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| à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya | |
| Auteur | Message |
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› pseudo, prénom : lollipop. › âge : trente-deux ans. › emploi : mécanicien & trafiquant d'armes. › côté coeur : elle m'attire. elle m'obsède. je la désire. T. ♥ › petites lettres envoyées : 181
| Sujet: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Jeu 16 Avr - 18:07 | |
| Pour la énième fois de ma vie, je franchissais la porte du commissariat. Ce lieu ne m'était plus inconnu désormais. Mais en revanche, venir ici menotté par la femme de ma vie était une première pour moi. Je suivais Talya sans rien dire. Ses collègues ne me lâchaient pas des yeux. Ça en devenait chiant un peu mais bon, je ne pouvais rien dire. Déjà que me retrouver ici me stresser pas mal, je ne voulais pas mettre de l'huile sur le feu. Talya venait de me laisser dans l'entrée du commissariat. Elle était partie dans son bureau je pense et tous ses collègues ne cessaient de me regarder. « Vous voulez ma photo ? » Balançais-je sans détourner le regard. Je connaissais la plupart des policiers présents à cet instant. J'en avais côtoyer plusieurs et à chaque fois, je leur avais foutu la plus belle honte de leurs vies. Ils avaient sûrement envie de se venger et là, c'était le moment idéal. Bah ouais, j'étais menotté sans moyen de me défendre. Je priais très fortement que Talya revienne le plus vite possible. « Alors Jackson ! On fait moins le malin là ! » Me lançait un des policiers. Je ne prenais même pas la peine de répondre mais bon, je ne faisais pas le malin. Loin de là. Assis sur ma chaise, je ne disais rien. Je me demandais ce que Talya pouvait bien fabriquer pour que ça soit aussi long. Était-ce un piège ? Était-elle de mon côté ? Ou alors était-ce une simple stratégie pour me faire tomber ? Je doutais oui mais je ne voulais pas croire que Talya puisse me faire ça. Pas elle, non.
Alors que j'étais tranquillement assis dans l'entrée du commissariat, je vis un des hommes de Talya s'avançaient vers moi. J'avais tellement été perdu dans mes pensées que je n'avais pas remarqué que tout était vide autour de nous. Il avait l'air mauvais. Il vint m'attraper par le col de mon tee-shirt « Qu'est-ce que tu me veux putain ? » Mais il ne répondait rien. Il contentait de me foutre son poing dans la figure. J'aurais pu répliquer. Ouais j'aurais pu ou dû plutôt mais non, je ne faisais rien. Je ne faisais qu'encaisser les coups de poings en silence. Talya n'allait sûrement pas tarder donc il allait sûrement se retrouver comme un con d'un moment à l'autre. Mais elle n'arrivait pas. Bordel ! Elle fout quoi là-dedans ? Elle se tape l'un de ses collègues ou quoi ? Le visage. Le torse. Le bas ventre. Je recevais des coups de poings partout mais jamais je ne me retrouverais par terre pour lui. Je tenais bon même si je sentais du sang couler de mon arcade. Soudain, je sentais la présence de Talya derrière moi. Je la reconnaissais à l'odeur de son parfum si délicieuse qui me faisait tant craquer.
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| | | › âge : 26 ans › emploi : policière › petites lettres envoyées : 228
| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Sam 18 Avr - 12:43 | |
| J'étais dans le bureau de mon chef, je venais de laisser Liam sur une chaise dans le commissariat. Je savais du moins je l'espérais que personne n'aie soudain envie de lui faire payer tout ce qu'il avait fait. Sauf que voilà j'étais peut être un peu trop naïve. Dans le bureau de mon chef je parlais du cas de Liam. Je voulais l'interroger lui faire cracher le morceau, bref je voulais mettre toutes les ordures qui l'avaient poussé à faire une telle chose, en prison. Je ne supportais pas de le voir en ces murs.
"Je mènerais l'interrogatoire chef, personne d'autre que moi"
"Callaghan je sais que vous êtes venu exprès mais vous devez comp"
"Non il n'y a rien a comprendre je suis ici je mène cette enquête depuis le depuis et c'est grâce à moi que Jackson est ici avec tout le respect que je vous dois c'est comme ça "
"Bon très bien"
Je fis un signe de tête à mon chef et tournais les talons pour aller retrouver Liam. J'accélérais le pas quand j'entendais Liam crier et mes collègues rigoler. Mon sang ne fit qu'un tour. J'agrippais l'un des gars pour le pousser et l'écarter de Liam. Les autres rigolaient je les poussaient aussi assez fort.
"Bande de crétins aller vous faire foutre et toucher a votre cul bordel... Regarder dans quel état vous me l'avez mis, faudra pas s'étonner si il nous balance rien apres.... Bande de con"
J'attrapais Liam pour qu'il se relève je n'étais pas très tendre parce que je ne voulais pas que l'on soupçonne quelque chose. Je le tenais légèrement et on marchait jusque dans une cellule.
"Tu vas rester là et je vais chercher de quoi de soigner..."
Je m'approchais de son oreille pour lui chuchoter quelques mots tout en lui caressant la joue proche du mur pour que personne ne remarque quoique se soit.
"Je suis désolé Liam" |
| | | › pseudo, prénom : lollipop. › âge : trente-deux ans. › emploi : mécanicien & trafiquant d'armes. › côté coeur : elle m'attire. elle m'obsède. je la désire. T. ♥ › petites lettres envoyées : 181
| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Dim 19 Avr - 12:29 | |
| La plupart des collègues de Talya je les connaissais plus ou moins. J'avais déjà eu à faire à eux lors de leur descente au club mais aucun d'eux n'avaient réussis à nous coincer. Talya était la première. J'étais un peu vexé de me retrouver ici et j'espérais vraiment que ça soit Talya qui mènerait l'interrogatoire. Je serais sûrement bien plus bavard avec elle qu'avec quelqu'un d'autre. Tandis qu'elle était partie dans son bureau, je patientais tranquillement dans le hall d'entrée du commissariat. Tout aurait pu très bien se passer mais voilà, les collègues de ma chère et tendre Talya ne l'entendaient pas ainsi et il semblerait qu'ils se soient mis en tête de me faire payer les mois qui s'était passé à se faire humilier par les membres de mon club et moi-même. Je priais pour que Talya revienne assez rapidement. Ces collègues s'en donnaient à cœur joie pour me frapper. J'aurais pu répliquer mais non. Je ne faisais rien. Je me trouvais déjà au commissariat pour le trafic d'armes, ne rajoutons pas violence sur un officier de police. « Bordel mais lâchez moi ! » Je hurlais. J'essayais de me faire entendre mais ils étaient vraiment butés. Soudain, je sentais la présence de Talya derrière moi. Son parfum, je le reconnaîtrais entre mille. Talya prenait ma défense ? Ça allait paraître louche non ? Qu'importe. Elle savait sûrement ce qu'elle faisait de toute façon. Je me relevais et suivais à nouveau Talya jusqu'à une cellule.
