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| "My aspiration in life would be to be happy..." | |
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MOJO JOJO, bad b*tch› pseudo, prénom : Nadko' › âge : 21 ans › emploi : Etudiante › côté coeur : Est-ce que j'en ai un ? › petites lettres envoyées : 377
| Sujet: "My aspiration in life would be to be happy..." Sam 10 Jan - 19:43 | |
| Joey Chelsy Fleming Sois belle et tais toi > play Ici on m'appelle Joey ou plus communément Jojo / Mojo Jojo. Je suis née un certain 10 Avril 1993, si vous savez compter j'ai donc 21 ans dans cette magnifique ville qu'est Siloam Springs. Pour payer mon carton de luxe, je suis étudiante mais papa paye toutes mes dépenses. Dans la vie c'est un peu pas la misère et je ne partage pas ma vie avec quelqu'un. On dit souvent de moi que je suis drôle, souriante, optimiste, mais aussi capricieuse, flemmarde et têtue, c'est pour ça qu'on me trouve chez les Sunlight. Franchement, je trouve que je ressemble pas mal à Ashley Moore et d'ailleurs ses photos/gifs viennent de TUMBLR. |
⊱ N'aime pas ranger ⊱ Son père lui paye tout ⊱ S'est faite agressé sexuellement ⊱ Sa maison est grande mais est un vrais capharnaüm ⊱Est toute mince mais mange n'importe quoi ⊱ Sait que la plupart de ses amis sont des hypocrite ⊱ Ne s'attache jamais vraiment ⊱ Aime faire la fête ⊱ Se nourrit principalement de chips. ⊱ N'est jamais tombé amoureuse ⊱ Fume et bois régulièrement ⊱ S'est récemment fait tatoué et fais faire une dread locks ⊱ N'a jamais connue sa mère
crédits unicorn |
let's talk about you ? Ton pseudo/prénom : NadkoÂge : écrire ici Pays/région : Paris avis sur notre beau CC ? : Perfect as always Souhaites tu être parrainé(e) ? : Nope Ton dernier mot Jean-Pierre ? : I believe I can flyyyyyyy - Code:
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ASHLEY MOORE[color=#db0b32]♦[/color] Joey C. Fleming
Dernière édition par Joey C. Fleming le Sam 10 Jan - 20:22, édité 2 fois |
| | | MOJO JOJO, bad b*tch› pseudo, prénom : Nadko' › âge : 21 ans › emploi : Etudiante › côté coeur : Est-ce que j'en ai un ? › petites lettres envoyées : 377
| Sujet: Re: "My aspiration in life would be to be happy..." Sam 10 Jan - 19:44 | |
| Pretty Hurts Don't you remember I'm your baby girl? How could you push me out of your world.
Beaucoup de gens m'estime chanceuse d'être née dans cette famille. Moi non. J'aurais voulu ne pas naître mais ça personne ne le sait. Je n'ai rien demander à personne et pourtant. Non je ne suis pas suicidaire rassurez vous. C'est juste que quand je repense à tout ce que j'ai vécu parfois je me demande si cette souffrance en valait le coup.... Allé assez de déprime. Je m'appelle Joey, Joey Fleming. Fille du président de la chaîne anglaise d’hôtel restaurant Fleming. Rien de vraiment impressionnant, c'est vrais que mon père est blindé de tune mais c'est pas comme si j'étais la fille de Yves saint Laurent vous voyez. Mon père est anglais mais sa résidence principale s'est toujours, trouvé dans la petite ville de Siloam Springs ne me demandez pas pourquoi. Je ne suis pas une de ces enfants conçu par un couple de riches conventionnelles et gâté pourrit. Non, ma mère est une prostitué Japonaise dont mon père s'est bêtement amouraché. Durant un voyage d'affaire de mon père, elle lui a fait croire en de vrais sentiments alors qu'elle en avait qu'après son argent : quel triste histoire. Quand j'ai eu deux ans c'est la qu'il s'en ai réellement rendu compte et qu'il a enfin décidé de la quitter. Par contre elle lui a clairement fait comprendre qu'elle ne voulait pas de moi , donc il fut dans l'obligation de me garder voilà. Après ça mon père n'a plus jamais sue montrer de l'affection à qui que ce soit, ni même à moi. En faite dans le fond je crois que je lui rappelait trop ma mère tout simplement. J'ai du grandir élevé par ma nanny Mariza , qui comblait les absences prolongés à répétition de mon père. Je l'ai mal vécu au début mais au final c'était ma vie et j'adorais passé du temps avec Mariza. C'était une personne pleine de bonté, celle qui m'a appris à relativisé et a être sans cesse optimiste. « Tu es belle, brillante et intelligente. » ; voilà ce qu'elle me répétait souvent, me donnant tout l'amour que je n'avais pas de mon père , en mieux même. Jusque l'âge de l'adolescence tout se passait relativement bien. Mais malheureusement arrivé à l'age de 13 ans mon ciel bleu s’obscurcie. A mon entré au collège j'avais déjà été victime de moquerie vis à vis de mon physique assez particulier : j'étais afro-américaine et japonaise ce n'était pas très fréquent. Mes yeux tirés provoquaient les moqueries de certains enfants, ce n'était que de temps en temps au début. Puis cela devint constant, jusqu'à en venir à la violence physique. Je ne disais rien à Mariza parce que je voulais lui montrer que tout ce qu'elle m'avais appris : être forte, relativisé, être optimiste , je ne l'avais pas oublié. Mais c'était beaucoup trop pour une petite fille de mon age, et un jour je rentra de l'école en pleures Mariza me força à tout avouer et je n’eus pas d'autre