Sujet: WAZA × slow dancing in a burning room Jeu 22 Jan - 5:00
love and anger. × ft. AZALYNE & WADE
Je regarde l’heure sur l’écran du four, et je vois qu’Azalyne est en retard. Bien sûr je le sais déjà, ça fait un bon moment que je l’attends. Un soir normal, ça ne me dérangerait même pas. Mais là, ce soir, c’est différent. Je l’ai invitée au restaurant, nos places sont réservées depuis une semaine mais elle a trouvé le moyen d’être en retard. Ça me rend nerveux, qu’elle ne donne pas de nouvelles et change ses plans sans m’avertir. Ces jours-ci, j’ai l’impression qu’elle m’ignore, ou qu’elle se fout totalement de mon existence. Même mon frère passe plus de temps ici que ma petite amie qui vit avec moi. Il ne se gêne d’ailleurs pas pour me faire remarquer que c’est plutôt louche comme attitude, et je n’arrive même plus à lui trouver des excuses pour la défendre. Je n’ai plus vraiment envie de le faire, pour être honnête. Je dis seulement qu’elle est sûrement entrain de bosser. Le téléphone sonne et je sursaute, puis me précipite vers celui-ci. Je suppose que c’est ma mère, et comme de fait c’est elle au téléphone. Je soupire, elle me demande si je suis déjà revenu du restaurant, et je me sens stupide de lui dire que nous n’y sommes pas encore allés alors je lui réponds que oui, on a mangé un super repas et que la soirée est fantastique, et que j’étais occupé. Ma mère raccroche en me lançant à la blague d’aller lui faire des petits-enfants. Je crois pas que ce sera de sitôt, si elle continue de disparaître comme ça pour réapparaître en pleine nuit comme elle le fait parfois. Je regarde mon téléphone portable, vérifiant si elle ne m’a pas envoyé de message, mais il n’y a rien du tout. J’hésite à lui envoyer un sms, commençant à écrire ma question, mais je ne l’envoie pas, le gardant en brouillon. À quoi bon, elle arrivera quand elle sera prête à le faire, c’est tout. Je cherche dans le répertoire le numéro du restaurant. Je vais annuler la réservation, ça ne sert absolument à rien de leur bloquer des places. Particulièrement si cela fait presque une heure que l’on devrait y être.
Au téléphone, le réceptionniste me dit que je ne pourrai pas récupérer l’argent que j’ai déjà donné en avance pour la réservation. Je m’en fiche, qu’ils le gardent, ça ne sera pas la première fois que je vais avoir jeté mon argent par les fenêtres pour Azalyne. Ce n’est pas très gentil, de dire ça, mais j’ai l’impression que depuis notre retour de vacances, tout va mal en permanence. Et puis Talya qui m’a raconté cette histoire entre Aza et son ex-copain… Je ne sais plus trop quoi penser. Et si elle était avec lui à ce moment précis? Je marche en direction de la chambre d’un pas lourd et commence à me changer. C’est assez rare que je porte des complets, mais ce soir il était de mise. Je voulais l’emmener dans un vrai restaurant, lui payer du luxe pour fêter son week-end. Le mien aussi par la même occasion. Je lui aurais annoncé en même temps ma promotion, je ne lui ai jamais dit à Noël. Je déboutonne ma chemise maladroitement, la tronquant pour un t-shirt noir ultra-banal. Je change mon pantalon pour un jeans et m’allonge un instant sur le dos en fermant les yeux. Mes maux de dos commencent à être moins pénibles depuis que je vais chez la kiné, mais bien évidemment Aza ne le remarque pas. Je peux compter sur une main le nombre de fois où l’on a fait l’amour dans les deux dernières semaines. Je soupire de découragement en y pensant. Je sors mon téléphone de ma poche et envoie le message que je lui ai écrit préalablement. Un simple ‘Tu arrives bientôt?’ qui je l’espère la fera réagir.
J’essaie d’être le plus présent possible et elle me fuit littéralement. Je me demande si elle ne va pas s’éclater avec son Liam à la place, et que c’est pour ça qu’elle n’est jamais à la maison. J’ai peur qu’elle ne s’en aille pour de bon, et qu’elle ne revienne plus. Que ce soit son nouveau copain ou sa sœur qui vienne ramasser ses affaires. Stop, faut que j’arrête de penser à ça, c’est complètement ridicule. J’entends la poignée qui tourne et je me redresse pour aller l’accueillir. Je ne suis pas vraiment très heureux mais je m’efforce tout de même de sourire pour ne pas commencer en l’attaquant. « Bonsoir chérie, t’as passé une bonne journée? » Mon ton est calme et je la regarde enlever son manteau. Elle a l’air complètement ailleurs, et pendant quelques secondes je me demande même si elle m’écoute. Je me racle la gorge et parle un peu plus fort. « J’ai annulé la réservation, on remettra ça à un autre soir. Je savais pas à quelle heure tu serais là, alors c’était mieux comme ça. Si je fais livrer de la pizza tu en veux? » Mes bras serrés contre mon torse, je tente de rester le plus normal possible. Il y a de nombreuses questions que j’aimerais régler avec elle, malheureusement pour moi ce n’est jamais le bon moment. Je vais m’asseoir au salon, m’écrasant sur le canapé en me calant au fond de celui-ci. Je crois que cette belle soirée va finalement être plutôt ennuyeuse.