Le long de mon arcade, le sang coulait. Je le sentais mais je n'en avais rien à foutre. À cet instant, je pris conscience de ce que je faisais depuis des années. Ma vie s'était n'importe quoi. Je faisais le mal. La plupart des habitants de Siloam me détestaient. Et puis Azalyne avait raison. Je ne valais rien et Talya n'avait aucune raison de sortir avec un mec comme moi. Il fallait que je change. Que je devienne quelqu'un de bien pour elle, pour nous. Talya me demandait de rester ici, de ne pas bouger. Elle voulait que j'aille où hein ?! « Je ne partirais pas Talya. » J'avais besoin d'elle dans ma vie. Besoin qu'elle m'aide à me sortir de ce merdier. Je n'y arriverais pas seul. J'avais bien tenté de le faire autrefois mais à chaque fois, je replongeais aussitôt. Je n'étais qu'un bon à rien. Dans l'une de ses crises de paranoïa, ma mère me l'avait déjà dit et voilà pourquoi je ne vivais plus avec elle. J'étais partis de chez moi il y a maintenant plusieurs années. Mais néanmoins, elle me manquait et je me demandais bien ce qu'elle devenait. De toute façon, elle n'avait jamais pris la peine de me chercher et de reprendre contact avec moi. Talya me disait qu'elle était désolée. Les mains toujours menottées, je me rapprochais d'elle et vint enfouir ma tête dans le creux de son cou. J'avais juste besoin d'elle à cet instant. De la sentir près de moi même si ces collègues et son boss se trouvaient dans le commissariat eux aussi. « Ne le sois pas ma jolie. C'pas ta faute s'ils sont mentalement attardés. C'toi qui me fait l'interrogatoire je suppose ? » j'aurais aimé l'enlacer dans mes bras mais bon, tant pis. Je me contentais de l'embrasser tendrement dans le cou et aussi, de lui mordiller le lobe de l'oreille. Je savais qu'elle avait toujours bien aimé ce genre de choses.
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| | | › âge : 26 ans › emploi : policière › petites lettres envoyées : 228
| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Lun 20 Avr - 22:11 | |
| Dans la cellule avec Liam, j'avais mon coeur qui battait à la chamade, j'avais envie de tout casser et surtout de leur casser leur tronche a tout ces crétins ambulant. Je pouvais comprendre qu'ils aient envie de vengeance après tout Liam n'est pas un enfant de coeur, mais j'étais tellement tirailler entre deux fronts que je ne savais plus sur quel pied je devais danser. Je devais faire mon job et en même temps je voulais nous protéger, Liam et moi. Ca relevait du géni d'y parvenir ou de la folie je ne sais guère.
Finalement je décidais de me calmer un instant en me posant sur l'espèce de banc en béton de la cellule de Liam. Je sentais sa présence qui se rapprochait de plus en plus de moi. Sa tête vint se poser sur le creux de mon cou. Je sursautais un peu car il savait très bien que c'était risquer de faire ce genre de chose ici même.
"Des gros débiles"
A l'intérieur de bouillonnais, bien sûr que j'aurai fait exactement la même chose a n'importe qui sauf que c'était Liam qui était dans ces locaux. Heureusement, d'un sens que nous avions ce lien, sinon on avancerait jamais dans cette enquête et surtout Liam ne dirait jamais rien. Ce fut d'ailleurs la principale raison pour laquelle j'avais insister sur le fait que je devais mener l'interrogatoire. J'avais eu gain de cause. De plus j'étais revenu de Chicago en partie pour traquer Liam. Mais les sentiments avaient repris le dessus, désormais je ne voulais plus le traquer pour le mettre en prison, je voulais qu'il stoppe tout cela, tout en ayant un oeil sur lui, le protéger coute que coute.
Tandis que j'étais perdue dans mes pensés j'en avais oublier le visage de Liam blottis dans mon cou. Je revins a la réalité quand je sentis ces lèvres prendre possession de mon lobe d'oreille. Je m'écartais automatiquement même si un frisson tout entier me parcourais le corps.
"Liam arrête, si on nous voit s'en est fini pour tout les deux."
Je me relevais pour être en mesure de lui soigner son arcade qui saignait encore. Je comprimais un peu la plaie, soudain je vis l'un de mes collègues qui me regardait.
"Dégage Walace, t'en a déjà assez fait comme ca"
"Sinon quoi Callaghan tu vas faire quoi hein tu crois que tu m'impressionne a bouger ton ptit cul comme ca"
A ce moment là, je lâchais ce que j'étais en train de faire a Liam pour foncer droit sur Walace. Je l'agrippais par le col de sa veste d'uniforme. Bien entendu j'étais plus mince et fragile que lui, mais j'avais quand même une sacrée force quand on commençait a trop me chauffer je savais répondre en conséquence.
"Écoute moi bien Walace, tu ouvres encore une fois ta putain de grande gueule tu vas retrouver tes ptits copains en taule est ce que je me suis fait bien comprendre."
Alors que je retournais dans la cellule de Liam, je me tournais encore plus rapidement, comme un volte face pour coller un poing dans la figure de Walade. Le dernier ce prit les barreau de la cellule avant de marmonner quelques injures et de repartir dans son coin
"Que je te vois plus trainer ici ou je te brise"
J'entends la porte du couloir claquer, je suis tellement pleine d'adrénaline a ce moment que j'en oublie que je suis dans un commissariat. J'ouvre la case de Liam avant de me ruer sur lui et de l'embrasser a pleine bouche en le poussant contre les barreaux. Tout en faisant cela, je tente d'attraper mes clefs afin de lui défaire les menottes.
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| | | › pseudo, prénom : lollipop. › âge : trente-deux ans. › emploi : mécanicien & trafiquant d'armes. › côté coeur : elle m'attire. elle m'obsède. je la désire. T. ♥ › petites lettres envoyées : 181
| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Mar 21 Avr - 10:38 | |
| Je savais que Talya ne laisserait pas ses collègues me foutre une raclée. Certes, je le méritais mais ils étaient censés être flics et donc capable de conserver leur sang froid. Je savais que je mettais Talya dans une position inconfortable. La faire choisir entre son travail et moi, ça devait être horrible. Je pourrais quitter le club et être avec elle. Ou bien elle pourrait quitter la police mais non, Talya semblait tellement épanouie dans son job que je ne pouvais pas lui demander une telle chose. L'une des meilleures solutions seraient de tirer un trait définitif sur Talya mais je ne le pouvais pas. Il m'était impossible de tirer un trait sur elle. D'imaginer ma vie sans elle. J'avais dû vivre quelques longs mois sans elle et ça avait été la période la plus difficile de toute ma vie. Plus jamais. Bref. Talya m'avait traînée jusqu'à une cellule vide. Elle soignait mes blessures et je ne pus m'empêcher de caler ma tête dans le creux de son cou. C'était risqué certes mais tant pis, Talya et moi étions liés depuis des années et je refusais de la perdre pour de bon. « Mais toi t'es pas une grosse débile. T'es une personne géniale et je m'en veux de te mettre dans une telle situation. » Lui disais-je en lui caressant la joue.