choix. Mariza prit rendez-vous avec le directeur de l'établissement pour arranger ce problème qui était selon elle aller beaucoup trop loin. Elle m'engueula me disant que j'aurais du lui en parler bien avant. Les trois filles qui me causaient problèmes arrêtèrent toutes agressions et n'osaient même plus me regarder après ça. Après ça je considérais Mariza comme une sorte de héro, le héro de ma vie. Elle jouait parfaitement le rôle de ma mère et de mon père à la fois, m'aimant et me protégeant . Mon père n'était qu'une sorte de porte feuille dans tout cela qui sponsorisait ma vie sans jamais y participer. Chaque fois qu'il était à la maison une sorte de tension régnait dans la maison. Je vivais plutôt bien son absence jusqu'à ce que je rentre au lycée. Ma période de rebellions disons. Ce n'était pas que Marisa ne me suffisait plus c'était que je me rendais compte qu'elle avait une vie elle aussi. Elle avait rencontré un homme et je n'étais plus du tout sa priorité même si elle était toujours très présente, je me sentais abandonné. Je commençais à sortir en soirée, fumer, boire et sortir avec les garçons … Surtout sortir avec les garçons en faite, tellement que j'en avais même une mauvaise réputation (En même temps quand tu sors même avec les garçons qui sont déjà prit, c'est sur que ça t'aide pas à être appréciée). La petite fille peu sur d'elle au physique disgracieux que j'avais été avait laissé place à une jeune femme très coquette. J'avais découvert les joies du maquillage et des vêtements acheter avec l'argent si facilement obtenu de mon père. Ce que les gens ne savaient pas c'est que c'était une sorte de masque que je m'étais construit pour ne pas souffrir. Pour ne pas avoir à m'ouvrir réellement ne pas parler des choses qui me faisaient souffrir. Mais je m'en fichais, je m'en fichais parce que c'était ce que tous le monde voulait voir ce masque, et je voulais que tout le monde me regarde alors ça tombait bien. Jamais de vrais amis, jamais tomber amoureuse pour de vrais, toujours garder un tour d'avance, toujours … Toujours … Mais quand tout ce qui vous entoure vous parait artificiel il est très difficile de garder pied. C'est ainsi que je fis une fugue à l'age de 17 ans. Accompagné de mon meilleur ami de l'époque on s'est simplement enfuie. Il avait des amis majeurs qui nous emmenèrent à Tulsa dans l'Oklahoma, l'état voisin, en quelques jours. On avait pas de plan, on voulaient juste s'en aller et s'amuser. Sauf que ses « dit » copains n'étaient pas uniquement remplient de bonnes intentions. Et ça, je l'appris à mes dépends. Lorsque je sentis des mains se poser sur moi dans la voiture la ou nous dormions. Des mains que je tentais de repousser mais en vint. Je finis par crier et réussir à m'échapper de la voiture. Je courais sur la route pendant un long moment avant qu'une voiture de police ne croise mon chemin. Je crois que c'est à ce moment précis que mon père compris qu'il avait tout raté me concernant: quand j'ai vu la tête triste et colérique qu'il avait quand il vint me chercher au commissariat. Mais il compris que ce n'était pas à lui de me passer un savon mais à Mariza. Elle n'avait jamais été aussi déçu de moi et je la compris entièrement. Je ne parlais à personne de ce qu'il s'était passé dans cette voiture et c'était mieux comme ça. Beaucoup mieux comme ça. Le reste de mes années lycée passèrent assez rapidement. A la fin de celle-ci Mariza donna naissance à une petite fille que je considère aujourd'hui comme ma petite sœur : Alyssa. Elle due démissionné de son poste pour s'occuper entièrement de son petit bout de choux, cela me rendit triste mais j'étais grande maintenant paraissait-il. Ma première année à la faculté se passa relativement bien , même si j'avais du mal à m'y faire des amis. Mon père essayait d'être la plus souvent mais c'était difficile étant donné qu'on avait jamais construit de relation père-fille. Je n’eus pas ma deuxième année , je sortais de plus en plus en soirée et m'était mise à fumer de plus en plus de shit. Quand mon paternelle apprit que je fumais de l'herbe n'avait rien trouvé de mieux que de me chasser de chez lui pour me mettre dans une autre maison un peu plus petite mais toujours trop grande pour une personne. Disant qu'il ne voulait pas de ça sous son toit. Il avait juste omis le détail que je n'avais pas de quoi payer et qu'il fallait de toute manière qu'il me donne des sous. (Et non papa tu ne te débarrassera pas de moi comme ça !) En bref aujourd'hui je vis dans une maison à Siloam Springs toute seule . La maison dans laquelle j'ai grandis est actuellement a vendre (ne me demandez pas pourquoi, ni ou vie mon père maintenant) et j'ai finalement eu ma deuxième année de Mathématique informatique, j’entame la troisième l'an prochain (pas motivé du tout). Mon père paye le loyer quand il n'oublie pas et m'envoie des sous pour que je me paie à manger : quand il n'oublie pas aussi. Il parait qu'un ami à un cousin à moi va venir squatter chez moi. J'ai pas dis non parce que la solitude commence vraiment à me lassé.
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