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Sujet: Re: WAZA × slow dancing in a burning room Jeu 22 Jan - 13:21
slow dancing in a burning room
WaZa
Je travaillais trop, beaucoup trop, mais je n'avais pas le choix, on manquait cruellement de personnel, bien entendu la direction se reportait sur nous, les gens déjà présent dans l'hôpital, nous infligeant des heures de travail à rallonge. J'enchainais les jours sans me rendre compte du temps qui passait, j'en avais perdu le fil je ne savais même plus si nous étions mardi de samedi ou de dimanche. Le pire c'est que j'étais un peu un zombie, je cherchais sans cesse un moment de repos mais je n'en trouvais pas. La seule chose qui me faisait tenir était les cachets. Liam me fournissait depuis quelques semaines, deux pour être exact, au départ c'était juste un par jour. Mais en ce moment avec les horaires je tournais a plus de trois, je n'avais pas le choix. C'était la seule chose qui pouvait me maintenir mon esprit hors des nuages, je restais cohérent dans mes propos et surtout lucide, je pouvais soigner les gens sans me soucier du reste.
La seule chose qui m'énervait au plus au point, c'était de ne plus voir Wade, nous étions des étrangers l'un pour l'autre. Mes horaires qui n'en finissaient jamais de changer, je rentrais soit hyper tôt soit hyper tard, j'avais dit a Wade qu'il devait cesser de m'attendre car moi même je ne savais pas quand je pouvais rentrer. Ce n'était pas une bonne situation pour nous, nous ne pouvions rien construire entre nous, sauf que voilà je n'avais pas le choix. Je dépendais de mon travail, sans lui je n'étais rien. Je n'arrivais pas a obtenir moins d'heure, d'après ma direction j'étais un des meilleurs éléments, certes, mais ma santé allait en prendre un sacré coup.
Un gros accident venait de sonner alors que j'étais fin prête pour sortir enfin de l'hôpital. Je voulais me dépêcher, car Wade avait réservé dans un restaurant histoire que l'on puisse se retrouver. J'avais réussi a changer certains horaires de façon a sortir à l'heure pour retrouver mon homme. Sauf que voilà, cet accident venait de balancer tout mes plans à l'eau. Je n'eus pas le temps de prévenir Wade, on m'entrainait aux urgences, je pris deux cachets car je n'allais pas tenir. Le temps défilait encore plus vite que prévu, une heure puis une deuxième finalement trois heures après j'avais enfin terminé. J'étais énervé, fatigué éreinté. Je ne savais pas comment j'allais m'en sortir.
Une fois dehors je pris cinq minutes pour moi, je respirais un grand coup, je pris une bouteille d'eau que je bus d'une seule traite. J'attrapais mes clefs de voiture et rentrais dans ma voiture. Je manquais de m'endormir au volant par deux fois, me faisant assez peur. Une fois arrivée devant la maison je me sentais un peu soulagé, sauf que j'allais devoir affronté Wade. J'étais mal d'avoir raté cette soirée car ca aurait été merveilleux. Mais voilà je lavais raté.
Dans la maison, je déposais les clefs dans la petite panière que j'avais acheté quand j'avais encore du temps, puis j'enlevais mes chaussures en m'appuyant contre le mur, manquant de tomber. Wade se tient non loin de moi, je ne le regarde même. Je n'ose a peine imaginé ce qu'il va me dire, rien que cela m'agace déjà.
"Salut, non affreuse"
Je retire mon manteau et le dépose dans la penderie derrière moi. Sans m'en rendre compte j'ai toujours ma tenue, j'ai complètement oublié de la retirer, donc tous mes vêtements sont à l'hôpital. Pourtant je déteste partir en tenu, mais la ce soir j'étais totalement ailleurs. Je l'entend se racler la gorge, comme si il voulait attirer mon attention. Je m'avançais vers lui en trainant les pieds, je lui frôlais a peine les lèvres pour y déposer un léger baiser puis je me dirige vers le couloir.
"Oui oui si tu veux...je vais prendre une douche"
Je vais dans la salle de bain, je me démaquille car j'étais quand même maquillé pour l'occasion, sortir avec Wade, mais a cause de ce foutu accident de route je n'ai pas pus y aller. Bref j'enlève tout ca et prend une bonne douche bien chaude. Après quoi je sors et enfile des vêtements bien chaud et cosie. J'ai vraiment froid. Je retourne dans le salon où je vois Wade affalé dans le canapé et faire un peu la tête.
"Commence pas a faire la tête, j'y suis pour rien et même je suis désolé, le boulot me prend tout mon temps c'est juste que la ce soir ben un accident nous aie tombé dessus, j'étais en train de partir habillé maquillé coiffé tout, mais bon j'ai du aller sauver des vies, enfin pour ce qui avait a sauver, j'en ai même ruiner ma robe a cause de tout ce sang..."
Je lui lançais un regard avant de me prendre une couverture et de me poser sur le canapé.
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Sujet: Re: WAZA × slow dancing in a burning room Jeu 22 Jan - 18:58
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Je ne suis pas le moindrement étonné lorsqu’elle évite mon regard. En fait, je m’y attendais. Elle doit me trouver pénible à toujours lui faire remarquer ses absences, mais avec Aza je ne sais plus sur quel pied danser. Je me passe une main dans les cheveux et soupire lorsqu’elle me répond, visiblement dans la lune, que sa journée a été affreuse. Eh bien, ça commence la soirée sur une bonne note. Je remarque qu’elle porte encore ses vêtements de travail et ça me rassure, en quelque sorte. De cette façon au moins je sais réellement où elle était. Ce n’est pas que je ne lui fais pas confiance, c’est seulement qu’elle m’évite tellement que je ne sais plus si je dois la croire. Elle marche dans ma direction et mon cœur fait un léger bond dans ma poitrine. J’ai espoir pendant un instant que la marque d’affection sera plus tendre mais elle frôle à peine mes lèvres et s’éloigne avant que j’aie pu faire le moindre geste. Elle me lance qu’ele s’en va dans la douche et je ne dis rien, la regardant s’éloigner. Elle ne me regarde même pas lorsqu’elle me parle. Je soupire, agacé de la situation. Je ne comprends pas ce qui se passe avec elle.
