaule : « T’essaie de m’évincer comme ça de ta vie ?? Pouf comme ça, à cause d’une pétasse ? C’est qui celle-là que j’aille la défoncer… » lui dis-je, montant mes poings serrés jusqu’à mon visage, prête à en découdre. Je sais que la scène doit faire sourire… une baleine voulant se battre. La bonne blague. Mais voilà, ça faisait quelques temps que je n’avais pas vu de monde – depuis ma sortie de l’hôpital – Lewyn travaillait, Nymphéa aussi et du coup j’avais tendance à déprimer toute seule chez moi, donc j’avais sincèrement besoin de décompresser et de déconner un peu. Et il était normal que nous rigolions un peu avec Sam . Tandis qu’il s’avance dans mon salon, il me lance : « Allez, raconte-moi tout. T'as quelqu'un en vue en ce moment ? Tout se passe bien pour toi ? Pour ton bébé ? Ya plutôt intérêt que je sois le parrain ! » Tandis qu’il s’affale dans mon canapé. Je ne tiens pas compte de ses questions. Tout d’abord il faut que je lui serve quelques choses à boire, une bière et quelques petits trucs à grignoter. Lorsque je reviens dans le salon – les bras chargés de nourriture - le bel Apollon est assis bien sagement sur mon sofa. Je pose le tout sur la table basse avant de venir m’asseoir à ses côtés – lourdement. Le bébé commence à faire son poids et mon corps a quelque peu du mal à supporter la charge, surtout mon dos. A peine ai-je le temps de souffler, qu’il farfouille dans sa poche à la recherche de quelque chose. Intriguée je le regarde faire et ce n’est que lorsqu’il sort un merveilleux pendentif et le laisse pendre devant mon visage, que je réalise ce que c’est. « Cadeau. Et t'inquiète, je l'ai acheté. » La main devant la bouche, les yeux emplis de larme, je saisis doucement le bijou pour le regarder de plus prêt. Je sais qu’il ne l’a pas acheté, mais je m’en contre-fiche – et pourtant je ne suis pas une « délinquante » mais son geste me fait tellement plaisir que je ne peux que ne pas m’en soucier, du moment qu’il n’a pas de soucis. « Oh chaton ! Merci beaucoup, il est magnifique. » Soufflais-je, le souffle court, la gorge serrée par l’émotion. Rapidement, je lui tourne le dos, et relève mes cheveux, lui faisant comprendre qu’il fallait qu’il me l’accroche.
Le bijou autour du cou, une main posée dessus, je lui fais de nouveau face avant l’embrasser sur la joue. « Tu es fou Sam’ ! » Lui dis-je, tout sourire. Il sait qu’il est fou, nous savons tous qu’il l’est, et c’est certainement ce qui fait son charme. Je décapsule une bouteille de bière avant d’ouvrir un paquet de gâteaux et de faire glisser le tout jusqu’à mon meilleur ami. Je décide de répondre enfin à ses questions : « Et, pourrais-tu cesser de lire dans mon esprit ?! Je voulais profiter de cette occasion pour t’annoncer que tu étais le parrain de ce bébé, si tu le voulais bien. Mais visiblement la question ne se pose plus ! » Dis-je tout en caressant mon ventre rebondi. Bientôt, bientôt, il serait parmi nous. « Eh oui … j’ai rencontré quelqu’un. Un avocat. Mais un avocat terriblement sexy ! Si tu savais Sam… Il s’appelle Lewyn, Lewyn Keynes . » Mes joues s’échauffent soudainement, et la chaleur me monte au visage. C’est de mal en pis, à présent il suffit que je pense à cet homme pour avoir des bouffées de chaleur.
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Samuel N. Hughes
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Sujet: Re: Samuel&Taryn | Ne bouge pas, je suis là. Mer 16 Juil - 8:52
Ne bouge pas, je suis là.
T’essaie de m’évincer comme ça de ta vie ?? Pouf comme ça, à cause d’une pétasse ? C’est qui celle-là que j’aille la défoncer… Ahah, qu'est-ce que j'aime être avec elle ! Toujours la phrase qui fait rire. Pourquoi ne suis-je pas retourner chez elle plus tôt ? Ah oui, le travail. Fuck le boss, tiens. Il me prive de ma meilleure amie. Mais nooon, je vais pas à la salle de sport, tu sais très bien que j'aime pas ça ! C'est juste que mon corps parfait, que le mot parfait n'est pas assez parfait pour lui, reste en forme quoi que je fasse. J'aime tellement plaisanter avec elle ; c'est à peu près la seule avec qui je me sens bien, sans être quelqu'un d'autre, sans dire des choses que je ne pense pas. Lorqu'elle pose tout sur la table basse, je la remercie du regard. J'aurais pu l'aider ! Rolàlà, sur ce coup je ne suis pas un gentleman. Je prends un petit gâteau sur le plateau. Je souris de toutes mes dents quand je lui accroche le pendentif dans le dos. Pensait-elle vraiment que je l'ai volé ? Bon, en tant normal, c'est ce que j'aurais fait ; mais j'ai une petite fortune, petite j'ai dis, héritée de ma mère. J'ai les moyeux d'acheté un pendentif ! Oh chaton ! Merci beaucoup, il est magnifique. Et je l'ai vraiment acheté, hein, pas volé. Oui, c'est étonnant, mais rien n'est trop beau pour toi. Je me repositionne sur le canapé en m'étirant ; c'est la première fois depuis longtemps que je me rends compte que je suis fatigué. Fatigué par mon travail qui me presque tout mon temps, fatigué par mes nuits de quelques heures, fatigué à cause de Mauve, Joey .. Je dois songer à me prendre une petite semaine de congé. Et, pourrais-tu cesser de lire dans mon esprit ?! Je voulais profiter de cette occasion pour t’annoncer que tu étais le parrain de ce bébé, si tu le voulais bien. Mais visiblement la question ne se pose plus ! Sérieux ? Moi je disais ça pour rigoler ! Oh, merci ! C'est génial ! .. c'est une fille ou un garçon ? Je ne lui ai pas encore posé la question, je ne sais pas pourquoi. Je voulais préserver le mystère, ou bien ? Eh oui … j’ai rencontré quelqu’un. Un avocat. Mais un avocat terriblement sexy ! Si tu savais Sam… Il s’appelle Lewyn, Lewyn Keynes . Et merde ! Si ma meilleure amie se met à fréquenter des avocats, je suis foutu moi, foutu ! Elle aurait pas pu choisir .. un peintre ? Parce que ce que je fais la nuit n'est pas très .. autorisé. Toute mes affaires de cambriolages, vols ont été abandonnées, faute de preuve. J'espère que Taryn ne fera pas de gaffes concernant ce sujet. Super ! C'est génial ! Je suis super content pour toi, vraiment. Bien sûr que je suis heureux pour elle ; je suis juste préoccupé par mon cas, en bon égoïste que je suis.