Talya allait vouloir que je lui fournisse le nom de mes contacts à qui je revendais toutes ces armes de guerre mais j'avais peur. Plus pour elle que pour moi en fait. C'était des gens dangereux et je pense que tuer une flic ne les dérangeraient pas vraiment. Puis, nous venions d'être interrompus par un type qui parlait d'une manière que je n'aimais pas trop à Talya. Mais pour qui il se prend de lui parler comme ça ? Il avait de la chance que j'avais les mains menottés parce que sinon je lui aurais collé mon poing dans la figure. Je bouillonnais de l'intérieur. Il n'avait aucun droit de lui parler de la sorte. A moins d'être son boss et quand bien même, il n'avait pas le droit non plus. J'étais peut-être le mec le moins fréquentable de cette ville mais je respectais les femmes. Je ne les insulterais jamais et les traiterais comme elles le méritaient. Mais Talya ne se laissait pas faire. Elle vint le remettre à sa place. Je l'avais toujours connu avec un fort caractère mais là, c'était quelque chose. Puis le mec s'en allait et nous laissait enfin seuls tous les deux. Personne ne se trouvait autour de nous mais mon envie pour elle ne faisait que grandir. « T'es toujours aussi sexy quand tu te mets en colère princesse. Il a de la chance que j'étais menotté. Il a aucun droit de te parler comme ça. » Puis, elle vint me sauter littéralement dessus et m'embrasser. J'en étais un peu surpris mais ravis aussi. Tant pis si nous nous trouvions dans un commissariat. Talya avait une telle emprise sur moi. Quoi qu'elle fasse, quoi qu'elle dise elle arrivait toujours à me faire un effet de dingue. Elle vint ensuite libérer mes mains des menottes. L'attrapant par la taille, je vins l'allonger sur le blanc et me glisser entre ses jambes. Mon sexe commençait à bien se dresser dans mon pantalon déjà. Je répondais à chacun de ses baisers. Lui soulevant son haut, je vins déposer des baisers sur son ventre, ses côtes, ses seins. J'avais terriblement envie d'elle. « Là ? Tout de suite ? Maintenant ? » Disais-je entre deux baisers. Talya et moi n'étions pas un couple mais nous ne pouvions nous passer l'un de l'autre. Mais je ne voulais pas que notre relation soit basée uniquement sur le sexe. Mais pour le moment, c'était le mieux. Je continuais de l'embrasser fougueusement.
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| | | › âge : 26 ans › emploi : policière › petites lettres envoyées : 228
| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Jeu 23 Avr - 21:24 | |
| Après avoir foutu mon collègue dehors, je m'étais littéralement jeté sur Liam. Prise d'une forte pulsion c'était comme impossible de me contrôler. Je ne sais pas pourquoi maintenant et tout de suite et surtout ici. Nous pourrions nous faire prendre de tous, mais étrangement en ce moment je m'en moquais totalement. J'entendais Liam balancer deux ou trois mots, oui heureusement pour lui que Liam était encore attaché. Je ne lui répondais pas, trop occupé a chercher mes clefs afin de le libérer. Ni une ni deux, à peine Liam était détaché qu'il vint m'attraper pour m'allonger sur le banc. Bien entendu je le laissais faire, je souriais malicieusement. Il était déjà très entreprenant, mais la suite me fit glousser. Je devais me faire discrète donc je devais me retenir. Je fis un sourire en coin avant de lui attraper le visage.
"Oh que oui sinon je te laisse ici pour toujours"
Je vins prendre son visage pour l'embrasser a mon tour a pleine bouche le caressant et surtout glissant mes mains sous son haut.J'enroulais une de mes jambes autour de ces fesses, malgré tout nous devions aller assez vite, je ne souhaitais pas que quelqu'un nous découvre. Son haut se retrouvant au sol, je pouvais vraiment sentir la chaleur de son corps, il me brûlait presque. Je couvrais son torse de baiser. Toujours en position de soumise, je cherchais a défaire son bouton, une fois chose faite, Liam mit un peu du sien en retirant de lui même le plus gros morceau de tissus qu'il portait.
Pourquoi est ce que notre relation était qu'ainsi? tout simplement parce que tout nous éloignait et cette situation le prouvait bien. Liam était en prison, du moins en détention et c'était a cause de moi, ou du moins j'étais la personne responsable de cela. Même si au départ Liam a fait ces choix tout seul. Je me re-concentrais sur ce que nous étions en train de faire, il ne me restait que mes sous-vêtements sur le corps.
Soudain j'entendais du mouvement un peu plus loin. Mon coeur battait a la chamade, ca y est c'était fini pour nous, encore plus pour moi. Je me crispais, je regardais Liam dans les yeux, il pouvait ressentir mon mal-être. Finalement c'était qu'une fausse alerte. Je plongeais mon regard dans celui avant de venir chercher le contact de ces lèvres et bien plus encore, celui de son corps.
"suis je toujours aussi impressionnante?"
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| | | › pseudo, prénom : lollipop. › âge : trente-deux ans. › emploi : mécanicien & trafiquant d'armes. › côté coeur : elle m'attire. elle m'obsède. je la désire. T. ♥ › petites lettres envoyées : 181
| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Ven 24 Avr - 16:16 | |
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Une fois que le collègue de Talya fut partis – le plus loin possible j'espérais – elle vint se jeter sur moi et m'embrasser avec fougue. Je répondais à chacun de ses baisers. Talya vint me retirer les menottes. Aussitôt libre, je vins l'allonger sur le banc et me glisser entre ses jambes. Comme à chaque fois que je me retrouvais dans ce genre de position avec Talya, je ne me faisais pas prier. Chaque fois, je crevais de désir pour elle. Mon sexe était déjà bien dressé dans mon caleçon. Nous devions faire vite pour ne pas se faire griller par les collègues de bien-aimée. Mais je voulais aussi prendre mon temps avec elle. Prendre le temps afin qu'elle me supplie de passer aux choses sérieuses. « ça ne me dérange pas de rester éternellement seulement si tu restes avec moi bébé. » Lui disais-je entre deux baisers fougueux. Baiser avec une flic était l'un des fantasmes de pas mal de types mais moi, il n'y avait pas que ça. J'étais totalement épris de Talya. Elle avait une emprise de folie sur moi. Avec n'importe quel autre flic, je ne me serais pas laisser embarquer si facilement mais là, Talya était différente. Déjà, elle était mille fois plus sexy que les autres flics de Siloam et puis bon, c’était Talya quoi. Nous avions un long passé en commun elle et moi. Un passé long comme mon bras. Et l'avenir ? Je ne savais pas ce que l'avenir nous réservait à Talya et à moi. Pour le moment, je me contentais de ce petit moment d'intimité qui nous était gracieusement offert.