Je m’affale sur le canapé et fixe le vide, écoutant le son de l’eau qui coule. Ça ne peut pas continuer comme ça. Je n’arriverai certainement plus à supporter ça toute ma vie. Mais d’un autre côté, je ne peux pas lui demander de quitter son boulot pour moi. Ça ne se fait pas, ce genre de choses. C’est beaucoup trop égoïste. Je n’entends plus l’eau couler après de longues minutes de réflexion profonde sur la façon dont je vais lui adresser le problème. Azalyne s’est changé et apparaît dans un pantalon long et un gros sweatshirt assez ample. C’est assez relax et je devine bien qu’elle est fatiguée. Elle me reproche d’office que je lui fais la tête. C’est vrai, mais elle s’attendait à quoi? Elle m’explique que ce n’est pas sa faute, l’hôpital l’a retenue. C’est toujours la même histoire. « T’aurais tout de même pu prendre trente secondes pour me texter ou m’appeler…Aza, je t’attendais sans même savoir où tu étais! Je comprends que ton job te bouffe ton temps, mais tu peux au moins m’accorder une petite minute de ton temps sans que j’aie à me pointer à l’hôpital, non? » Mon ton commence avec une pointe d’énervement, mais je me calme et me radoucis rapidement. Je la regarde prendre la couverture et s’installer à côté de moi, s’enveloppant dans celle-ci.
Je ne comprends pas comment elle peut avoir froid, la pièce est bien chauffée et elle est pratiquement vêtue pour aller dehors. Je soupire. « Laisse tomber, même si on en parle ça ne changera rien de toute façon. » Je tente de glisser mon bras autour de sa taille mais je me ravise à la dernière seconde, prenant sa main à la place. Son contact est glacial et elle tremble, ça m’étonne un peu. Je repense à cette histoire de médicaments Je suis un peu nerveux et serre doucement sa main dans la mienne comme pour la réchauffer. « T’es glacée, bébé, est-ce que ça va? » Je la regarde et je me sens mal en constatant qu’elle a l’air épuisée. Je ne devrais pas la brusquer comme ça, et je me sens coupable d’avoir douté d’elle ce soir quand elle a visiblement eu une rude journée. Je la serre tendrement dans mes bras et dépose un baiser sur son front. « Je suis désolé chérie, C’est seulement que je m’inquiète pour toi. Tu travailles sans arrêt et tu reviens toujours super tard…Puis au travail, les gars tentent de me mettre des idées dans la tête, enfin on n’en parlera pas, je sais qu’ils disent ça que pour m’inquiéter. » Je passe ma main sur sa joue et souris légèrement à ma petite amie. On dirait que c’est elle maintenant qui me fait la tête. Je desserre mon étreinte autour d’elle et prend mon téléphone à la recherche du numéro de la pizzeria. Changeons de sujet, pourquoi pas. « Alors, tu veux quoi pour la pizza? Je pensais appeler Domino’s et choisir ce que l’on veut comme ingrédients, ça te dit ? » Bon, c’est un sujet un peu nul pour la conversation, mais en même temps il faut bien se nourrir un jour quoi.
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Sujet: Re: WAZA × slow dancing in a burning room Ven 23 Jan - 8:28
slow dancing in a burning room
WaZa
J'étais revenue dans le salon, je m'étais installée sur le canapé avec une couverture, j'étais plus que fatiguée, je n'avais pas envie de me prendre la tête avec Wade. Je comprenais totalement qu'il soit déçut qu'on aie pas pu faire cette soirée moi aussi je l'étais mais je savais qu'on pourrait en faire d'autres.
"je sais...PARDON...mais j'ai pas du, dis toi que j'étais encore en robe quand on m'a demandé de venir, chéri, tu comprends que je n'ai même pas eu le temps de me changer...commence pas a t'énerver parce que je vais me coucher directement"
Je grelotte un peu, en vérité je suis congelé, la douche ultra chaude que j'ai prise ne m'a pas du tout aider a me réchauffer. Wade déclarait qu'il fallait laisser tomber que cela ne changerait rien, je fis un oui de la tête. De toute façon c'était de ma faute, je n'avais pas pu me libérer alors que j'avais fait le nécessaire pour prendre ma soirée et l'avoir avec mon petit ami, mais le destin en avait décidé autrement. Je sens sa main prendre la mienne, son contact contre le mien est brûlant, je la retire un peu parce que ca me fait hyper mal, mais avec une point d'habitude ca allait un peu mieux. Même ca commençait a peine a me réchauffer. J'avais très envie de me blottir contre son corps pour qu'il me réchauffe.
"Ca va, j'ai juste froid, mais toi t'es bouillant fait moi une place"
Il me serre dans ces bras, je me cale contre son torse et je sens toute la chaleur de son corps qui se diffuse peut à peur contre moi. Je ramène la couverture contre moi, glisse mes mains entre les siennes. Wade commence a me sortir un petit discours, je souris un peu mais la suite me fit froncer les sourcils, quoi comment ca au boulot on lui met des idées dans la tête. Je me redresse automatiquement lui donnant un regard vraiment noir.