Alors que nous étions l'un sur l'autre, des bruits de pas s'approchaient de nous. Mon cœur s'accélérait, tout comme mes caresses sur sa cuisse. Finalement, ce n'était qu'une fausse alerte et nous pouvions continuer de s'embrasser, se toucher, de se désirer. Nous nous retrouvions rapidement sans vêtements. Seuls nos sous-vêtements étaient encore en place. Sa jambe se trouvait autour de ma taille. Elle me tenait prisonnière. « Tu sais que t'es en train de réaliser un de mes fantasmes princesse. » Disais-je en déposant des baisers sur ses seins. Ça me tuait littéralement que Talya et moi ne pouvions pas être ensemble. Tant que je serais un petit trafiquant, je ne pourrais pas être officiellement son petit-ami. Mais je ne voulais pas non plus la voir heureuse avec un autre mec que moi. Même si elle méritait d'être heureuse, je ne pouvais pas supporter de la voir dans les bras d'un autre. Je savais qu'il s'était passé un truc avec Wade mais je ne savais pas quoi et je ne voulais pas le savoir. Je venais de retirer les sous-vêtements de Talya pour les lancer au sol. Puis, mon caleçon vint les rejoindre et la jeune femme commençait à jouer avec mon sexe. Je lançais de légers gémissements de plaisir. Il fallait être discret tout de même. Talya me demandait si elle était toujours aussi impressionnante.
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| | | › âge : 26 ans › emploi : policière › petites lettres envoyées : 228
| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Sam 25 Avr - 11:58 | |
| Finalement les pas n'étaient que des murmures, heureusement pour nous sinon on pouvait dire au revoir à nos tête respective. Entre Liam et moi il y avait le feu la passion, mais on s'était détruit avec le temps. Sauf qu'aujourd'hui, depuis que je suis de retour, c'est comme si tout ce que j'avais accumulé a ce jour, contre lui s'était envolé. La première fois que l'on s'était revu on avait couché ensemble, pou dire a quel point nous sommes des compatibles, bien que le sexe ne résume pas tout. Je ne pouvais me résigner a lui faire a peau, essayer de le sortir de cette merde oui c'était mon premier but, avant c'était de le mettre en prison mais aujourd'hui...je le veux pour moi toute seule. Suis-je de nouveau amoureuse? peut être bien, en vérité peut être que je l'ai toujours été mais que je me voilais la face.
Alors que nous étions encore en train de faire la meilleure des choses au monde, l'amour, Liam me lançait que c'était l'un de ces fantasmes. J'arquais un sourcil, intrigué mais amusé de l'entendre. Je dois bien dire qu'en y réfléchissant un minimum faire l'amour dans une cellule a un côté vraiment dangereux et j'adore.
"J'en suis plus qu'heureuse que se soit avec moi Liam"
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| | | › pseudo, prénom : lollipop. › âge : trente-deux ans. › emploi : mécanicien & trafiquant d'armes. › côté coeur : elle m'attire. elle m'obsède. je la désire. T. ♥ › petites lettres envoyées : 181
| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Sam 25 Avr - 13:14 | |
| Ce moment, avec Talya, qui nous était offert me rendais heureux. Certes j'avais un peu du mal à voir qu'on ne pourra jamais être ensemble elle et moi. Enfin si, peut-être qu'on pourrait l'être mais pour ça il fallait que je quitte le club et jamais, ils ne me laisseront partir comme ça. Pas sans représailles du moins. Mais pas question de penser à ça. Pour le moment, je m'appliquais grandement à faire l'amour avec Talya. Je lui donnais de puissants coups de reins qui lui déclenchaient quelques gémissements. Pour couvrir nos bruits, je vins capturer ses lèvres et l'embrasser avec passion et fougue. En fait, je préférais même baiser simplement avec elle que de ne pas la voir près de moi du tout. Une vie sans Talya ne valait pas la peine d'être vécue selon moi. Enfin pour ma part du moins. Je venais de plaquer ma bien-aimée contre le mur. Mes mains sur ses fesses, je la tenais fermement pour ne pas qu'elle puisse tomber. C'était tellement intense entre nous de toute façon. Chaque fois qu'on baisait ensemble, nous étions au top de notre forme. Talya m'encourageait à continuer. Faire l'amour avec une flic était une chose mais le faire dans une cellule avec une flic s'en était une autre. J'aurais très bien pu la corrompre et la ranger du côté du club mais non, je ne voulais pas la mêler à ça. Je voulais juste sortir de ce merdier et vivre tranquillement et heureux avec elle pour le reste de notre vie.
Continuant donc à lui faire l'amour assez sauvagement, nous arrivions au point de non retour. Dans un soupir de plaisir, je terminais mes vas et viens en la gardant contre moi. Ma tête entre ses seins, je reprenais tant bien que mal mon souffle. « Tu.. Tu es toujours aussi fabuleuse bébé. » Il fallait que je dise un truc à Talya mais était-ce le bon moment ? Probablement pas mais tant pis. Il fallait que je lui dise. Seule elle pouvait m'aider. J'attrapais mon caleçon que je remettais aussitôt. Nous nous rhabillons assez vite. Puis, je vins m'asseoir sur le banc en béton de tout à l'heure en tirant Talya par la main pour qu'elle vienne s'asseoir à mes côtés. « bébé.. J'ai bien réfléchi à nous deux. Il n'y a aucune issue possible pour nous deux. Tant que je serais membre de ce club, on baisera simplement ensemble.. je n'veux pas.. jveux être avec toi. Que tout le monde sache ce que je ressens pour toi. Il faut que tu m'aides. Ils me laisseront pas en paix si je les quitte comme ça.. » Mes mains vinrent prendre mon visage. Je n'en pouvais plus de cette situation. Il fallait que je sorte de là. Ce club devenait de plus en plus dangereux. Vendre des armes de guerre ne devait durer qu'un temps mais ça commençait à durer trop longtemps maintenant. Mon club était comme une famille pour moi mais une famille dangereuse. Entre l'amour et la famille, je choisis l'amour. Étant flic, Talya ne pourrait que m'aider à me sortir de là sans y perdre ma vie. « je te dirais tout ce qu'il faut savoir mais jure-moi de faire attention bébé. Je ne veux pas te perdre. » passant ma main sur son visage, je vins lui donner un tendre baiser. C'était la première fois – mais sûrement pas la dernière – que je l'embrassais de cette manière.
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| | | › âge : 26 ans › emploi : policière › petites lettres envoyées : 228
| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Sam 25 Avr - 19:33 | |
| Liam avait ce truc qui me faisait penser à un avenir, c'est con, débile mais pourtant c'était la vérité. Outre son présent et pire son passé avec les armes et la drogue, je ne pouvais me voir avec lui. Cependant je me refusais de lui donner des petits surnoms amoureux, je me refusais de me dire en couple avec lui car cela impliquerai beaucoup trop d'émotions que je ne saurais gérer. Ca c'était une chose a laquelle je ne pouvais adhérer, ne pas se contrôler, je pas avoir le contrôle de la situation. Sauf que c'était bel et bien ce qui était en train de m'arrive présentement. J'étais en train de faire l'amour avec Liam dans une cellule du commissariat, qui m'aurai cru capable d'une chose pareille, Liam en tout cas ca devait être certain
Je sentais son corps contre le mien, nous ne faisions plus qu'un. Quelques minutes après le summum était atteint. J'étais encore toute frêle, mes jambes tremblaient encore légèrement, mais je devais encore une fois me ressaisir et faire comme si de rien était, comme si j'avais eu une conversation avec un détenu. Sa tête entre mes seins, je pouvais sentir son souffle qui me brûlait la poitrine.
"Je dois dire que tu n'es pas mal non plus"
Je redescendais de ma hauteur, embrasse Liam au passage, un peu plus sagement que tout à l'heure. On se rhabillait assez rapidement, bien que je sois extrêmement surprise que personne ne soit venu. Je pense que Carter avait fait son rapport, du moins ces mains sur son visage l'avaient fait pour lui. Alors que je venais a peine de refermer ma chemise, je sentie une pression sur ma main, et encore une fois je me retrouvais sur le banc, mais cette fois juste à côté de Liam. Bizarrement l'atmosphère était devenue un peu plus lourde que tout à l'heure. Je penchais mon visage pour l'écouter. Réfléchis a quoi, il me faisait un peu peur, a nous deux, mon dieu qu'est ce que cela signifiait. J'arrêtais de réfléchir et me contentais de l'écouter.
Mon coeur ratait une pulsation quand j'entendis de la bouche de Liam les mots besoin d'aide. Il voulait s'en sortir, il me le demandait clairement, outre notre histoire il voulait se ranger. Je fis un franc et véritable sourire. Mais il ne le vit pas, il venait de prendre son visage entre ces deux mains, je le reconnaissais bien là. Sa carapace venait de tomber, le masque était au sol, et je serai là pour l'aider au mieux. Je lui attrapais une des mains, sa jumelle vint prendre mon visage, pour me donner un baiser tendre, un baiser amoureux que j'adorais. Liam ne m'avait pas embrasser de la sorte depuis un moment. Je souriais et prit un ton clair, sur, mais rassurante.
"Bien sur mon coeur, je te l'ai toujours dit que je serais là pour t'aider quand tu en aurais besoin...je suis une grande fille je peux y arriver toute seule...Liam je suis tellement contente d'entendre cela, le chemin sera certes long, mais j'en suis persuadé qu'il vaudra la peine qu'on le prenne...Je..."
Je t'aime voilà ce que je voulais dire, mais c'était encore trop tôt, beaucoup trop. Je l'embrassais a mon tour, amoureusement. Mais après quoi je me relevais.
"Je dois y aller, ca fait trop longtemps qu'on est là, mais je reviens bientôt pour te dire ce qu'il en est et surtout pour faire l'interrogatoire. Tu ne déballeras pas tout de suite d'accord...on va y arriver"
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| | | › pseudo, prénom : lollipop. › âge : trente-deux ans. › emploi : mécanicien & trafiquant d'armes. › côté coeur : elle m'attire. elle m'obsède. je la désire. T. ♥ › petites lettres envoyées : 181
| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Sam 25 Avr - 21:16 | |
| Talya était la personne que je connaissais depuis des années. Elle avait été ma meilleure et sûrement la personne qui me connaissait le mieux. Ma vie jusqu'à présent n'avait pas été très glorieuse mais je ne l'échangerais contre rien au monde. Surtout la partie où j'étais en couple avec Talya. Jamais je n'aurais pu croire que nous pourrions en arriver là où nous en étions aujourd'hui. Mais même aujourd'hui, je ne l'échangerais pas. Je voulais changer. Devenir un homme meilleur. Non seulement pour elle mais aussi pour moi. Devenir un adulte respectable. Avoir une femme à mes côtés, des enfants, une maison, un job sans embrouilles. Et pourquoi pas un chien. J'avais toujours rêvé d'avoir un chien étant gosse.
Talya et moi venions de terminer de faire l'amour avec tellement de passions que j'avais du mal à reprendre ma respiration. Après s'être rhabiller, je vins m'asseoir sur le banc en béton en la tirant vers moi. J'avais toujours besoin de la sentir contre moi, de la toucher, de l'embrasser. Elle me faisait du bien. Dans la vie, on a tous besoin de cette personne qui nous fait du bien rien que par sa présence. Qui nous rassure, nous protège et qui nous pousse à être la meilleure personne possible. Et bien pour moi, cette personne c'était Talya. Même si nous nous trouvions dans une cellule, je n'avais pas envie qu'elle s'en aille. J'avais envie de la garder près de moi tout le temps. J'avais l'étrange impression que rien ne pourrais m'arriver avec elle à mes côtés. Talya semblait surprise de ce que je venais de lui dire. C'est vrai que je n'ai jamais parlé de ça, ni même penser que je voulais changer. Tout vient à point à qui sait attendre. Mais seul, je n'y parviendrais pas. J'avais besoin d'aide et Talya me semblait être la bonne personne pour ça. Elle vint prendre ma main dans la sienne. Avec celle que j'avais de libre, je vins lui caresser la joue avant de l'embrasser tendrement. Très tendrement. Ça faisait longtemps que je n'avais pas embrasser une fille de cette manière. Trop longtemps même. « Si quelqu'un nous voyait, on pourrait avoir de gros problèmes. » Disais-je en posant mon front contre le sien. Je ne voulais pas qu'elle soit mise à pieds à cause de moi mais c'était plus fort que moi. Elle m'attirait énormément. Je ne parviendrais à disparaître de sa vie. Non. Impossible. Lorsqu'elle m'appelait mon cœur, ce dernier fit un bon dans ma poitrine. Ça faisait des années qu'elle ne m'avait pas appelé de la sorte. « Je sais que t'es une grande fille bébé mais, ils ne reculeront devant rien.. tuer une flic ne les gêneraient pas tu sais.. c'pas seulement pour nous que je veux arrêter cette merde. C'pour moi aussi. Je veux la vie de rêve dont on parlait autrefois. Avoir un bébé ensemble, cette grande maison avec un jardin, un chien aussi. Jveux t'offrir ce qu'il y a de mieux princesse. » Je l'embrassais à nouveau. Puis, Talya quittait la cellule où je me trouvais. Le temps était long sans elle.
Depuis vingt-quatre heures, je n'avais pris aucune drogue et je commençais à être en manque. J'avais froid. Je tournais en rond dans cette cellule. J'attendais que Talya revienne me voir. J'imaginais l'autre abruti poser ses sales pattes sur elle. Je ne savais pas depuis combien de temps elle était partie mais ça me paraissait une éternité. Bref. Allongé sur le banc, je tremblais par manque de drogue dans mon organisme. J'avais froid. J'espérais qu'elle revienne vite parce que je ne sais pas combien de temps encore, je pourrais tenir.