"Pardon? qu'est ce qu'ils disent encore ces crétins, non mais t'a fini de toujours croire ce qu'on te dit, tu me fais confiance a la fin ou pas? non mais la j'hallucine Wade t'es pas croyable, tu crois quoi? que ca m'amuse de pas être ici avec toi?"
Je repousse la couverture et me relève, je manque de tomber sur le canapé car j'ai la tête qui tourne, mais je me retient et reprend mon discours.
"Tu penses que je préfères sauver des vies plutôt que de passer du temps avec toi? mon travail je l'adore mais là j'arrive a un point ou je peux plus, mais j'ai pas le choix. C'est comme toi tu dois sauver des vies si on t'appelle, pis si on t'appelle mille fois la nuit tu y vas tu cherches pas parce que c'est ton taff...merde a la fin..."
Je le regarde faire, il prend son téléphone pour me demander ce que je veux comme pizza, il vient de me couper l'appétit, même si en rentrant j'aurai bouffé un boeuf, mais bon les choses peuvent changer très trop vite. Je refronce les sourcils.
"J'ai plus FAIM, prend ce que tu veux je m'en fiche"
Je tourne les talons et me dirige dans la cuisine, je sors une bouteille de vin qui est déjà entamé, je prend un verre j'ai vraiment besoin d'une petite goutte d'alcool, mais rien qu'une! Je m'installe sur le comptoir car je sais qu'il déteste ca, je le fais vraiment exprès mais je m'en tape.
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Sujet: Re: WAZA × slow dancing in a burning room Ven 23 Jan - 22:05
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J’aurais clairement dû me la fermer, à voir sa réaction. Elle me reproche d’écouter les commentaires de mes collègues. En même temps, il est vrai que parfois ils disent plutôt n’importe quoi, mais cette fois-ci c’est différent. Ce sont les commentaires de Talya, qui m’inquiètent, et les histoire d’une flic qui enquête sur l’ex de ma petite amie, qui plus est pourrait être en train de lui fournir de la drogue et dont elle ne m’a jamais mentionné l’existence, je les prends tout de même assez au sérieux. Elle devrait être heureuse que je m’inquiète pour elle. Je pourrais m’en foutre totalement, mais je m’intéresse à ce qu’elle fait de sa vie quand elle n’est pas avec moi. Elle bondit du canapé, repoussant la couverture sur le sol. Je la regarde faire sans broncher alors qu’elle se met à me hurler dessus. Je suppose que ça va finir par lui passer, et j’essaie de changer de sujet en parlant de la pizza que je m’apprete à commander. Elle me crie qu’elle n’a plus faim et je dépose mon téléphone sur le sofa, la regardant se diriger vers la cuisine. Je l’entends fouiller dans une armoire pour un verre et je devine déjà qu’elle se précipite sur la bouteille de vin au frigo. Je reste toujours muet, puis en jetant un regard dans sa direction je vois qu’elle a grimpé sur le comptoir. Elle avait arrêté de le faire puisque je déteste ça, mais on dirait qu’elle cherche à me provoquer ce soir. Je serre les dents, j’ai pas envie de m’engueuler ce soir mais on dirait que c’est inévitable. Je tente une dernière fois de garder mon sang froid, et je regarde le plancher sous mes pieds.
« Bébé, s’il te plaît, j’suis désolé… » Je m’arrête aussitôt. Pourquoi je serais désolé, au juste? Je n’ai rien fait de mal, à la fin. C’est elle qui devrait s’excuser pour tout ce qu’elle me fait subir depuis deux semaines. Je me lève pour la rejoindre. Croisant les bras, je remarque qu’elle s’en balance royalement, de moi et de mes excuses. Je pourrais bien ne pas être là, que ça ne changerait rien. Elle boit son vin, perchée sur le comptoir bien tranquille. Je vois rouge, soudainement. « En fait, tu sais quoi? J’suis même pas désolé. J’ai même pas à l’être. J’ai rien fait de mal, je te mens pas en pleine face, moi. » Je bouillonne, je ne devrais pas commencer à parler de ça, mais elle court après les ennuis. « Tu sais ce que j’ai entendu, au boulot? Y’a une flic qui m’a demandé si j’étais au courant pour tes médicaments. Je savais même pas que tu avais eu un problème de médicaments! » Je me passe une main dans les cheveux, nerveusement. Je peux plus laisser passer ça sous silence. Elle doit savoir que je suis au courant. « Et j’ai appris pour ton ex. Tu sais le dealer? Je sais que tu le vois, elle me l’a dit, pour les petites rencontres à l’hôpital. C’est pour ça que tu restes plus tard? Pour avoir d’autres médicaments? Pour te droguer encore? Bordel Aza, tu comptais garder ça secret combien de temps? Tu me prends pour un imbécile, c’est ça? » Je m’éloigne de la cuisine. J’ai même pas envie d’entendre ses explications. Ça sert à rien, elle va sans doute me mentir encore.
« Tu te plains parce que supposément tu connais rien de moi, mais c’est toi la pire dans cette histoire. Franchement, passer du temps avec ton ex, à la limite si c’était un ami, mais tu m’en as jamais parlé. » Je la regarde, elle n’a pas l’air tout à fait là. Je fronce les sourcils et la regarde siroter son verre. J’en peux plus. Je m’avance à nouveau et lui arrache le verre des mains. J’ai l’impression d’avoir affaire à une fillette. « Elles sont où, tes pilules? Parce qu’à voir la tête que tu tires depuis deux semaines, je peux pas croire que tu sois clean. T’as l’air d’un foutu zombie, merde, Aza. » Je vide le verre dans l’évier, n’adressant pas un regard à Azalyne. « J’peux pas croire que tu me fasses un truc pareil. Que tu NOUS fasses un truc pareil. » Je fulmine et la fixe avec colère, puis je hausse les épaules. Faut que je me calme. Je m’éloigne d’elle et vais m’enfermer dans la chambre, sans lui adresser un mot de plus.