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| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Dim 26 Avr - 11:01 | |
| Dans cet endroit tout avait changé du tout au tout, de la passion au plaisir on était passé aux confidences et au besoin d'aide. Je l'ai toujours dit que je serai la pour lui, quand il se sentirait prêt. Il faut croire que ce jour est arrivé. Peut être que le fait que se soit moi qui lui ai mis les bracelets aujourd'hui l'a fait réfléchir, peut être que la fusillade lui a fait prendre conscience de certaines choses. Peut importe ce qui lui aura permit d'avoir cette envie, je serai présente quoi qu'il arrive, j'étais parfaitement capable de prendre toutes les mesures nécessaire pour qu'il s'en sorte. Perdue dans mes pensées a réfléchir comment Liam pourrait s'en sortir, ce qu'il me dit me fit prendre conscience d'une chose, je devais l'avoir a l'oeil, je devais tout faire pour que personne d'autre que moi soit avec lui afin qu'il parvienne a se sortir de là.
"Je sais...mais la vie vaut la peine de prendre des risques Liam"
Je lui donnais un dernier baiser tendre. Il fallait agir et vite pendant qu'il en était encore temps. J'avais réussi a mener cette opération jusqu'au bout. Mon boss était plus que ravi que de voir Liam dans ces locaux, alors je devais me débrouiller pour que je continue de mener cette mission. Il en valait la vie de Liam, probablement la mienne, mais surtout notre avenir. Ca je ne permettrais jamais que quelqu'un puisse se mettre en travers de ca. Je voulais essayer par tout les moyens, maintenant que nous avions changer, moi pour le moment, mais Liam allait changer aussi. Les paroles de Liam m'allaient droit au coeur, il voulait tellement s'en sortir, il voulait tellement y arrivé, l'entendre parler d'avenir, de chose totalement simple me donnais plus qu'envie de l'aider. Mes yeux pétillaient, ces mots combien de fois j'avais voulu les entendre par le passé mais jamais je ne les avais entendu, mais aujourd'hui ils étaient bel et bien en train de se mettre en place. Il m'offrait un dernier baiser, je collais mon front contre le sien avant de me lever.
Durant plus d'une heure je parlais de l'affaire Jackson, comment j'allais monter un dossier en béton pour que Liam ne se fasse pas avoir si il était d'accord pour coopérer, je faisais plus de suppositions, même si je savais qu'elles se valideraient par la suite. Liam me l'avait dit, il me donnerait toutes les infos que je veux, donc c'était une bonne affaire. Au moment de revenir dans la cellule de Liam, Carter m’interpellait encore une fois. "Qu'est ce que tu veux, tu crois pas que t'en as assez fait" "Ecoute Tal, je suis a cran, puis je me disais qu'on aurait pu aller prendre un café histoire d'enterrer la hache de guerre" "Pff, t'es sérieux, plutôt m'étouffer que de boire un café avec toi, j'en ai eu des coéquipier, mais toi tu les surpasses, alors trace ta route Carter"
De retour dans le couloir qui mène aux cellules, je repense a ce que j'ai fait quelques minutes avant avec Liam. J'ai le sourire jusqu'au moment ou je pose mes yeux sur lui. Allongé sur le banc il était devenu tout blanc, il devait être brûlant. Je vérifiais que personne ne soit là.
"Liam...hey Liam regarde moi, tu vas y arriver, c'est dur au départ mais ca va aller, je suis là d'accord..."
Je lui donnais un baiser sur le front, malheureusement je ne pouvais rien faire. Je l'aidais a se relever, et on se dirigeait vers la salle d'interrogatoire. |
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| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Mar 28 Avr - 10:26 | |
| Ça faisait des heures déjà que Talya était remontée à l'étage afin de parler à ses supérieurs de mon cas. Enfin du moins ça m'avait parut durer des heures. Dans cette cellule, je tournais en rond. Je pensais à ma vie et à ce qu'elle avait été jusqu'à aujourd'hui. Rien de bien folichon en soi. Ma mère, je ne l'avais pas vu depuis des années. Je ne savais même pas ce qu'elle devenait. Une épave probablement. Une femme qui se tapait différemment mec chaque soir. Telle mère, tel fils non ?! Bref. Je n'échangerais ma vie contre rien au monde. Parce que ça voudrait dire échanger Talya et je ne le souhaitais pas du tout. Nous étions liés Talya et moi. Depuis des années nous nous connaissions et jamais je ne pourrais vivre sans elle. Déjà avoir vécu ces quelques années sans elle m'avait parut être une éternité. Maintenant que je l'avais retrouvé, je ne voulais plus la perdre. Changer était une excellente chose à faire mais ça serait difficile aussi. C'était pour ça que j'en avais parlé à Talya. Elle seule pouvait m'aider.
J'étais resté dans cette cellule durant des heures. Le temps me semblait long. Je n'avais pas pris de drogue depuis un peu plus de vingt-quatre heures. Les effets de manque commençaient à se faire ressentir. J'étais blanc comme un linge. Je tremblais et j'avais terriblement froid. Allongé sur le banc, j'espérais que Talya arrivait enfin bientôt. Ou même quelqu'un d'autre. Mais bon, les autres m'auraient certainement laissés crever sans doute. « Hey Jackson, tu t'sens pas bien ? Bien fait pour toi connard. » Entendais-je derrière moi. Trop faible pour me retourner ou répondre, je ne disais rien. Je me contentais de l'ignorer. De toute façon, ce n'était que de la provocation. Soudain, je sentais la présence de Talya derrière. Avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, j'avais sentis l'odeur de son parfum. Un parfum délicat et délicieux, tout comme elle. J'avais l'impression que j'allais crever. Arrêter la drogue était horrible. Je n'y arriverais jamais. Ma vie était ainsi depuis trop longtemps et elle restera toujours comme ça.
Talya vint me prendre dans ses bras. Je posais ma tête contre elle en essayant de la regarder. Elle était tellement belle. Comment pouvait-elle perdre son temps avec un type comme moi ? Elle méritait tellement mieux que moi. « Comment tu peux perdre ton temps à m'aider ? Jsuis certain que t'as des trucs plus intéressants à faire Talya. » Je me tenais à elle. Malgré ce que je pouvais penser, je ne voulais pas qu'elle me laisse. « Jpourrais aller dans un centre non ?! Mais.. est-ce que tu seras là à m'attendre à ma sortie ? » En fait, je ne sais pas si c'était une bonne idée. Je ne supportais qu'on me donne des ordres et puis, j'avais peur d'être violent à force d'être en manque. Sauf que je préférais être violent là-bas qu'avec Talya. Je ne supporterais pas le fait de lui avoir fait du mal. Elle m'embrassait le front. Collant mes lèvres aux siennes, je lui donnais un baiser comme ceux qu'on voit dans les films d'amour. « Je t'aime Talya. C'est la vérité. Je t'aime depuis toujours et ça n'a jamais cessé. »
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| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Jeu 30 Avr - 12:44 | |
| J'étais revenu dans la cellule pour retrouver Liam, je ne voulais pas qu'il reste trop longtemps dans cette cage et surtout le laisser proche de tout mes collègues qui ne rêvent que d'une seule chose. Lui casser la tronche. Liam était allongé sur le banc en béton, il était froid et tremblant, mais en même temps il était brûlant. Je l'avais tiré contre moi pour qu'il sente ma présence, peut importe si on nous trouvait. Liam disait le discours que j'avais trop longtemps entendu sortir de sa bouche. J'avais envie de m'énerver parce que je ne supportais de d'entendre cela, mais je ne devais pas l'enfoncer je devais lui prouver que je serai là.
"Dit pas des bêtises Liam, je suis là"
Quand il me parlait de centre de failli faire une attaque, il était vraiment prêt à aller jusqu'au bout. Je fis un sourire même si il ne pouvait le voir. Je lui caressais les cheveux afin qu'il se sente rassuré. Est ce que je serai là a sa sortie, bien sur. Il voulait s'en sortir, aller dans le bon chemin, il voulait me prouver qu'il était capable d'y arriver. Je lui collais un baiser sur le front.
"Bien sur Liam, je suis là aujourd'hui et je serai là après et je serais la toujours Liam, quoiqu'il arrive. Il y a peut être huit années qui se sont écoulées depuis mon départ, mais je suis revenu pour de bon, pour toi"
Enfin je crachais le morceau, Liam et moi ca devait se faire, je ne voulais pas tirer un trait sur cette histoire. Je ne pouvais tout simplement pas. J'étais jeune à l'époque, puis avoir perdu un bébé m'avait complètement retourné, tout c'était tellement chamboulé dans mon esprit. Ces lèvres attrapaient les miennes, je répondais a son baiser, un long et tendre baiser comme je les aimais. Ces mots m'aillaient droit au coeur, je lui caressais la joue.
"Moi aussi je t'aime...tu as compris je ne bougerai pas d'ici..."
Je l'embrassais une nouvelle fois.
"Maintenant il faut aller dans la salle d'interrogatoire, je suppose que tu as l'habitude mais il faut que tu sois convainquant"
Je l'aidais a ce relever afin qu'il tienne debout. Je lui essuyais les quelques gouttes sur le front, je le tournais afin de lui remettre les menottes, direction la salle. Une fois installé, je me plaçais en face de lui sur la table. |
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| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Ven 1 Mai - 9:01 | |
| Je savais quels étaient les symptômes d'un manque de drogue dans notre organisme. J'avais essayé d'arrêter autrefois mais je n'avais pas de réel motivation à l'époque. Aujourd'hui, j'en avais une : Talya. Je voulais être avec elle. Me promener main dans la main avec elle. L'embrasser quand je le voulais. Bref, je ne voulais plus me cacher avec elle. La drogue nous avait détruits. Le seul moyen d'être avec elle à nouveau c'était d'éliminer la drogue de ma vie. Elle me manquait terriblement. J'avais envie d'être avec elle quoi qu'il m'en coûte et si je devais partir un ou deux mois en cure de désintoxication, je le ferais. Mais serait-elle là à ma sortie ? J'avais peur qu'elle ne s'en aille à nouveau sauf que ses paroles me faisaient du bien. Je me serrais encore plus contre elle. Ça me faisait du bien de la sentir contre moi. La chaleur de son corps contre le mien. Mon cœur fit un bon dans ma poitrine en l'entendant dire qu'elle était revenue pour moi. Mes deux mains sur son visage, je plongeais mon regard dans le sien. « Si tu savais depuis quand j'attends que tu me dises ça. » Puis, je vins coller mes lèvres contre les siennes. Je l'embrassais. Un vrai baiser digne d'un grand film romantique au cinéma. Je me moquais bien que ses collègues puissent nous voir. Pour la première fois depuis longtemps, je voyais enfin le bout du tunnel. Je voyais la lumière dans notre relation. Son je t'aime me fit faire un autre bon dans la poitrine. J'avais envie de lui faire l'amour mais comme la dernière fois chez elle. Je freinais cette envie en posant ma main sur son visage. « Je t'aime depuis le premier jour où j'ai posé mes yeux sur toi Talya. Une vie sans toi ne me paraît pas vivable. » disais-je avec une voix douce. Elle n'avait jamais dû me voir aussi calme et amoureux. Même moi je m'étonnais à ce moment-là.
Dénoncer mes collègues étaient horribles. Ils allaient savoir que ça venait de moi et me le ferait payer très cher. Mais Talya allait sûrement tout faire pour me sortir de là et me protéger. J'en étais certain. Talya me mettait à nouveau les menottes. Mes lèvres vinrent caresser les siennes un instant. L'amour que je lui portais était bien plus fort que la drogue ou le club. « Quand tout ça sera terminé, on partira. Juste toi et moi. Pour des vacances. On les as mérités non ?! » Juste elle et moi à l'autre bout du monde. Là où personne ne nous connaît. Là où nous serions tranquille et vivre enfin notre amour. Talya ne voudrait pas partir de Siloam mais juste pour des vacances. Je pense qu'on les mérite grandement. Je suivais Talya jusqu'au bureau des interrogatoires. Passant devant tous ses collègues, la plupart me jetait des regards noirs et assassins. Ça ne m'atteignait même pas. Elle s'asseyait en face de moi. Je me contentais de lui sourire en essayant de le cacher parce que je savais que ses supérieurs nous surveiller derrière la vitre. « Je vous écoute mademoiselle Callaghan ! Posez moi vos questions !! »
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| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Dim 3 Mai - 19:30 | |
| C'était bien vrai que j'étais revenu pour Liam, a la base je voulais le mettre en prison, car je savais très bien qu'il n'aurait pas changé, qu'il aurait été le même mec même avec huit ans en plus. Mais j'étais revenu pour qu'il souffre autant que moi j'avais souffert, qu'il souffre a cause de moi car j'avais énormément souffert a cause de lui. Sauf qu'avec le temps, je m'étais rendu compte que c'était impossible, je l'avais encore dans la peau. Je ne pouvais pas être méchante avec lui, le mal et les horreurs que j'avais envie de lui faire s'étaient envolées au moment où Liam m'avait prit dans les bras. Aujourd'hui, je voulais être la pour lui. L'avoir combattu avait été peine perdue, donc je voulais l'aider du mieux que je puisse. Je voulais qu'il s'en sorte, je voulais qu'il arrive a être lui même. Je lui disais donc les mots qu'il devait entendre, mais aussi que je pensais. Liam me disait des mots tellement beaux et romantiques, jamais je n'avais entendu de telles choses sortir de sa bouche.