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Sujet: Re: WAZA × slow dancing in a burning room Sam 24 Jan - 16:50
J'étais dans la cuisine avec mon verre de vin a la main, posé sur le comptoir, je sais qu'il déteste ca. Depuis que nous habitons ensemble j'avais fait beaucoup d'efforts pour ne plus poser mon derrière dessus, mais ce soir, je ne sais pour quelle raison, j'avais envie de le provoquer. Donc cet endroit était idéal pour énerver mon petit ami. Moi qui déteste quand on s'engueule, ben ce soir s'était raté. J'avais passé une journée, même une semaine de merde, mais il fallait que la personne que j'aime le plus me la pourrisse encore un peu plus. Non mais vraiment a croire que le sort s'acharnait véritablement sur moi. Je l'entend se lever, et aller c'est parti on va avoir droit au premier round. Il commence a dire qu'il est désolé, j'ai envie de l'envoyer balader quand je l'entend m'appeler bébé, pourquoi? aucune idée, mais rien que ca non ca m'insupporte. Je fronce les yeux, je n'ai pas le temps d'en placer une que monsieur s'énerve. C'est alors qu'il commence a dire que je lui mens en pleine face. J'arrête de boire mon vin et le regarde assez intrigué, comment ca je lui mens, depuis quand? Alors que c'est la chose que je déteste le plus au monde.
"De quoi? moi je te mens, alors qu'on s'est prit la tête la dernière fois a cause de toi et de ton mensonge pour Seth, non mais tu plaisantes Wade!!"
Puis la mon coeur failli raté un battement, quoi comment ca une flic venait de lui parler de mes médicaments, hein quoi? Non mais je voyais de plus en plus rouges. Mes pommettes devaient déjà être cramoisies. Je restais sur le comptoir car je savais au moins que là je n'avais pas de problème de taille et donc je pouvais capter le regard de mon petit ami sans le moindre soucis. Sauf qu'avant même je ne puisse défendre ma cause Wade continuait de plus belle. Il était vraiment en colère, je crois que je ne l'avais jamais vu dans cet état. C'est encore plus étrange quand Wade mentionnait mon ex, lequel déjà, le dealer, ah oui Liam c'est vrai. Et merde qu'est ce qu'il avait encore fait pour que Wade soit au courant, hein elle, qui sa elle, la flic, non mais depuis quand Wade traine avec des flics.
"N'importe quoi, me droguer moi mais c'est n'importe quoi, jte signal que je bosse dans un HOPITAL que je sais les risques que ca peut faire sur quelqu'un ces merdes...WADE RESTE ICI"
Finalement je reporte mon attention sur mon verre qui ni une ni deux se fait arracher de mes mains, qui d'ailleurs le suivent comme si elles étaient triste. Mais elles l'étaient. Il parlait encore et toujours beaucoup trop fort, mais bon j'entendais ce qu'il disais, je ne connaissais rien de lui, ben ouais il fallait qu'il me mente et que je lui arrache les vers du nez pour qu'il avoue des trucs, au pire c'est son passé ca ne m'intéresse pas vraiment, mais si ca peut avoir des incidences sur le présent ou le futur alors oui je veux être au courant.
Wade me demandait où était mes pilules, mais il me croyait vraiment capable de ca, pis même ce n'était pas de la drogue, je me droguais pas. Du moins je ne voulais pas me l'avouer, c'était tellement faible d'avoir recours a ce genre de produit pour garder la forme. Je fronçais les yeux de plu belle pour le mettre au défi de les chercher. Un zombie depuis deux semaines, normal je ne dormais quasi plus a cause du travail.
Je le regarde partir j'aurai parié qu'il serait allé n'importe où pour fouiller afin de trouver mes cachets mais même pas. Discrètement, je descends du comptoir, je manque de tomber, trop fatigué c'est sur. Je file dans mon sac a main et sort le petit sachet, je prend une pilule au passage et ouvre le placard de l'entrée et glisse le sachets dans l'une de mes boites à chaussures, ainsi Wade ne les trouvera jamais. Il ne pensera pas a aller dans mes chaussures pour fouiller. Je décide quand même de l'affronter, je vois sa détresse, mais je ne lui mens pas, la preuve j'ai refuser des avances de Liam pour lui, c'est pour dire quand même. J'ouvre la porte de la chambre, je vois Wade les mains entre sa tête, les yeux rivés sur le sol. Je me pose a côté de lui, peut être un peu trop fort. Je lui attrape l'une de ces mains.
"Arrête de te mettre dans des états comme ca, je suis fatigué, le travail me demande beaucoup trop de truc je peux pas me diviser, j'y arrive pas. Pourquoi je te mentirais, je suis avec toi, ya personne d'autre, pourquoi tu vas t'imaginer que rester à l'hôpital c'est forcément te tromper. Liam n'a rien fait, il ne fera jamais rien, je lui aie mis un stop déjà, il sait que tu es dans ma vie. Son trafic je m'en tape, pis alors le truc le plus débile, je me drogue pas! D'accord, jamais je ferai ca! Déjà que sa sonne faux dans ma tête alors non Wade, je me drogue pas"
J'essaye de me convaincre ou pas? bref, j'avais pris une voix douce. Je prenais énormément sur moi pour ne pas exploser, pour ne pas tout faire voler en éclat. Mais je pensais aussi a Wade, cette situation ne devait pas être facile, mais j'y pouvais rien. J'avais parler de Liam comme si de rien était, alors qu'en vérité je ne faisais que confirmer les doutes de Wade. J'étais vraiment très douée pour me mettre dans la merde.