"Ca me touche tellement Liam, surtout ca me donne encore plus envie d'être avec toi, derrière toi a t'attendre, tu le sais quand je dis quelque chose je m'y tiens"
Je lui avais demandé de se lever, je lui avais remis les menottes, vraiment après tout ce qu'on venait de se dire ca me fend le coeur de devoir faire cela a nouveau. Mais au moins je savais qu'on arrivait a la fin, bientôt tout cela serait du passé. Je ne voulais pas penser aux conséquences que cela aurait sur Liam si il dénonçait qui que se soit, si il disait quoique se soit.
"On ira loin, tout les deux pour se retrouver aussi longtemps que nécessaire"
Je lui donnais un dernier baiser avant qu'on se retrouve dans la salle d'interrogatoire, moi en face de lui. Liam était parfait dans son rôle, en plus avec son petit sourire narquois, c'était comme si il le faisait exprès, j'avais envie de rire a mon tour mais je devais être la flic qui allait le coincer coûte que coûte.
"Arrête de faire le malin Jackson, toi et moi on sait très bien que tu n'es pas en position de t'amuser ici...qu'est ce que vont dire tes ptits copains quand ils vont voir que je vais débarquer au club avec tout un tas d'informations pour les coffrer, ils vont savoir que ca vient de toi, mais si tu me dis rien je ne pourrais en aucun cas assurer ta protection, a toi de voir"
Durant plus d'une heure l'interrogatoire se déroulais, Liam était parfait, parfois il craquait, parfois non. Vraiment c'était comme cela que je voulais que sa se passe. Je sortais de la pièce, parlant a mon chef, lui proposant un deal. Ce dernier acceptait mais avec un peu de difficulté. Moi je savais quoi faire, d'autant plus que c'était dans mon intérêt mais aussi dans celui de Liam. De retour dans la salle je m'approchais de Liam et pris un ton assuré
"Voilà le marché Jackson, tu nous a donné des infos maintenant on doit te protéger le cul car tu peux encore nous servir c'est pourquoi tu vas rentrer chez toi mais avec cette ravissante petite chose!"
Je lui montrais un bracelet électronique
"Et bien entendu je m'arrangerais pour passer pas mal de temps chez toi afin de vérifier que tu es en ...en vie ca suffira!" |
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| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Mar 5 Mai - 11:47 | |
| Le fait que Talya venait de me dire qu'elle était revenue pour moi me faisait plaisir. Ça me donnait envie de m'en sortir. Envie de devenir un homme respectable pour elle. Être avec elle était mon plus grand rêve. L'épouser, avoir une famille avec elle. Bref. Je voulais juste être un homme normal avec elle à mes côtés. Elle était la femme de ma vie, mon âme sœur. J'en étais convaincu. S'il n'y avait pas eu toutes ces conneries de drogue, de trafics d'armes nous serions toujours ensemble et parents d'un petit garçon depuis presque un an. Je ne me voyais pas père mais quand je plongeais mes yeux dans ceux de Talya, je nous voyais très bien parents. Nous ne serions sûrement pas les meilleurs parents du monde mais au moins nous serions ensemble. Enfin. « Je ne te décevrais pas bébé. Je t'aime et je tiens à t'offrir la vie dont tu as toujours rêvée. » L'embrassant une dernière fois, elle me remit les menottes et m’emmenais avec elle dans la salle des interrogatoires.
À force, je la connaissais cette salle. Son supérieur et quelques hommes nous observaient sûrement derrière la vitre. Durant tout l'interrogatoire, Talya restait très professionnelle. Elle m'impressionnait. Je craquais à des moments mais bon, ça faisait partis du jeu. Les autres n'y verraient que du feu. Talya partait un moment. Je restais tout seul. Menotté et assis sur cette chaise. Les effets de manque étaient toujours présents. Pour éviter de devenir fou, je pensais à Talya près de moi. Sa présence, son odeur, ses mots tendres. Et même, ses lèvres sur les miennes. Je nous imaginais partir loin de Siloam. Juste quelques temps. Juste pour se retrouver tous les deux. Je l'aimais comme jamais je n'ai aimé personne d'autres. Talya revenait dans la salle. Elle se penchait vers moi. Je pouvais apercevoir un morceau de son soutien gorge que je lui avait retiré tout à l'heure dans la cellule. Son parfum m'enivrait totalement. Je n'aurais pas été menotté, je lui aurais fait l'amour là, tout de suite, maintenant. Elle me montrait un bracelet électronique. Je commençais à flipper un peu mais elle me précisait qu'elle passerait me voir de temps en temps. Seul avec Talya dans mon appartement, je ne pouvais rêver meilleure punition. « J'accepte mais uniquement si c'est vous qui faites ma baby-sitter et pas l'un des flics bedonnants de ce commissariat. » Disais-je d'un air taquin qu'elle seule connaissait. J'avais hâte de la voir chez moi. Enfin un endroit où les autres allaient nous foutre la paix.
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| | | › âge : 26 ans › emploi : policière › petites lettres envoyées : 228
| Sujet: Re: à trop jouer, on se brûle les ailes. w/ talya Ven 8 Mai - 19:37 | |
| Je n'aimais pas ce que j'étais en train de faire, mais en même temps que mes mots sortaient de ma bouche, j'étais en train de me convaincre que c'était la meilleure des choses. J'arriverais ainsi a plaider la cause de Liam comme il fallait, je pourrais le défendre et le protéger de la meilleure façon qu'il soit. Bien entendu j'aurai préférée qu'il n'en fasse rien de tout ca, mais je devais faire avec. Déjà il m'avait écouté, il n'avait pas résister quand je lui avait fait par de l'option de se rendre, ainsi que de tout ce qui irait avec. Il venait encore une fois de me prouver par A+B dans la cellule qu'il tenait a moi, qu'il était capable de faire n'importe quoi pour moi.
"En même temps t'as pas le choix Jackson, mais dit ainsi je pense que Sharon sera ravie de venir a ma place"
Sharon était une de mes collègues, vieille fille un peu forte, qui ne pensait qu'a manger et regarder des sites internet de gadget en tout genre pour acheter. Pas le genre de femme désirable, même moi qui suit 100% hétéro elle ne me donnait pas envie. Je fis un petit sourire en coin avant de me baisser, je tirer sur la jambe de Liam, je jouais vraiment pour rentrer a fond dans la provoque pour que mes supérieurs n'y voient que du feu. Je remontais ma main le long de sa cuisse avant de la descendre jusqu'à sa cheville et de lui clipser le bracelet.
"J'ai mis un petit dispositif a l'intérieur histoire de m'assurer que tu ne nous files pas entre les pattes, si tu sors de chez toi..boom ca explose peut importe pour ton immeuble ou ton ptit cul qui soit dit en passant et la seule chose de sexy chez toi...alors si j'étais toi je me tiendrais a carreaux."
Après quoi, je me relevais et attrapais le bras de Liam. D'un de mes doigts je lui caressais le bras sans que personne ne s'en aperçoive. Je signais deux ou trois décharges avant de laisser Liam dans le hall.
"Je vais te ramener chez toi et je t'assure que passer la nuit chez toi ne m'enchante pas du tout, un pas de travers Jackson et tu crèves pigé" |
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