"Chéri regarde moi...je t'aime tu le sais, je ne ferai jamais rien qui puisse nous nuire, je suis maladroite mais jamais je ferai du mal intentionnellement"
Je lui embrassais la joue.
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Sujet: Re: WAZA × slow dancing in a burning room Sam 24 Jan - 18:18
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Elle nie tout à propos des médicaments, et je m’y attendais bien. Elle ne m’avouerait pas tout simplement qu’elle se drogue, comme ça sans lutter un peu avant. Elle me crie qu’elle bosse dans un hôpital et qu’elle connait les risques. Bah alors pourquoi elle en prend, si elle sait que c’est dangereux? Je vide son verre dans l’évier, et lui demande ses pilules. Je ne lutte pas vraiment pour les avoir, je sais qu’elle ne me les donnera pas. Et je sais que je pourrais fouiller partout, elle va trouver un moyen de les cacher pour que je ne tombe pas dessus. Je suis hors de moi, j’ai envie de frapper dans un mur. Je quitte la pièce pour m’enfermer dans la chambre et claque la porte. J’aurais dû la verrouiller, mais je n’y pense pas sur le coup. Je m’assois sur le lit et fixe le sol, ne sachant plus quoi penser. Azalyne me ment en pleine face, elle qui me disait il y a quelques temps qu’elle détestait les mensonges. Un autre cas de « faites ce que je dis mais pas ce que je fais » flagrant. Je suis rouge de colère, j’ai chaud et mes mains tremblent légèrement. J’en peux plus, de ces histoires. Il faut toujours que l’on s’engueule pour toutes les raisons possibles. Je me demande parfois si le problème ne vient pas de moi, mais cette fois c’est clairement de sa faute, pas la mienne. Je me sens manipulé et vraiment abusé. Je ferais pratiquement tout pour elle, et c’est comme ça qu’elle me remercie. Je ne l’entends pas entrer dans la chambre, trop occupé à fixer le plancher en pensant à tout ce temps que j’ai gaspillé pour elle.
Je sors de mes pensées lorsque j’entends un bruit lourd à côté de moi. C’est elle qui vient de s’asseoir, cherchant sans doute à attirer mon attention. Je n’ai même plus envie de la regarder en face, pas pour le moment en tout cas. Elle prend ma main et son contact est brûlant. Ses mains tremblent, et je ne peux m’empêcher de penser qu’elle est complètement high. Ça me dégoûte, j’ai envie de partir sur-le-champ. Je ne la regarde même pas lorsqu’elle se met à parler. Je me contente de l’écouter parler, et j’ai l’impression qu’elle accumule mensonge sur mensonge. J’aimerais mieux qu’elle m’avoue la vérité. Au moins je pourrais l’aider. Faire quelque chose pour l’appuyer. Elle me rend furieux et je veux encore jouer au superhéros pour elle. Elle défend son ex et dit qu’il n’a rien fait, qu’elle a mis les choses au clair avec lui donc qu’il ne se passerait rien. Je suis encore plus furieux. Il aurait pu y avoir un truc, et je ne suis même pas certain qu’elle a réellement mis un frein à ses élans. Elle n’a rien fait quand on a presque couché ensemble. Cette fois où on l’aurait sans doute fait si ce n’était pas de ma blessure. Je reste muet comme une tombe, attendant le bon moment pour exploser. Je plonge mon regard dans le sien lorsqu’elle me dit qu’elle ne se drogue pas. Pourtant tout son corps semble me dire le contraire. Ses pupilles sont légèrement dilatées et je doute fort que ce soit la fatigue. Je la fixe d’un air nullement impressionné, juste pour lui montrer que je ne la crois toujours pas.
J’ai envie de vomir, sa voix est tellement douce, elle essaie réellement de me faire avaler ses explications mais ça ne marche pas. Sa deuxième tentative n’est guère mieux. Elle ne me ferait jamais du mal intentionnellement? Alors quoi, elle gobe ces pilules accidentellement? Je me crispe sous son baiser et retire vivement ma joue. Je me lève et lui lance un regard noir. « Tu te rends compte que t’es même pas crédible? Bordel Aza, regarde-toi. Tu trembles et t’es brûlante, t’arrives à peine à te tenir debout sans fléchir… Tu me prends pour un con? Juste à te regarder dans les yeux je peux voir que t’es encore stone, merde. » Je me passe une main dans les cheveux, moi aussi je tremble mais pas pour les mêmes raisons. « Tu ferais jamais ça, me tromper, hein? Pourtant quand tu étais encore avec Seth tu t’es pas gênée, non? Pourquoi est-ce que ça aurait changé, Azalyne? REGARDE-MOI QUAND JE TE PARLE MERDE. » Elle évite mon regard quand je lui parle de son infidélité envers Seth. J’ai le visage rouge, je sens la chaleur qui monte en moi et des picotements dans mes joues. « Tu les as mis où, tes pilules? Tu les as caché où? » Je marche en direction de la commode où sont rangés ses vêtements pliés. Je les sors un à un, les jetant sur le plancher. Je m’en fiche, ça doit bien être quelque part. Je ne trouve rien dans le premier tiroir et je commence à vider le deuxième. Visiblement il n’y a rien. Je déverse la totalité de ses vêtements par terre sans succès. Il n’y a rien.
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Sujet: Re: WAZA × slow dancing in a burning room Sam 24 Jan - 18:41
J'essaye d'être le plus crédible possible, sauf que mes mains, ma voix, tout me trahie. J'aimerai y arriver, sauf que c'est impossible. Wade est pas débile je le sais, mais je ne peux me résigner, c'est comme ca, il n'y a que ces cachets pour me faire tenir. Je n'avouerai jamais me droguer car ce n'est pas une drogue, juste deux ou trois trucs qui stimulent rien de plus. Wade est trop remonté, je l'ai vraiment poussé à bout. Après lui avoir donné un petit discours je lui colle un baiser sur la joue, mais Wade se retire aussi vite que mes lèvres aient pu toucher sa peau. C'est comme si je venais d'avoir une gifle, heureusement qu'elle n'était pas réelle sinon ma tête serait sur le sol. Il se lève et me regarde avec des yeux qui ne m'avaient jamais regarder de la sorte avant. Il me fait limite peur.
"Si même je prenais quelque chose qu'est ce que ca peut te foutre, car la seule chose qui intéresse monsieur c'est que je rentre a la maison qu'on sorte et qu'on soit que tout les deux, tu réalises que le monde ne tourne pas qu'autour de nous, tu n'imagines même pas tout ce que je subis au travail...si ca peut m'aider a tenir alors ouais peut être que j'ai recours a des trucs, ET ALORS sans ca je serai DEJA MORTE"
C'était pas vraiment compréhensible, moi même je ne savais pas ce que je disais, donc en gros j'avouais ma faute, même si je ne voulais pas qu'elle soit considéré comme une faute. Je regarde le sol, mes mains ne tiennent pas en place, je les fou sous mes fesses comme pour les cacher, je ne dois plus lutter, je suis démasquer.
Wade me reparle de cette histoire de tromperie, Seth et lui, j'y repense, cette scène ou j'ai trompé seth, je souris aussi un peu dans le vide repensant que ce n'était pas la première fois que j'avais fait ca. Quand il crie plus fort pour que je le regarde je braque mon regard noisette dans le sien, toujours ce foutu sourire stupide collé aux lèvres. Je me lève a mon tour et m'approche de lui.
"T'a raison pourquoi je changerai, j'ai trompé seth pour toi estime toi heureux, tu aurais préférer que je fasse ca avec un autre, enfin si on peut appeler ca tromper hein...Puis bon Seth était pas le premier! Ah oui t'es pas au courant Liam, celui qui me fournit, j'ai trompé Dylan avec lui et ouais et pas qu'une fois!! Rassure toi, toi tu n'es pas cocu, tu n'es pas prête de l'être même si il a bien essayé la dernière fois, il m'a embrassé et pouf je me suis enflammée, mais je suis aie aussi détruit la langue, je lui aie vraiment mordue bien fort! Continue a croire que je te trompes et si un jour ca arrive vraiment vient pas pleurer Wade...Comment tu peux avoir si peux confiance en moi! "
Je ne voulais pas le tromper, je n'en avais pas envie je l'aimais trop pour ca. Seth était différent, je ne l'aimais pas. a l'époque Wade avait ce quelque chose qui m'attirait, mais je me refusais d'y penser car il était mon ami, mon meilleur ami. Mais si il me pensait capable de faire cela, il était bien loin de s'imaginer qui j'étais avant lui! Il commence a aller partout dans la chambre vidant la commode pour chercher mes cachets, il demande ou il sont, je le regarde faire, jamais il était aller dans un état de transe pareil.
"Tu es glacé chéri"
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Sujet: Re: WAZA × slow dancing in a burning room Dim 25 Jan - 3:16
love and anger. × ft. AZALYNE & WADE
En me répondant comme elle le fait sur les médicaments, elle s’incrimine directement. Elle me reproche de vouloir qu’elle rentre à la maison le soir et d’être plus souvent avec elle et je ne comprends pas pourquoi elle me dit ça. Ce n’est pas mal de vouloir passer du temps avec elle, non? On ne se voit pratiquement jamais, on se voyait déjà plus lorsque nous n’étions pas ensemble. Je ne sais pas quoi faire, en entendant des choses pareilles. Elle me reproche de ne pas savoir ce qu’elle doit vivre à son travail. Normal, comme elle ne m’en parle jamais! Elle ne me dit absolument rien de sa vie, et ensuite elle me reproche de faire la même chose. Je ne supporte pas ça, non, ça ne marche pas comme ça. Lorsque je lui hurle de me regarder quand je parle, elle me fixe avec ce sourire stupide aux lèvres qui me rend encore plus en colère. J’en ai marre d’elle et de ses conneries. J’ai besoin d’air. Elle se met à parler et je me crispe un peu plus. Je ne sais plus comment le prendre alors qu’elle m’annonce qu’elle a non seulement été infidèle avec Seth, mais elle l’a aussi été avec Dylan. Elle aurait même trompé celui-ci avec Liam. Je suis furieux. Comme de fait, elle m’apprend qu’il la fournit, même si je le savais déjà, rendu à ce stade. Elle me dit que je ne suis pas cocu, eh bien c’est déjà ça. Mais elle me lance tout de même qu’il l’a embrassé et qu’en premier lieu elle n’a pas détesté. Je n’ai pas envie d’en entendre plus, mais quand elle me dit que si un jour elle le fait réellement ce sera ma faute, j’ai l’impression que deux fils se connectent dans ma tête et que je vais exploser. Je lui demande où sont ses pilules et je vide un à un ses tiroirs sans les trouver. Sa voix résonne dans la pièce alors que je ne dis plus rien. Je suis glacé. Elle veut jouer à ce jeu-là? Vraiment, dans cette situation? Je la regarde avec un regard noir, elle semble pour sa part assez amusée par la situation. Mes mouvements sont presque mécanique, je sens que je vais bientôt péter les plombs.
« Comment t’oses me dire des trucs pareils? COMMENT EST-CE QUE TU PEUX?! T’as embrassé ce gars, bravo Azalyne. T’es pas allée plus loin, félicitations! Tu veux une médaille peut-être? » Sur un coup de tête, je commence à ramasser des vêtements à moi. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai plus envie d’être ici. Pas pour le moment. Je veux de l’espace. Les vêtements chiffonnés en boule dans ma main sont bientôt enfouis dans un vieux sac de sport qui traînait au fond du garde-robe. « Excuse-moi, Aza, d’avoir envie de passer du temps avec ma petite amie. Parce que forcément, t’es encore ma copine non? J’ai l’impression qu’on est des colocataires en fait. On se voit jamais. ET DIS PAS LE CONTRAIRE, MERDE. » Je la regarde furieusement, terminant de ramasser mes affaires. Je ne sais pas trop où je compte aller comme ça. Je m’en moque, j’irai à la caserne on s’en fout. Ils vont comprendre, ils savent déjà toute l’histoire eux aussi. Mon regard transperce le sien. « Tu sais quoi, Azalyne? J’vais te laisser un peu de liberté. M’attends pas, je rentrerai pas ce soir. Et peut-être demain aussi pourquoi pas. Vas-y, baise qui tu veux. T’as toujours aimé écarter tes cuisses de toute façon, où est le problème? » Je me dirige vers la porte de la chambre pour en sortir et je me tourne vers elle une dernière fois. « Tu me rappelleras quand tu auras arrêté ces saloperies Aza. Va faire ta traînée, éclate-toi. Tu me déçois vraiment sérieux. » Je referme la porte derrière moi et me dépêche à aller dans l’entrée. Je glisse mon manteau sur mon dos, le sac dans ma main, puis m’assure que j’ai mon téléphone et mes clés avant de claquer la porte. Il fait un peu froid dehors. Je fais démarrer la voiture et m’en vais à la caserne. Je me fous bien des questions qu’on va me poser, cette fois elle est allée trop loin.
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Sujet: Re: WAZA × slow dancing in a burning room Dim 25 Jan - 13:32
Qu'est ce que je faisais au juste, pourquoi est ce que je m'amusais a provoquer Wade ainsi. Pourquoi est ce que j'y trouvais une certaine satisfaction? je ne me comprenais plus moi même. Je le regarde faire, sortir tout les vêtements de la commode, mon coeur s'emballait, mais qu'est ce qu'il faisait. J'avais même avoué que Liam m'avait embrassé, oui un peu d'honnêteté même si elle n'était pas vraiment la bienvenue maintenant. Sauf que je savais très bien que quelque chose allait se passer maintenant entre Wade et moi, je sais pas pourquoi je le sentais. Il fallait que je le retienne, je pense que je ne le supporterais pas si il partait. C'est souvent quand on a quelque chose de précieux entre les mains, au moment où elle s'en va, c'est là qu'on se rend compte qu'elle est trop précieuse et qu'il faut la manier avec soin.
"Mais chéri, arrête, je voulais être honnête...si tu l'aurais appris autrement imagine ta réaction...non pas de médaille une coupe sera mieux"
Pourquoi j'avais terminé en disant ca? je le poussais vers la sortie sans aucun scrupules alors qu'en vérité je ne me relèverai pas si il me quittait. Je ne l'imaginais pas, une chose pareil ne pouvait se produire. Je le vois qui attrape des vêtements a lui, ainsi qu'un sac, je me rue sur ce sac, mais Wade me pousse de façon a lui laisser de la place. Non il ne peut pas partir... Je me mordais la joue intérieure pour éviter de pleurer, mais c'était assez dur.
"Je sais qu'on se voit pas assez, j'aimerai tu le sais, bébé arrête s'il te plait reste. On va trouver une solution, bien sur que oui je suis ta copine il manquerait plus que ca"
L'intonation de ma voix était complètement incohérente, un coup je criais de l'autre de pleurnichais puis après je rigolais a moitié. Je me rendais compte en vérité que j'avais un problème, mais l'avouer serait être faible. Ce que je ne suis pas. Je ne suis pas prête a l'avouer encore, a dire que j'ai besoin d'aide.
Il me lance un regard noir qui me cloue au sol, je croise les bras, mais cette fois pas pour le provoquer, non juste pour me rassurer, du moins essayer. Je me frotte encore les bras, je me pince la langue, j'ai froid trop froid, mes dents claquent. Ce fut quand j'entendis mon prénom au complet que mon coeur s'arrêta, jamais il ne l'avait prononcé au complet, du moins pas en état de colère comme ce soir. Il me balance des mots au visage qui n'ont aucun sens, jamais Wade pourrait dire de telles choses, et pourtant il vient de le faire.
"T'a pas le droit de dire ca, je suis pas une pute, arrête Wade"
Les dernières paroles sont encore plus fortes. Je me laisse tomber au sol quand j'entends la porte de la maison se claquer. Wade venait de partir, je l'avais définitivement pousser à bout. Mais qu'est ce que j'avais bien pu faire pour en arriver ainsi. Je pleurais, ca oui je pleurais mais je pouvais définitivement m'en prendre qu'a moi même. Il avait raison, il voulait juste passer du temps avec moi, qu'on arrête de se croiser et de juste dormir dans le meme lit...